NOM :…………………………………….
Prénom :…………………………….. NOTE………./20
4.A.M…… Devoir surveillé n°2 /2°trimestre
Texte : Le maître avait parlé de moi.
Moi
qui croyais passer inaperçu parmi la cinquantaine de camarades qui
formaient la classe, voilà qu’il se rendait compte de mon travail,
qu’il me connaissait particulièrement, qu’il connaissait mon père !
C’était donc qu’il connaissait tous ses élèves ! Certainement, il
aimait les bons et détestait les mauvais. Pourtant il n’y avait aucun
indice visible qui montrât qu’il nous différenciait .J’avais beau
réfléchir, je ne trouvais pas. Tant pis, il fallait se rendre à
l’évidence .Il avait dit à mon père que j’étais un mauvais élève…Mon
père pensait m’avoir fait de la peine par le ton sévère qu’il avait
pris .Au fond, j’étais presque heureux de constater qu’il s’intéressait
à ce que je faisais, qu’il était peiné de me voir parmi les traînards
et qu’il partageait cette peine avec le maître .Cette réprimande me fit
prendre mon rôle au sérieux. J’exagérai mon importance. En réalité, mon
père était plus fâché de ma flânerie que de ma mauvaise place à l’école.
MOULOUD FERAOUN , Le fils du pauvre, édition de Seuil.
Questions
I _Compréhension : 8 pts
Lis le texte et choisis la bonne réponse,( barre ce qui est faux) :
1-Qui parle dans le texte ? Justifie ta réponse.
2 - Réponds par : ( VRAI)-( FAUX).
- L’élève ne passait pas inaperçu. (vrai) ( faux
- Le maître aimait les bons et détestait les mauvais (vrai) ( faux)
- L’enfant avait de bons résultats. (vrai) ( faux)
3 - Qu’est ce qui faisait plus de chagrin au père?
a) sa flânerie b) sa mauvaise place à l’école
4 - Qui était peiné de voir l’enfant parmi les traînards ?
a) Le père. b) Le maître c) Les camarades
5 - Encadre dans le texte une façon de parler .
6- L’enfant était presque heureux, souligne dans le texte ses arguments.
II – Fonctionnement de la langue (6pts)
1 –6- Parmi les mots suivant qui expliquent «flânerie », se glisse un intrus, entoure-le.
Virée – promenade - paresse - tour - ballade- .
.
2_ Mets le verbe entre parenthèses (..) au temps qui convient.
Si le maître n’avait pas averti le père, je ne(prendre)………………………………………mon rôle au sérieux.
3- Transforme la phrase suivante au style direct. Attention ! à la concordance des temps.
Il avait dit à mon père qu’il était peiné de me voir parmi les traînards.
Il avait dit à………………………………
4-Commence la phrase par : « il dit à » ( !)
Il avait dit à mon père que j’étais un mauvais élève.
Il dit à mon père que ..……………… un mauvais élève.
5-Relève du texte un verbe au plus que parfait :
III-production écrite 6pts)
SUJET : Ton professeur convoque tes parents à ton sujet, reporte sur le tableau :
Prénom :…………………………….. NOTE………./20
4.A.M…… Devoir surveillé n°2 /2°trimestre
Texte : Le maître avait parlé de moi.
Moi
qui croyais passer inaperçu parmi la cinquantaine de camarades qui
formaient la classe, voilà qu’il se rendait compte de mon travail,
qu’il me connaissait particulièrement, qu’il connaissait mon père !
C’était donc qu’il connaissait tous ses élèves ! Certainement, il
aimait les bons et détestait les mauvais. Pourtant il n’y avait aucun
indice visible qui montrât qu’il nous différenciait .J’avais beau
réfléchir, je ne trouvais pas. Tant pis, il fallait se rendre à
l’évidence .Il avait dit à mon père que j’étais un mauvais élève…Mon
père pensait m’avoir fait de la peine par le ton sévère qu’il avait
pris .Au fond, j’étais presque heureux de constater qu’il s’intéressait
à ce que je faisais, qu’il était peiné de me voir parmi les traînards
et qu’il partageait cette peine avec le maître .Cette réprimande me fit
prendre mon rôle au sérieux. J’exagérai mon importance. En réalité, mon
père était plus fâché de ma flânerie que de ma mauvaise place à l’école.
MOULOUD FERAOUN , Le fils du pauvre, édition de Seuil.
Questions
I _Compréhension : 8 pts
Lis le texte et choisis la bonne réponse,( barre ce qui est faux) :
1-Qui parle dans le texte ? Justifie ta réponse.
2 - Réponds par : ( VRAI)-( FAUX).
- L’élève ne passait pas inaperçu. (vrai) ( faux
- Le maître aimait les bons et détestait les mauvais (vrai) ( faux)
- L’enfant avait de bons résultats. (vrai) ( faux)
3 - Qu’est ce qui faisait plus de chagrin au père?
a) sa flânerie b) sa mauvaise place à l’école
4 - Qui était peiné de voir l’enfant parmi les traînards ?
a) Le père. b) Le maître c) Les camarades
5 - Encadre dans le texte une façon de parler .
6- L’enfant était presque heureux, souligne dans le texte ses arguments.
II – Fonctionnement de la langue (6pts)
1 –6- Parmi les mots suivant qui expliquent «flânerie », se glisse un intrus, entoure-le.
Virée – promenade - paresse - tour - ballade- .
.
2_ Mets le verbe entre parenthèses (..) au temps qui convient.
Si le maître n’avait pas averti le père, je ne(prendre)………………………………………mon rôle au sérieux.
3- Transforme la phrase suivante au style direct. Attention ! à la concordance des temps.
Il avait dit à mon père qu’il était peiné de me voir parmi les traînards.
Il avait dit à………………………………
4-Commence la phrase par : « il dit à » ( !)
Il avait dit à mon père que j’étais un mauvais élève.
Il dit à mon père que ..……………… un mauvais élève.
5-Relève du texte un verbe au plus que parfait :
III-production écrite 6pts)
SUJET : Ton professeur convoque tes parents à ton sujet, reporte sur le tableau :
| Ce qui a peiné tes parents. | Ce qui a rendu tes parents heureux. |
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