Y-a-t-il une vie sans le Net?:
Salam à tous.
Se retrouver sans connexion pendant plusieurs jours m'a permis de réaliser à quel point le Net était devenu important.
Dans tous les domaines.
J'ai eu l'impression d'avoir été sevrée brutalement et je me suis retrouvée en état de manque.
Manque de contacts, manque de recettes, manque d'informations...
Alors si vous aussi (pour reprendre la formule de Facebook) vous êtes comme moi, faites part de vos impressions.
En arabe on dit "idha 3ammet, khaffet"
Lorsque c'est général ça en devient banal et moins grave par conséquent.
Le jour où j’ai découvert Face book
Le jour où j’ai découvert Internet
C’était un peu un jour de fête,
Dès que j’avais mal au cœur,
J’allais cliquer chez le docteur.
Le jour où j’ai découvert Internet
C’en était fini des emplettes,
Et sans trop me casser la tête
Je choisissais tout sur le Net.
Le jour où j’ai découvert Facebook
J’ai voulu changer de prénom
Je me suis fait un nouveau look
En choisissant un beau surnom
J’ai récolté des amis à la pelle.
Je croyais que c’était réel.
J’en ajoutais, j’en supprimais
Certains ne me parlaient jamais.
Sur MSN, on s’échangeait
Nos états d’âme et nos idées.
Pendant ce temps j’en oubliais
Ceux qui étaient à mes côtés.
Sur You tube, j’ai surfé sur une lame
Aussi brûlante qu’une flamme
Croyant que tout était permis
Pensant que tout était gratuit
Je me suis retrouvée accroc,
Sans le savoir, j’en faisais trop
Et la vraie vie, je l’ignorais
Et la vraie vie, je la laissais…
Et sur Yahoo et sur Hotmail
De plus en plus de liens m’emmêlent
Me retenant, me rappelant
M’emprisonnant et m’étouffant
Ça me volait mon temps ; je pensais en gagner
J’avais des maux de tête et j’avais mal aux yeux
Et ça empirait, et ça n’allait pas mieux.
J’y perdais mes journées, j’y brûlais ma santéEt puis un jour j’ai pressenti
Sans vraiment penser à mal
Que trop d’avis et trop d’amis
Ça peut vraiment vous faire du mal
Ça fait de vous un prisonnier
ça peut voler tous vos secrets
Un peu de votre vie, votre personnalité
On en sort amoindri et pas toujours entier.
Je voudrais me défaire de ce joug qui me pèse
Je voudrai être libre et me sentir à l’aise.
Je voudrais oublier ce PC qui m’attire
Dès le lever du jour, sans que je ne puisse dire :
Aujourd’hui je t’éteins, aujourd’hui je t’oublie
Aujourd’hui, je te laisse, je vais vivre ma vie.
OUM-ZAKI
Salam à tous.
Se retrouver sans connexion pendant plusieurs jours m'a permis de réaliser à quel point le Net était devenu important.
Dans tous les domaines.
J'ai eu l'impression d'avoir été sevrée brutalement et je me suis retrouvée en état de manque.
Manque de contacts, manque de recettes, manque d'informations...
Alors si vous aussi (pour reprendre la formule de Facebook) vous êtes comme moi, faites part de vos impressions.
En arabe on dit "idha 3ammet, khaffet"
Lorsque c'est général ça en devient banal et moins grave par conséquent.
Le jour où j’ai découvert Face book
Le jour où j’ai découvert Internet
C’était un peu un jour de fête,
Dès que j’avais mal au cœur,
J’allais cliquer chez le docteur.
Le jour où j’ai découvert Internet
C’en était fini des emplettes,
Et sans trop me casser la tête
Je choisissais tout sur le Net.
Le jour où j’ai découvert Facebook
J’ai voulu changer de prénom
Je me suis fait un nouveau look
En choisissant un beau surnom
J’ai récolté des amis à la pelle.
Je croyais que c’était réel.
J’en ajoutais, j’en supprimais
Certains ne me parlaient jamais.
Sur MSN, on s’échangeait
Nos états d’âme et nos idées.
Pendant ce temps j’en oubliais
Ceux qui étaient à mes côtés.
Sur You tube, j’ai surfé sur une lame
Aussi brûlante qu’une flamme
Croyant que tout était permis
Pensant que tout était gratuit
Je me suis retrouvée accroc,
Sans le savoir, j’en faisais trop
Et la vraie vie, je l’ignorais
Et la vraie vie, je la laissais…
Et sur Yahoo et sur Hotmail
De plus en plus de liens m’emmêlent
Me retenant, me rappelant
M’emprisonnant et m’étouffant
Ça me volait mon temps ; je pensais en gagner
J’avais des maux de tête et j’avais mal aux yeux
Et ça empirait, et ça n’allait pas mieux.
J’y perdais mes journées, j’y brûlais ma santéEt puis un jour j’ai pressenti
Sans vraiment penser à mal
Que trop d’avis et trop d’amis
Ça peut vraiment vous faire du mal
Ça fait de vous un prisonnier
ça peut voler tous vos secrets
Un peu de votre vie, votre personnalité
On en sort amoindri et pas toujours entier.
Je voudrais me défaire de ce joug qui me pèse
Je voudrai être libre et me sentir à l’aise.
Je voudrais oublier ce PC qui m’attire
Dès le lever du jour, sans que je ne puisse dire :
Aujourd’hui je t’éteins, aujourd’hui je t’oublie
Aujourd’hui, je te laisse, je vais vivre ma vie.
OUM-ZAKI