j"aimerais vous faire part ce poème ; dédié à tous les ami(e)s et surtout à tous les parents
Lamartine — La Chute d’un Ange
Fragment du Livre Primitif
« Quand ton père a parlé, sans murmure obéis ;
Car, devant Dieu, le père est au-dessus du fils.
C’est de lui que tu tiens la vie et la parole ;
De toute autorité qu’il te soit le symbole ;
Va, s’il te dit d’aller ; et viens, s’il te dit : « Viens. »
Mets ton cou sous sa main, mets tes pieds sur les siens ;
Comme celle de Dieu, redoute sa colère ;
Sers-le jusqu’au tombeau, serviteur sans salaire ;
D’une piété tendre honore ses vieux ans,
Ta bénédiction est dans ses cheveux blancs ;
Et quand il s’en ira dans la sombre demeure,
Prends sa place au soleil, baisse la tête et pleure !
parlé« Quand ton père a , sans murmure obéis ;
Car, devant Dieu, le père est au-dessus du fils.
C’est de lui que tu tiens la vie et la parole ;
De toute autorité qu’il te soit le symbole ;
Va, s’il te dit d’aller ; et viens, s’il te dit : « Viens. »
Mets ton cou sous sa main, mets tes pieds sur les siens ;
Comme celle de Dieu, redoute sa colère ;
Sers-le jusqu’au tombeau, serviteur sans salaire ;
D’une piété tendre honore ses vieux ans,
Ta bénédiction est dans ses cheveux blancs ;
Et quand il s’en ira dans la sombre demeure,
Prends sa place au soleil, baisse la tête et pleure
Lamartine — La Chute d’un Ange
Fragment du Livre Primitif
« Quand ton père a parlé, sans murmure obéis ;
Car, devant Dieu, le père est au-dessus du fils.
C’est de lui que tu tiens la vie et la parole ;
De toute autorité qu’il te soit le symbole ;
Va, s’il te dit d’aller ; et viens, s’il te dit : « Viens. »
Mets ton cou sous sa main, mets tes pieds sur les siens ;
Comme celle de Dieu, redoute sa colère ;
Sers-le jusqu’au tombeau, serviteur sans salaire ;
D’une piété tendre honore ses vieux ans,
Ta bénédiction est dans ses cheveux blancs ;
Et quand il s’en ira dans la sombre demeure,
Prends sa place au soleil, baisse la tête et pleure !
parlé« Quand ton père a , sans murmure obéis ;
Car, devant Dieu, le père est au-dessus du fils.
C’est de lui que tu tiens la vie et la parole ;
De toute autorité qu’il te soit le symbole ;
Va, s’il te dit d’aller ; et viens, s’il te dit : « Viens. »
Mets ton cou sous sa main, mets tes pieds sur les siens ;
Comme celle de Dieu, redoute sa colère ;
Sers-le jusqu’au tombeau, serviteur sans salaire ;
D’une piété tendre honore ses vieux ans,
Ta bénédiction est dans ses cheveux blancs ;
Et quand il s’en ira dans la sombre demeure,
Prends sa place au soleil, baisse la tête et pleure