Techniques d'expression
Le compte-rendu objectivé (2 applications)
Compte-rendu objectivé du :
Texte support : p80 (manuel de l’élève, 3AS)
Faut-il dire la vérité au malade?
P. Viansson Ponte & L. Schwrtzenberg
Le sujet du texte restera toujours d’actualité. Les malades n’ayant pas le même rapport affectif à leurs maladies (cancer, sida …), et les médecins ayant des positions diamétralement opposées sur la question.
Les auteurs, vraisemblablement deux médecins, reprennent un vieux débat jamais résolu : « faut-il dire ou ne pas dire la vérité au malade ? »
D’une part, on se demande si on est en droit de « désespérer le malade » et de lui faire subir une « angoisse » inutile : un cancéreux, au courant de sa maladie, même guéri, continuera à vivre avec la hantise de la rechute.
Toutefois, la maladie est, à priori, « l’affaire » du malade. Alors, « s’il souhaite se dissimuler » ce que « les autres (son entourage) savent », « qu’il soit lui, le responsable du mensonge, et non le médecin ».
Il est à noter aussi que le malade au courant de son état, « participera à son propre traitement ».
Compte-rendu objectivé du :
Texte support : p74 (manuel de l’élève, 3AS)
Le racisme expliqué aux lecteurs du journal Le Monde
Tahar Bendjelloun, La xénophobie
Le Monde, Dossiers et documents, 1978
Comportement anti-social, la xénophobie demeure une menace constante de l’Homme contre ses semblables. Ses mobiles subjectifs, voire déraisonnables, mieux compris pourraient contribuer à y mettre un terme. D’où ce texte adressé par un auteur Tiers-mondiste tahar BENDJELLOUN) aux lecteurs du journal Le Monde.
L'auteur remarque que si pour expliquer la xénophobie, on invoque souvent le concept d' « incompatibilité » ou « le seuil de tolérance, il n’en demeure pas moins qu’en fait, c’est le sentiment de « méfiance » qui mue en « hostilité » puis en « haine », qui fait que le xénophobe glisse, quand les circonstances politico-économiques s'y prêtent, du « racisme affiché » au « racisme militant.
Ainsi, l’Etranger est « indésirable ». Les préjugés aidant, l’irrationnel prend le pas, et on peut justifier la malveillance envers l’Autre « à partir d’une question d’épiderme » comme c’est le cas aux Etats-Unis
Le compte-rendu objectivé (2 applications)
Compte-rendu objectivé du :
Texte support : p80 (manuel de l’élève, 3AS)
Faut-il dire la vérité au malade?
P. Viansson Ponte & L. Schwrtzenberg
Le sujet du texte restera toujours d’actualité. Les malades n’ayant pas le même rapport affectif à leurs maladies (cancer, sida …), et les médecins ayant des positions diamétralement opposées sur la question.
Les auteurs, vraisemblablement deux médecins, reprennent un vieux débat jamais résolu : « faut-il dire ou ne pas dire la vérité au malade ? »
D’une part, on se demande si on est en droit de « désespérer le malade » et de lui faire subir une « angoisse » inutile : un cancéreux, au courant de sa maladie, même guéri, continuera à vivre avec la hantise de la rechute.
Toutefois, la maladie est, à priori, « l’affaire » du malade. Alors, « s’il souhaite se dissimuler » ce que « les autres (son entourage) savent », « qu’il soit lui, le responsable du mensonge, et non le médecin ».
Il est à noter aussi que le malade au courant de son état, « participera à son propre traitement ».
Compte-rendu objectivé du :
Texte support : p74 (manuel de l’élève, 3AS)
Le racisme expliqué aux lecteurs du journal Le Monde
Tahar Bendjelloun, La xénophobie
Le Monde, Dossiers et documents, 1978
Comportement anti-social, la xénophobie demeure une menace constante de l’Homme contre ses semblables. Ses mobiles subjectifs, voire déraisonnables, mieux compris pourraient contribuer à y mettre un terme. D’où ce texte adressé par un auteur Tiers-mondiste tahar BENDJELLOUN) aux lecteurs du journal Le Monde.
L'auteur remarque que si pour expliquer la xénophobie, on invoque souvent le concept d' « incompatibilité » ou « le seuil de tolérance, il n’en demeure pas moins qu’en fait, c’est le sentiment de « méfiance » qui mue en « hostilité » puis en « haine », qui fait que le xénophobe glisse, quand les circonstances politico-économiques s'y prêtent, du « racisme affiché » au « racisme militant.
Ainsi, l’Etranger est « indésirable ». Les préjugés aidant, l’irrationnel prend le pas, et on peut justifier la malveillance envers l’Autre « à partir d’une question d’épiderme » comme c’est le cas aux Etats-Unis