ENSEIGNEMENT DES LANGUES ETRANGERES EN ALGERIE

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    sellami kamel
    sellami kamel


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    Message par sellami kamel Jeu 29 Aoû - 22:51

    REPAS DE FAMILLE (Présent des vbes du 2e groupe)









    Tous les soirs, la famille accomplit la même cérémonie. Impossible d’y échapper. Si nous désobéissons, nos parents nous punissent. Nous devons manger la soupe de maman. Mon père nous dit souvent :




    - « Vous n’aimez pas la soupe, mais elle est nécessaire. C’est grâce à elle que nous grandissons ! »




    Mon frère me jette alors un regard désolé. Notre père ne mesure qu’un mètre soixante.




    Marcel PAGNOL « La gloire de mon père »









    LA PAIX DES ANIMAUX (L'imparfait/Plus-que-parfait)




    Il y’a très longtemps, les animaux avaient décidé de faire la paix. Le lion ne mangeait plus les gazelles. Les oiseaux ne mangeaient plus les papillons. Les souris cuisinaient des gâteaux au chat et le lièvre donnait des leçons à son ami le serpent. C’était la paix.




    Adapté d’Esope









    JE SUIS MALADE (Le passé composé)




    Le docteur est venu ce matin. Quand il est entré dans ma chambre, j’ai pleuré. Mais je le connais bien le docteur ; il est très gentil. Il a mis sa tête sur ma poitrine et comme il est chauve, j’ai vu son crâne qui brille juste sous mon nez. Le docteur n’est pas resté longtemps. Il a dit à maman : « Il faut qu’il reste au lit. Qu’il se repose ! » et il est parti.




    Sempé et Goscinny « Le petit Nicolas »



    [rtl]La Terre en 2025)

    [/rtl]
    [rtl]LE FUTUR SIMPLE ET ANTERIEUR (La Terre en 2025)

    [/rtl]

    Quand l’an 2025 sera arrivé, on dépassera les huit milliards sur Terre. Je crois qu’on va manquer de nourriture. On souffrira parce qu’on aura tout pollué : l’air, les terres et les mers. On ne verra plus certaines espèces animales parce qu’elles auront disparu à cause de la chasse et de la pêche. Mais si on est sage, on évitera cet enfer.



    [rtl]L’auteur

    [/rtl]






    Renversé par une voiture, je suis tombé sur la chaussée. Une opération a permis au docteur de consolider l’os de ma jambe. Je suis resté six mois à l’hôpital. Ma mère en venant me rendre visite me demandait chaque fois :


    - tu as mal ?


    -Qu’est-ce je peux faire ?


    Parfois elle me recommandait :


    -Reste au lit.


    -Ne te lève pas sans raison.


    A ma guérison, je suis sorti de l’hôpital sur mes jambes. Quel bonheur de remarcher !








    C’EST LA RENTREE (Le présent de l’indicatif)





    Aujourd’hui, c’est la rentrée ; c’est le premier jour d’école. Yasmine et Dalila sont dans la même classe. Yasmine a préparé son cartable depuis longtemps. Dalila regarde encore une fois si son livre, son cahier sont en place. Elles sont prêtes !En route.





    PROMENADE EN FORET (les trois époques)





    La semaine dernière, nous sommes allés en promenade en forêt. Au retour, j’ai commencé à avoir mal au ventre. Le soir, en allant me coucher, ma mère m’a fait boire une tisane…


    Aujourd’hui, je suis à l’hôpital. Les docteurs disent que j’ai mangé quelque chose qui m’a donné une intoxication. Maintenant, je sais. Je jure, à l’avenir, que je ne mangerai plus de myrtilles sauvages.





    [rtl]La semaine dernière, nous sommes allés en promenade en forêt. Au retour, j’ai commencé à avoir mal au ventre. Le soir, en allant me coucher, ma mère m’a fait boire une tisane…

    [/rtl]
    Aujourd’hui, je suis à l’hôpital. Les docteurs disent que j’ai mangé quelque chose qui m’a donné une intoxication. Maintenant, je sais. Je jure, à l’avenir, que je ne mangerai plus de myrtilles sauvages.



    EN RETARD (les trois époques)





    J’ouvre un œil et j’aperçois le réveil aujourd’hui, silencieux.


    Huit heures !mon Dieu !je suis en retard. Je me lève très vite, je fais hâtivement ma toilette et je pars en courant à l’école. Je pense à ce que dira le maître. D’habitude dès sept heures je saute du lit, je révise mes leçons. Voilà une journée qui commence mal…





    LE PETIT LION (Présent de l'indicatif & Accord sujet verbe)






    Le petit lion attend sa mère, mais elle ne vient pas. Il a peur et il pleure. Le sanglier Mamba et son amie la girafe passent par là. Elle lui dit : « Ne pleure pas petit lion ».




    La girafe a un long cou, il est immense. Elle regarde au loin, à gauche, à droite, et voit enfin, la maman lionne qui arrive en courant.







    REPAS DE FAMILLE (Présent des vbes du 2e groupe)



    Tous les soirs, la famille accomplit la même cérémonie. Impossible d’y échapper. Si nous désobéissons, nos parents nous punissent. Nous devons manger la soupe de maman. Mon père nous dit souvent :




    -« Vous n’aimez pas la soupe, mais elle est nécessaire. C’est grâce à elle que nous grandissons ! »




    Mon frère me jette alors un regard désolé. Notre père ne mesure qu’un mètre soixante.




    Marcel PAGNOL « La gloire de mon père »






    LA PAIX DES ANIMAUX (L'imparfait/Plus-que-parfait)



    Il y’a très longtemps, les animaux avaient décidé de faire la paix. Le lion ne mangeait plus les gazelles. les oiseaux ne mangeait plus les papillons. Les souris cuisinaient des gâteaux au chat et le lièvre donnait des leçons a son ami le serpent. C’était la paix.



    Adapté d’Esope





    JE SUIS MALADE (Le passé composé)


    Le docteur est venu ce matin. Quand il est entré dans ma chambre, j’ai pleuré. Mais je le connais bien le docteur ; il est très gentil. Il a mis sa tête sur ma poitrine et comme il est chauve, j’ai vu son crâne qui brille juste sous mon nez. Le docteur n’est pas resté longtemps. Il a dit à maman : « Il faut qu’il reste au lit. Qu’il se repose ! » et il est parti.


    Sempé et Goscinny « Le petit Nicolas »




    CAMION EN FEU (L'impératif)


    « Arrête ! Arrête ! Le feu, il y’a le feu ! »


    D’un seul coup le chauffeur comprend…


    « Décroche l’extincteur, ordonne Callas en sautant à terre. Vite, Bon Dieu, vite ! »


    -Donne ça !


    -Je vais téléphoner aux pompiers.


    -Non, reste là. Prends le volant et mets le camion au travers de la route. Il faut bloquer la circulation. Fais ce que je te dis.


    Auguste Lebreton




    LE RÉGIME DE BANANES (Temps simples/Temps composés)


    Un jour, Nicolas visitait le zoo.


    Il avait apporté un régime de bananes pour les singes, et des graines pour les pigeons.


    Un garde se dirigea vers Nicolas:


    -"C'est défendu de donner à manger aux animaux!"


    Nicolas rougit et dit alors un mensonge:


    -Mais tout est pour moi, pour mon goûter.


    Et comme le garde ne s'en allait pas, Nicolas a été obligé de tout manger, même les graines!





    Sempé et Goscinny « Le petit Nicolas »




    RECETTE (Impératif présent)



    Prépare une pâte légère avec de la farine, de l'eau, deux œufs, et du beurre.




    Etends cette pâte et garnis-la avec des pommes coupées en fines lamelles. Fait cuire la tarte dans un four pendant 25 minutes; puis étale sur les oranges un peu de confiture d'abricot. Sers la tarte encore chaude.





    MAÏA L'ABEILLE (La conjugaison pronominale)



    Maïa volait entre les ronces qui portaient encore des fleurs, lorsque, tout à coup, quelque chose se posa sur sa tête et sur ses épaules. Ses ailes se trouvèrent paralysées. Et pourtant, Maîa ne tomba pas. Elle poussa un cri d'effroi quand elle s'aperçut qu'elle était dans une toile d'araignée. Elle criait, elle appelait secours, mais elle se prenait au piège de plus en plus.







    CONSEILS A UN SPORTIF (Le subjonctif présent)



    Pour un sportif, le premier point important consiste à avoir une bonne santé. Il faut qu'il fasse attention à ce qu'il mange et à ce qu'il boit. Il faut qu'il surveille constamment son équilibre alimentaire. Chaque jour, il faut qu'il ait sa ration de fer et de vitamines et autres oligo-éléments. Mais pardessus tout, il est nécessaire que le sportif s'entraine régulièrement pour qu'il soit au mieux de sa forme. Sinon, le jour de la compétition, c'est la catastrophe.




    Science &Vie




    LES VOYAGES DE GULLIVER (Le passé simple; l’expression de but l'infinitif après une préposition et un verbe conjugué)



    Comme convenu, j'obéis aux ordres de la fillette. Je devais aller et venir pour faire plaisir aux enfants, m'étendre à terre et me relever, galoper à cheval sur une brindille pour que se déclenchent les rires et les applaudissements, j'ôtais mon habit pour le remettre aussitôt. Je souhaitai la bienvenue aux hommes et je m'inclinai devant les dames. Tout ça pour récolter quelques sous. Je fus montré douze fois ce jour là et je dus recommencer autant de fois les mêmes sottises.




    De Jonathan SWIFT “les voyages de Gulliver"








    LE PETIT PRINCE (Le conditionnel présent)


    Sa fleur lui avait raconté qu'elle était la seule de son espèce dans l'univers. Et voici qu'il en était cinq mille, toutes semblables, dans un seul jardin! "Elle serait bien vexée, se dit-il, si elle voyait ça…elle tousserait énormément et ferait semblant de mourir pour échapper au ridicule. Et je serais bien obligé de faire semblant de la soigner, car, sinon, pour m'humilier moi aussi, elle se laisserait vraiment mourir…"



    Antoine De St EXUPERY « Le petit Prince »







    LES OURS (le présent de l'indicatif)



    L'ours brun est un gros animal qui vit dans les forêts. Il pèse parfois près de 350 kilos.




    Il mange de tout: des fruits, des racines, des champignons, des insectes, de la viande, du poisson, du miel, des escargots et des limaces, des oiseaux, des œufs.




    En hiver il préfère dormir à l'abri dans sa cachette. Il n'en ressort qu'au printemps. La mère élève ses petits jusqu'à l'âge de deux ans. Les ours adultes vivent seuls.




    Il en reste si peu en France que la chasse à l'ours est interdite. C'est un animal protégé.




    Au pôle nord il y a des ours blancs. L'ours blanc se nourrit de poissons et de phoques. Il est plus grand que les ours bruns.




    Science & Vie Junior






    UN POISSON FABULEUX (imparfait: passé simple)



    Lentement, régulièrement, la ligne montait; soudain, la mer se souleva en avant de la barque et le poisson apparut. Il n'en finissait pas de sortir; l’eau ruisselait le long de ses flancs; il étincelait dans la lumière; sa tête et son dos étaient violet foncé, il avait un nez très long et pointu, aussi long qu'une batte de base-ball. Le poison sortit de l'eau tout entier, puis avec l'aisance d'un bon nageur replongea très vite.



    E. HEMINGWAY (Le vieil homme et la mer)


    Madame IRMA (le futur simple)



    David entra. Au centre de la pièce, il aperçut une petite table sur laquelle était posée une énorme boule de crystal transparent. Une femme s'avança, posa ses mains sur la boule et dit: «Bientôt tous vos ennuis s'envoleront. Vous retrouverez la joie et le bonheur. Vous gagnerez beaucoup d'argent. Une femme surgira dans votre vie, vous vous marierez et vous vivrez longtemps heureux. "




    A. LEBRETON




    Dernière nuit avant le départ. (Le Conditionnel présent)



    Il fut décidé qu’on lèverait le camp au lever du jour et qu’on irait continuer les recherches dans la vallée voisine. Le dîner expédié, chacun alla se coucher, sauf James qui devait rester près du feu. Annibal le rejoignit.




    «Je ne puis trouver le sommeil, j’ai pensé que je serais mieux avec vous.




    -«Quelques heures de sommeil ne me déplairaient pas ; si vous vouliez, nous pourrions échanger nos rôles : j’irais m’allonger et vous garderiez ma place ici !




    -«Non, restez, je voudrais vous parler.»




    D’après Jules Verne.




    L'ORAGE (exp. du temps/P. simple&Imparfait)



    Quand nous quittâmes l'auberge d'en haut, les nuages étaient au dessus de nous. Quelques sapins les dépassaient du fait. Mais pendant que nous descendions, nous entrions vraiment dans le vent,




    Dans la grêle, dans la pluie. Tout près de nous un sapin roula foudroyé. Et au moment où nous dégringolions un petit chemin, nous vîmes un groupe de petites filles abrité dans un creux de rocher.




    D’A. Daudet « Les contes du Lundi »













    VACANCES (Imparfait/Plus-que-parfait)



    Mon père avait loué, sur la Méditerranée, une grande villa blanche, isolée, ravissante dont nous rêvions depuis les premières chaleurs de juin. Elle était construite sur une petite colline, et cachée de la route par un bois de sapins. Un sentier descendait à une plage minuscule bordée de rochers rouges où se balançait la mer. Je me souviens des heures éblouissantes que nous avions passées sur cette plage. Vers le crépuscule, et quand nous avions terminé de préparé le dîner, je me retrouvais sur la plage qui prenait peu à peu une teinte dorée.




    De Françoise SAGAN (Bonjour tristesse)








    RECETTE DE LA TARTE AUX POMMES (L'infinitif, L'impératif, Les déterminants définis & indéfinis)


    Ingrédients : des pommes, de l’eau, du beurre, de la vanille pilée, du miel, de la crème fraîche, des morceaux de sucre, une cuillère en bois, un saladier en verre.


    Couper les fruits pelés et les mettre à cuire avec le verre d’eau, le beurre et la vanille. Laisser réduire le tout en remuant à l’aide de la cuillère. Y mélanger le miel hors du feu, verser la totalité de la préparation dans le saladier et la mettre au frais. Monter la crème au fouet, y mêler le sucre, puis incorporer le mélange obtenu aux pommes froides.


    Laisser la mousse au réfrigérateur au moins deux heures avant de la servir.


    (d’après Éliane Comelade, La Pomme du Confluent et d’ailleurs)



    LE KON-TIKI (le passé simple/Imparfait)


    Je prenais un petit bain rafraîchissant à l'avant du radeau, quand j'aperçu soudain un gros poisson brun d'environ trois mètres de long qui avançait vers moi dans l'eau cristalline. Je sautai vivement sur le radeau, pris un harpon et l'attendis de pied ferme.


    Thor HAYERDAHL (Le Kon-Tiki)





    LES CHASSEURS DE LA TRIBU. (le passé simple/L'imparfait)


    Kocumbo et ses chiens avançaient dans les broussailles, son corps ruisselait de rosée.


    Dès que la vraie brousse se fit sentir, avec ses bosquets et ses fourrés inextricable, les chiens prirent les devants: Tout-à-coup, le plus grand, le plus efflanqué s'arrêta. Il flaira une piste. A toute vitesse, il revint près de son maître, fit trois fois le tour de celui-ci sans cesser de remuer sa petite queue puis posa ses pattes sur les genoux du jeune homme, lui donna deux coups de langue sur la cuisse et courut retrouver la piste. Les deux autres le rejoignirent et ils se mirent tout les trois à inspecter la trace. Kocumbo reconnut le passage tout frais des sangliers.


    Camara LAYE (L'enfant Noir)





    SOIREES D'ETE (Le plus-que-parfait)





    Par les belles soirées d'été, quand la nuit était tombée, nous sortions sur la terrasse. Souvent je prenait plaisir à suivre le vol des chauves-souris. Un soir, j'avais lancé en l'air une vieille casquette pour les attirer. L'une d'entre s'est assommé. Quand je la ramassai, la pauvre bête avait cessé de vivre.


    Françoise SAGAN (Bonjour tristesse)




    LES MATINS DE PARIS (La proposition incise, Le présent de l'indicatif)






    Malgré le vent, malgré la brume, l’homme suit les quais, toujours les quais, pour aller à son bureau. Elle n’est pas gaie, ce matin, la rivière. Ce brouillard qui monte entre les vagues semble l’alourdir. Les toits sombres des rives, tous ces tuyaux de cheminée inégaux et penchés qui se reflètent, se croisent et fument au milieu de l’eau font penser à je ne sais quelle lugubre usine qui, du fond de la Seine, enverrait à Paris toute sa fumée en brouillard.






    L'HOMME BISON(Le passé simple)





    L’homme déguisé en bison gronda, gratta le sol avec fureur, pointa ses cornes dans notre direction. . .


    Et ce fut la chasse, où se mêlèrent charges et esquives.


    Je fus le premier à crier. Le bison que je réussis à toucher avec ma flèche s’écroula et resta inanimé.


    J’en eus beaucoup de fierté. D’autres cris éclatèrent et d’autres bêtes tombèrent. . .


    Tennessée. WILLIAMS (Sitting-Bull).

      La date/heure actuelle est Ven 15 Nov - 11:47