Voici un sujet
" Renouer avec Constantine, c’est renouer avec mon passé "
Nous l’avons rencontré à Boumerdès, plein d’humour, Smaïn a bien voulu répondre à nos questions.
Liberté : peut-on savoir dans quel cadre s’inscrit votre visite aujourd’hui pour l’Algérie ?
Smaïn : Je suis allé à Constantine la semaine dernière où j’ai assisté à un
spectacle de musique et de jazz, mais je rends visite à Boumerdès pour
apporter un soutien d’affection à cette wilaya qui a connu une vraie
douleur à la suite du séisme qui l’a frappée.
L : Comment vous jugé cette solidarité fronco-algérienne ?
S : Malgré tout c’est dans le malheur vécu par les algériens lors du
tremblement de terre qu’un élan de solidarité s’est manifesté en France.
L : Quel message vous adressez aux Français et aux Algériens pour les rapprocher ?
S : Je ne suis pas un homme politique, ma politique c’est mon visage
c’est le faite d’amuser les gens et les enfants des deux peuples .C’est
ma manière de participer à ce rapprochement.
L : Pouvez –vous nous parler de Constantine ?
S: Oui, j’attache beaucoup d’importance à Constantine .C’est comme un
caillou trouvé sur son chemin ; on tient à lui, il appartient à la
route de nos racines. à Constantine vibre la corde de l’enfance et les
souvenirs. Et si je renoue avec cette ville c’est pour renouer avec mon
passé.
L : Des projets artistiques ici en Algérie ?
S : En Algérie, il n’y en a pas encore, probablement à l’avenir, mais en
France oui. Je suis ici à titre exceptionnel pour apporter mon soutienà la population de Boumerdès.
1. Comment appelle t-on ce texte ?
2. À partir texte complétez le tableau :
Qui parle ? A qui ? Comment ?
3. Quelle est la professions des participants deux cet échange (deux interlocutaires) ?
4. Relevez texte trois mots qui appartiennent au domaine de l’art.
5. Répondez par vrai ou faux aux énoncés suivants Vrai Faux
1. Smaïn est un artiste d’origine française.
2. Smaïn e s’attache à Constantine parce que c’est la ville de son enfance.
3. Smaïn a des projets en Algérie.
4. Smaïn aime Constantine a cause d’un caillou qu’il a trouvé et le garde comme souvenir.
5. Smaïn rapproche entre les deux peuples par l’amusement.
6. Smaïn est solidaire avec les habitants de Boumerdès.
6. Donnez un autre titre à ce texte.
7. Classez les phrases interrogatives du texte dans le tableau.
Inversion intonation Mot interrogatif
8. Transformez cette phrase en interrogation par Est ce que
« Pouvez –vous nous parler de Constantine ? »
9. Mettez au discours direct ou indirect
a) Liberté demande à Smaïn :<< Est-ce que vous avez projets artistiques ici en Algérie ? »
b) Smaïn a répondu :<< Je suis allé à Constantine où j’ai assisté à un spectacle de musique. »
10- Remplacez je par il
« Je ne suis pas un homme politique, ma politique c’est mon visage »
III. EXPRESSION ECRITE :(6pt)
Traitez un sujet au choix.
Sujet1 : Vous êtes un journaliste interrogez une personne sur un accident de route quel a vu
-Rédigez le dialogue.
Sujet1 : Complétez le dialogue suivant :
Entretient avec Baya
FM :………………………………………………………………… ?.
Baya
: J’ai été orpheline à cinq ans c’est ma grand- mère qui s’occupait de
moi. Je passais souvent dans la région de Bordj El-Kifen une image
marqua mon esprit : Celle des fleurs, à partir de ce moment, j’ai voulu exprimer cette belle image.
FM :……………………………………………………………… ?
Baya : Absolument, c’est de cette époque que date ma première peinture : un vase d’où débordent des fleurs.
FM :………………………………………………………………… ?.
Baya
: Les thèmes sont le reflet de ma sensibilité .A coté des fleurs, les
oiseaux que j’adore et les femmes .La femme témoigne de mon amour pour
ma mère.
FM :………………………………………………………………… ?.
Baya : C’est vrai
qu’il il est partout. Mais je ne peux pas vous donnez une explication à
la présence de cet « œil pharaonique » dans mes peintures.
FM :………………………………………………………………… ?.
Baya : j’ai exposé mes peintures pour la première fois à Paris, en 1945.
FM :………………………………………………………………… ?.
Baya : C’était en 1948, mon atelier était à coté de celui de Picasso qui m’a encourageait.
D’après F.Métaoui, El-watan, 11 novembre 1998
Bonne Chance
Technicum Polyvalent Houari Boumedienne Composition N°2 Niveau 1AS
Durée 2H
Smaïn à liberté Durée 2H
" Renouer avec Constantine, c’est renouer avec mon passé "
Nous l’avons rencontré à Boumerdès, plein d’humour, Smaïn a bien voulu répondre à nos questions.
Liberté : peut-on savoir dans quel cadre s’inscrit votre visite aujourd’hui pour l’Algérie ?
Smaïn : Je suis allé à Constantine la semaine dernière où j’ai assisté à un
spectacle de musique et de jazz, mais je rends visite à Boumerdès pour
apporter un soutien d’affection à cette wilaya qui a connu une vraie
douleur à la suite du séisme qui l’a frappée.
L : Comment vous jugé cette solidarité fronco-algérienne ?
S : Malgré tout c’est dans le malheur vécu par les algériens lors du
tremblement de terre qu’un élan de solidarité s’est manifesté en France.
L : Quel message vous adressez aux Français et aux Algériens pour les rapprocher ?
S : Je ne suis pas un homme politique, ma politique c’est mon visage
c’est le faite d’amuser les gens et les enfants des deux peuples .C’est
ma manière de participer à ce rapprochement.
L : Pouvez –vous nous parler de Constantine ?
S: Oui, j’attache beaucoup d’importance à Constantine .C’est comme un
caillou trouvé sur son chemin ; on tient à lui, il appartient à la
route de nos racines. à Constantine vibre la corde de l’enfance et les
souvenirs. Et si je renoue avec cette ville c’est pour renouer avec mon
passé.
L : Des projets artistiques ici en Algérie ?
S : En Algérie, il n’y en a pas encore, probablement à l’avenir, mais en
France oui. Je suis ici à titre exceptionnel pour apporter mon soutienà la population de Boumerdès.
M .T- Liberté » le 25 mai 2005
I. COMPREHENSION :(8pt) 1. Comment appelle t-on ce texte ?
2. À partir texte complétez le tableau :
Qui parle ? A qui ? Comment ?
3. Quelle est la professions des participants deux cet échange (deux interlocutaires) ?
4. Relevez texte trois mots qui appartiennent au domaine de l’art.
5. Répondez par vrai ou faux aux énoncés suivants Vrai Faux
1. Smaïn est un artiste d’origine française.
2. Smaïn e s’attache à Constantine parce que c’est la ville de son enfance.
3. Smaïn a des projets en Algérie.
4. Smaïn aime Constantine a cause d’un caillou qu’il a trouvé et le garde comme souvenir.
5. Smaïn rapproche entre les deux peuples par l’amusement.
6. Smaïn est solidaire avec les habitants de Boumerdès.
6. Donnez un autre titre à ce texte.
7. Classez les phrases interrogatives du texte dans le tableau.
Inversion intonation Mot interrogatif
8. Transformez cette phrase en interrogation par Est ce que
« Pouvez –vous nous parler de Constantine ? »
9. Mettez au discours direct ou indirect
a) Liberté demande à Smaïn :<< Est-ce que vous avez projets artistiques ici en Algérie ? »
b) Smaïn a répondu :<< Je suis allé à Constantine où j’ai assisté à un spectacle de musique. »
10- Remplacez je par il
« Je ne suis pas un homme politique, ma politique c’est mon visage »
III. EXPRESSION ECRITE :(6pt)
Traitez un sujet au choix.
Sujet1 : Vous êtes un journaliste interrogez une personne sur un accident de route quel a vu
-Rédigez le dialogue.
Sujet1 : Complétez le dialogue suivant :
Entretient avec Baya
FM :………………………………………………………………… ?.
Baya
: J’ai été orpheline à cinq ans c’est ma grand- mère qui s’occupait de
moi. Je passais souvent dans la région de Bordj El-Kifen une image
marqua mon esprit : Celle des fleurs, à partir de ce moment, j’ai voulu exprimer cette belle image.
FM :……………………………………………………………… ?
Baya : Absolument, c’est de cette époque que date ma première peinture : un vase d’où débordent des fleurs.
FM :………………………………………………………………… ?.
Baya
: Les thèmes sont le reflet de ma sensibilité .A coté des fleurs, les
oiseaux que j’adore et les femmes .La femme témoigne de mon amour pour
ma mère.
FM :………………………………………………………………… ?.
Baya : C’est vrai
qu’il il est partout. Mais je ne peux pas vous donnez une explication à
la présence de cet « œil pharaonique » dans mes peintures.
FM :………………………………………………………………… ?.
Baya : j’ai exposé mes peintures pour la première fois à Paris, en 1945.
FM :………………………………………………………………… ?.
Baya : C’était en 1948, mon atelier était à coté de celui de Picasso qui m’a encourageait.
D’après F.Métaoui, El-watan, 11 novembre 1998
Bonne Chance