L'ingratitude du temps
Le temps court et fuit
sans souci aucun ni recul
je me plains de tout et de rien
en ce train de vie
qui ne s’arrête guère sous aucun prétexte
profites –en des moments irrécupérables
donner sans retenue
l’amour ne se vend pas
à coup sûr même si on a les poches troués
on peut aime les fées et les muses
faire la cour aux belles femmes
séduire les sirènes d'ici et d'ailleurs
ingrat et minable le temps
qui fuit et court sans arrêt aucun
et dont nul de ne prétend à son sort
comme il est incontournable
de son court initial
et n’en revient jamais en arrière
il nous tient en cet exil sans rimes
prisonnier des pensées en herbe
mises en mots muets et atones
bref en cet espace verrouillé de vie ou de mort
disaient certains critiques
dire vrai mes chers poètes
de stress et de manies à s’affirmer
sinon mâcher l’illusion d’être célèbre
je me bouffe le nez à répéter mes tirades
incongrues dénuées de sens
à glaner ces brindilles à vous en offrir ces régals en perles ou en émeraudes
parfois même
des gens qui me toisent dans la rue par curiosité
ou par admiration comme je suis simple et sportif
je me venge de cette pauvre tortue qui partage mon logis
sans préméditation j’oublie souvent de lui quémander quelque brindille de laitue son repas préfère
c’est à l’ arôme du café que je continue mes pérégrinations poétiques à semer l’amour à tout vent
parler aux muets et aux sourds sans distinction ne sera-ce que par un geste ou par le sourire
combien sont-ils gentils et frustrés ces handicapés en manque ,frustrés qui nous accueille à l’honneur d’en faire partie de leur royaume
je me plains de ce temps
minable et ingrat
qui ne sais pas revenir à son cours initial
où je compte exaucer mes vœux
de poète banni des pléiades
certes il vaut mieux d'esquisser un ébauche
d'en faire un petit sourire
une caresse en signe d'amour
que d’écrire en déféré tout ces mots pour en faire de même...
alors il est question d'en faire la distinction entre deux mondes mentalement différents.
Le temps court et fuit
sans souci aucun ni recul
je me plains de tout et de rien
en ce train de vie
qui ne s’arrête guère sous aucun prétexte
profites –en des moments irrécupérables
donner sans retenue
l’amour ne se vend pas
à coup sûr même si on a les poches troués
on peut aime les fées et les muses
faire la cour aux belles femmes
séduire les sirènes d'ici et d'ailleurs
ingrat et minable le temps
qui fuit et court sans arrêt aucun
et dont nul de ne prétend à son sort
comme il est incontournable
de son court initial
et n’en revient jamais en arrière
il nous tient en cet exil sans rimes
prisonnier des pensées en herbe
mises en mots muets et atones
bref en cet espace verrouillé de vie ou de mort
disaient certains critiques
dire vrai mes chers poètes
de stress et de manies à s’affirmer
sinon mâcher l’illusion d’être célèbre
je me bouffe le nez à répéter mes tirades
incongrues dénuées de sens
à glaner ces brindilles à vous en offrir ces régals en perles ou en émeraudes
parfois même
des gens qui me toisent dans la rue par curiosité
ou par admiration comme je suis simple et sportif
je me venge de cette pauvre tortue qui partage mon logis
sans préméditation j’oublie souvent de lui quémander quelque brindille de laitue son repas préfère
c’est à l’ arôme du café que je continue mes pérégrinations poétiques à semer l’amour à tout vent
parler aux muets et aux sourds sans distinction ne sera-ce que par un geste ou par le sourire
combien sont-ils gentils et frustrés ces handicapés en manque ,frustrés qui nous accueille à l’honneur d’en faire partie de leur royaume
je me plains de ce temps
minable et ingrat
qui ne sais pas revenir à son cours initial
où je compte exaucer mes vœux
de poète banni des pléiades
certes il vaut mieux d'esquisser un ébauche
d'en faire un petit sourire
une caresse en signe d'amour
que d’écrire en déféré tout ces mots pour en faire de même...
alors il est question d'en faire la distinction entre deux mondes mentalement différents.