La meilleure moyenne de l’examen du BEM, session 2013, a été décrochée, dans la wilaya de Tizi-Ouzou, par Siham Hassak du CEM Metrek Omar de Tizi-Rached avec une moyenne de 19,24.
Une juste récompense pour cette studieuse élève originaire du village Ighil Oumcheddal dans la commune de Tizi-Rached. « Je suis la fille la plus heureuse sur terre. Décrocher la meilleure moyenne, à l’échelle de la wilaya, est un honneur pour moi et pour tous ceux qui ont participé, de prés ou de loin, à ma réussite. Cette consécration est le fruit d’un long sacrifice, mais aussi grâce aux encouragements de mes chers parents, sans oublier le soutien de tous mes enseignants », nous confie la jeune lauréate née le 14 juillet 1998. Issue d’une famille modeste, Siham n’est pas née comme on dit avec une cuillère d’argent dans la bouche. Son père, Ouamar, la quarantaine entamée, exerce en qualité de menuisier dans une société privée. Cela ne l’empêche pas, pour autant, de suivre régulièrement la scolarité de sa progéniture, lui qui croit, dur comme fer, que seul le travail paye. Beaucoup de parents iront jusqu’à penser que Siham a décroché la timbale avec l’aide des cours particuliers devenue de nos jours une mode à grand échelle. « Ma fille n’a jamais mis les pieds en dehors de l’école pour suivre ses cours. Elle révise à la maison toute seule et jamais elle n’a bénéficié de cours particuliers payants ou gratuits », assène le père qui n’arrive toujours pas à croire que la prunelle de ses yeux est, désormais, meilleure collégienne d’une wilaya rompue à ce genre de défis .
La dépêche de Kabylie .
HBen-Admin
Une juste récompense pour cette studieuse élève originaire du village Ighil Oumcheddal dans la commune de Tizi-Rached. « Je suis la fille la plus heureuse sur terre. Décrocher la meilleure moyenne, à l’échelle de la wilaya, est un honneur pour moi et pour tous ceux qui ont participé, de prés ou de loin, à ma réussite. Cette consécration est le fruit d’un long sacrifice, mais aussi grâce aux encouragements de mes chers parents, sans oublier le soutien de tous mes enseignants », nous confie la jeune lauréate née le 14 juillet 1998. Issue d’une famille modeste, Siham n’est pas née comme on dit avec une cuillère d’argent dans la bouche. Son père, Ouamar, la quarantaine entamée, exerce en qualité de menuisier dans une société privée. Cela ne l’empêche pas, pour autant, de suivre régulièrement la scolarité de sa progéniture, lui qui croit, dur comme fer, que seul le travail paye. Beaucoup de parents iront jusqu’à penser que Siham a décroché la timbale avec l’aide des cours particuliers devenue de nos jours une mode à grand échelle. « Ma fille n’a jamais mis les pieds en dehors de l’école pour suivre ses cours. Elle révise à la maison toute seule et jamais elle n’a bénéficié de cours particuliers payants ou gratuits », assène le père qui n’arrive toujours pas à croire que la prunelle de ses yeux est, désormais, meilleure collégienne d’une wilaya rompue à ce genre de défis .
La dépêche de Kabylie .
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