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    des résumés de quelques contes

    zemrode
    zemrode


    Date d'inscription : 11/11/2011

    des résumés de quelques contes Empty des résumés de quelques contes

    Message par zemrode Mer 10 Sep - 21:57

    Salut tout le monde
    voici des résumés de quelques contes:
    Griselidis
    Un riche, beau et puissant prince, aimé de ses sujets, refuse de prendre femme car il considère que les femmes sont des hypocrites qui ne présentent qu’un masque de ce qu’elles sont en réalité quand elles sont jeunes filles et qui, dés lors qu’elles sont mariées, montrent une tout autre personnalité. Par ailleurs, elles veulent toutes exercer leur pouvoir sur leur mari. Mais son peuple voudrait qu’il pense à sa succession et le supplie de prendre femme. Il accepte à condition de trouver la femme idéale, celle qui sera « sans orgueil et sans vanité / D’une obéissance achevée, / D’une patience éprouvée, / Et qui n’ait point de volonté. »
    Au cours d’une partie de chasse, son passe-temps favori, il s’égare et rencontre « par hasard ou par destinée », dans un décor idyllique, une jeune bergère qui partageait une modeste chaumière avec son père. Il voit en elle, « l’objet le plus agréable » et tombe sous le charme. Il décide de l’épouser mais prend soin de lui faire jurer qu’elle n’aura d’autre volonté que la sienne. De cette union naît très vite une petite fille que Griselidis veut elle-même nourrir.
    Mais le prince devient soupçonneux, il ne croit pas à la sincérité de son épouse et pour se protéger il la tient à l’écart de la cour, lui supprime ses belles toilettes, ses bijoux et la retient enfermée dans sa chambre. Griselidis accepte sans murmurer les décisions de son mari ce qui ne fait qu’accroître ses soupçons. Aussi pour l’éprouver davantage, décide-t-il de lui retirer sa fille, la place dans un couvent austère et espère ainsi qu’elle ne subira pas la mauvaise influence( supposée) de sa mère. Toujours aussi soumise, Griselidis accepte et ne manifeste aucune agressivité à l’égard de son mari, au contraire elle continue à lui prodiguer toute sa tendresse. Le prince regrette ses agissements, il a honte de lui mais sa méfiance est plus forte que tout et il continue à mettre sa femme à l’épreuve en lui faisant croire que leur fille est morte, il feint d’être triste et Griselidis, au lieu de céder à son propre chagrin, s’applique à consoler son mari.. Il est enfin convaincu de la sincérité de sa femme et ils vivent heureux, mais pour autant il ne dément la mort de leur fille.
    La jeune princesse grandit et devient une fort belle jeune fille, elle attire l’attention d’un jeune et beau prince, tous deux s’aiment tendrement et leur mariage est annoncé. Mais le prince veut mettre leur amour à l’épreuve et réparer l’insulte faite à sa femme et faire en sorte qu’elle soit reconnue comme la femme la plus sage, la plus aimante, la plus pure. Aussi élabore-t-il un stratagème pour le moins surprenant puisqu’il s’agit, une fois de plus de mettre Griselidis à l’épreuve.
    Il annonce qu’il va épouser une jeune fille, car il est temps pour lui de penser à sa succession. Il renvoie Griselidis dans sa chaumière ; elle accepte avec toujours autant de douceur : « Vous êtes mon Époux, mon Seigneur et mon Maître / […] rien ne m’est si cher que de vous obéir. »
    La veille de son mariage, il fait venir Griselidis au palais pour qu’elle se charge des préparatifs des noces qu’il veut les plus belles et pour qu’elle rencontre celle qui lui va lui prendre sa place. Entre les deux femmes naît une affection naturelle et spontanée et Griselidis intercède auprès du prince pour qu’il ne fasse pas souffrir cette jeune fille comme il l’a fait souffrir.
    Le jour du mariage, il révèle l’identité de la jeune fille, lui donne en mariage le beau prince qu’elle aimait et demande à chacun de vénérer Griselidis car elle est la meilleure des femmes qui puisse exister.
    Peau d'Âne
    Un roi, le plus grand, respecté et craint de tous tant il était puissant, vivait très heureux avec sa femme et sa fille unique dans un somptueux palais. Il était d’autant plus riche qu’il possédait un âne qui avait la particularité de déféquer des pièces d’or chaque jour. Malheureusement sa femme mourut et avant que de mourir elle fit faire le serment à son mari qu’il ne se remarierait que s’il trouvait une femme plus belle et plus sage qu’elle.
    Le deuil passé, il se mit en quête d’une nouvelle épouse mais pour respecter le serment qu’il avait fait à la défunte, il ne se trouva que sa fille qui surpassât sa mère. Pour échapper à l’amour incestueux de son père, le jeune princesse va consulter sa marraine, une fée, qui lui conseille d’émettre des souhaits que son père serait incapable de satisfaire. Mais c’est sans compter sur sa ténacité et sur la crainte qu’il inspire, aussi la robe « couleur du temps », celle "couleur de lune" ou encore celle "couleur de soleil", furent offertes à la princesse. A bout d’argument, la fée l’invite à demander la peau de l’âne merveilleux, et le roi accepte de tuer l’objet de sa fortune. Il ne reste que la fuite qui puisse empêcher la princesse de commettre un crime.
    Dés lors, elle erre et vit dans la plus grande précarité jusqu’à ce qu’elle soit acceptée dans la métairie d’un roi qui cherchait « une souillon » pour laver le linge et nettoyer la bauge des cochons. Peau d’Âne devient le souffre-douleur de toute la ferme, et elle supporte toutes les humiliations.
    Un jour, le fils du roi vint à passer au retour de la chasse et Peau d’Âne le remarque.
    Un autre jour, le fils du roi aperçoit la jeune princesse alors qu’elle était dans sa chambre. Or c’était un jour de fête et comme tous les dimanches, elle sortait de sa malle ses plus belles robes. Le jeune prince est sous le charme. Il ne pense plus qu’à elle, il demande même qu’elle lui fasse un gâteau, ce qui amuse les fermiers qui ne soupçonnent pas que sous Peau d’Âne se cache une belle princesse. Par mégarde, ou tout exprès, elle fait tomber dans la pâte du gâteau un anneau que le prince ne manque pas de garder précieusement.
    Le temps passe, le prince dépérit et les médecins appelés à son chevet préconisent qu’il se marie. Il accepte mais à condition que celle qui deviendra son épouse soit celle à qui appartient l’anneau. En vain, après maintes recherches parmi les jeunes filles de toute condition, de la plus noble à la plus modeste, l’anneau ne trouve pas son doigt. Il ne reste plus qu’à l’essayer à Peau d’Âne… Le mariage est conclu. Tous les rois des environs sont invités. Ainsi le père et la fille se retrouvent-ils.
    Les souhaits ridicules
    Jupiter, touché par la détresse de Blaise, un pauvre bûcheron qui préfèrerait mourir plutôt que de continuer à mener une vie misérable, lui accorde d’exaucer trois vœux et prend soin de lui recommander la prudence avant que de les prononcer, prudence que sa femme et lui partagent mais c’est sans compter sur la spontanéité du bûcheron irréfléchi qui demande du boudin. Aussitôt demandé, aussitôt exaucé. Les reproches de sa femme sont tels qu’il la maudit et souhaite que le boudin lui pende au bout du nez. Il ne reste plus à Blaise qu’un seul vœu et pour réparer la disgrâce de sa femme il souhaite simplement qu’elle retrouve son nez : adieu richesse et rêve de gloire.
    La Belle au bois dormant
    Un roi et une reine ont une fille unique et leur plus cher désir est qu’elle soit la plus parfaite. Aussi lui donnent-ils sept fées pour marraines qui lui offriront chacune un don. Le jour du baptême, une huitième fée, qui n’avait pas été invitée parce qu’on la croyait morte, arrive, avec l’intention de se venger du mépris qu’on a eu pour elle. Aussi, une des jeunes fées décide-t-elle d’intervenir en dernier pour essayer de réparer le mal que la vieille fée pourrait faire.
    La première fée lui offre la beauté, la deuxième, l’intelligence, la troisième, la grâce, la quatrième l’art de la danse, la cinquième, l’art du chant, la sixième, l’art de la musique ; la vieille fée prédit qu’elle se piquera avec un fuseau et qu’elle en mourra ; la jeune fée confirme la piqûre mais affirme que la princesse se réveillera après un long sommeil de cent ans.
    Pour éviter que ce destin ne se réalise, le roi proclame une loi interdisant tout fuseau dans la région. Seize ans plus tard, alors que ses parents sont absents, la jeune princesse découvre dans le palais l’existence d’une vieille servante qui, ignorante de l’édit du roi, filait. Curieuse, la princesse veut apprendre à se servir de cet objet si nouveau pour elle, elle se pique et tombe endormie. La jeune fée qui avait annoncé son réveil accoure et pour que la princesse ne soit pas seule et perdue à son réveil, elle décide d’endormir tous les habitants du château, ( hommes, femmes, animaux), sauf ses parents. Elle prend soin de faire pousser autour du château une végétation abondante pour protéger le château de toute agression extérieure.
    Cent ans plus tard, comme c'était prévu, un jeune et beau prince, de retour de la chasse aperçoit le château et va délivrer la Belle endormie. Le jour même ils se marient. de cette union naissent deux enfants, un fille Aurore et un fils, Jour. Pendant deux ans, le couple vit heureux mais quand son père meurt, le prince doit succéder à son père et retourne vivre avec sa famille dans le palais paternel. Or il se trouve que le prince a pour mère une ogresse et qu'il lui avait caché son mariage et la naissance de ses enfants de peur qu'elle ne les mangeât.
    Or il arriva qu'un roi voisin lui déclara la guerre et il dut s'absenter pour se défendre. L'ogresse en profita pour mener la Belle et ses enfants à la campagne, pour assouvir plus tranquillement ses appétits féroces. Mais le cuisinier, par trois fois réussit à la berner en lui cuisinant, un agneau, un chevreau, une biche, au lieu des enfants et de leur mère, et il prit soin de les cacher chez lui. Mais un jours alors que l'ogresse se promenait, elle reconnut la voix des enfants, découvrit alors le piège dans lequel elle était tombée et décida de se venger sur le champ en faisant préparer au milieu de la cour un gros chaudron rempli de serpents et de crapauds, pour y jeter les enfants et leur mère. Mais le jeune roi revient à temps pour sauver sa famille. de rage, l'ogresse se précipita dans le chaudron et mourut.

    Le Petit Chaperon rouge
    Une fillette, est chargée par sa mère de porter à sa grand-mère malade, qui habite le village voisin, au delà de la forêt, une galette et un petit pot de beurre. En chemin, la petite fille, qui n'a pas été mise en garde par sa mère des dangers de la forêt, rencontre un loup qui est empêché de la dévorer par la présence de bûcherons. Pour assouvir sa faim, il tend un piège à la fillette, qui naïvement non seulement ne s'étonne pas que le loup veuille aller lui aussi rendre visite à sa grand-mère, mais lui indique son adresse et accepte de jouer avec le loup à celui qui arrivera le premier. Bien entendu, le loup arrive le premier, ( il court tandis que la fillette prend tout son temps ), il se fait passer pour le Chaperon rouge, et dévore la grand-mère. Quand le Chaperon arrive, le loup se fait passer la grand-mère, et dévora la fillette.
    La Barbe bleue
    Un riche roturier, enlaidi par sa barbe bleue, effrayait tout le monde. Un jour, il décide de demander en mariage une des filles de sa voisine et pour que chacune puisse choisir il invite la mère, ses filles, leurs amies, dans sa belle maison de campagne. Pendant huit jours ce ne sont que fêtes et festins, de sorte que la cadette décide de l’épouser en dépit de sa laideur.
    Alors qu’il prétend devoir s’absenter six semaines pour affaire, il invite sa femme à profiter de cette liberté pour aller se divertir avec ses amies dans sa maison de campagne : elle pourra faire tout ce qu’elle veut, sauf ouvrir la porte d’un certain d’un cabinet dont il lui confie toutefois la clef. La jeune femme accepte mais c’est sans compter sur sa curiosité qui est bien plus forte que le serment qu’elle a fait à son mari. Quand elle ouvre le cabinet, elle découvre les corps ensanglantés des précédentes épouses de son mari. Le soir même ( ce qui prouve bien que c’était un piège tendu à la jeune femme), son mari est de retour et demande que les clefs lui soient restituées. Mais la clef du cabinet était souillée de sang et malgré tous les efforts de la jeune femme, elle n’avait pu éliminer les preuves de sa curiosité ( la clef était fée). Barbe bleue condamne sa fille à mourir et alors qu’il s’apprêtait à l’égorger, ses deux beaux frères arrivent et le tuent. Veuve, le jeune femme hérite de tous les biens de son défunt mari et vit désormais heureuse avec un mari aimant.
    Le maître Chat ou le chat botté
    Á la mort de leur père, un modeste meunier, les trois fils se partagent ses biens : l’aîné prend le moulin, le deuxième prend l’âne, il ne reste que le chat pour le cadet qui s’en désole, mais ce chat lui assure qu’il ne manquera de rien et qu’il suffit de l’équiper de bottes et de lui donner un sac.
    Ainsi équipé, il braconne et porte au roi, de la part de son maître, qu’il baptise pour les circonstance, marquis de Carabas, son butin. Le rois touché ne manque pas de le remercier. Enhardi par son succès, le chat organise une mise en scène pour que son maître rencontre le roi et sa fille. Il feint une noyade de son maître quand le carrosse royal passe près de l’étang. Aussitôt le roi lui fait porter secours, lui offre de beaux vêtements et l’invite à poursuivre la promenade avec eux. Le chat avait pris la précaution de faire dire aux paysans qui travaillaient dans les champs, qu’ils étaient au service du marquis de Carabas et le roi de s’exclamer devant l’ampleur du patrimoine de son hôte. De même, le chat avait pris soin d’éliminer l’ogre, propriétaire du château de la région, en le mettant au défit de se transformer en une souris, défi relevé, le chat mange l’ogre devenu souris. Le cortège royal est reçu dans le château et profite du festin qui avait été préparé pour l’ogre et le maître du chat épouse la fille du roi
    Les Fées
    Une veuve avait deux filles,l’aînée qui était comme elle orgueilleuse et désagréable et qu’elle aimait beaucoup, la cadette, douce et honnête comme l’était son père et qu’elle détestait tant qu’elle était chargée des tâches ingrates de la maison.
    Un jour qu’elle allait chercher de l’eau à une fontaine éloignée, elle rencontre une vieille dame, pauvrement vêtue qui lui demande à boire et à qui sans hésiter et avec beaucoup de bienveillance elle donne de l’eau. Pour la remercie (c’était une fée), elle lui fait don de transformer toutes ses paroles en diamants et autres pierres précieuses. Devant un tel prodige sa mère décide d’envoyer à la fontaine sa fille aînée, mais elle rencontre une jeune et jolie femme, bien vêtue, ( la fée avait changé d’aspect) et elle répond agressivement à sa demande. Pour la punir elle lui jette un sort et transforme toutes ses paroles en crapauds et autres vipères. La mère est horrifiée,rend la cadette responsable et la chasse de la maison.
    Mais, au cours de son errance elle rencontre un jeune et beau prince qui la console et qui la trouvant très belle et ne dédaignant pas le don qu’elle avait l’épouse. Quant à la fille aînée, sa mère dégoûtée, est elle aussi bannie de la maison et elle meurt seule et abandonnée au coin d’un bois.
    Cendrillon ou la petite pantoufle de verre
    Un riche gentilhomme, veuf, père d’une fille très belle, très douce, très bonne comme l’était sa mère, épouse une femme très fière et très hautaine, mère de deux filles du même caractère. La belle-mère, jalouse de toutes les qualités de sa belle-fille, la déteste et lui fait faire toutes les tâches ingrates de la maison ( cf Les Fées) alors que ses propres filles sont choyées. Cendrillon ( qui doit son surnom au fait qu’elle s’asseyait dans les cendres : cucendron = cul de cendre, devenu cendrillon, surnom moins péjoratif donné par une de ses sœurs) supporte tout avec patience et sans se plaindre (cf Griselidis)
    Un jour, le fils du roi invite à son bal toutes les jeunes filles nobles de la région, et Cendrillon, exclue de part sa situation familiale et non pas sociale, aide avec beaucoup de bonté ses sœurs à se préparer . Mais le jours du bal, elle ne peut s’empêcher d’être triste, aussi, sa marraine la fée, lui offre-t-elle la possibilité d’assister au bal ( citrouille= carrosse ; souris = chevaux ; rat= cocher ; lézards = laquais ; hardes = riches vêtements ; + en cadeau : une paire de pantoufles de verre ( # de vair, comme l’ont corrigé Balzac et Littré), toutefois elle donne une condition, elle ne doit pas rester à la fête au-delà de minuit, sinon les prodigieuses métamorphoses prendront fin
    Au bal, elle fait sensation, elle est admirée de tous, même de ses sœurs qui ne peuvent pas la reconnaître tant elle est méconnaissable ; le fils du roi n’a d’yeux que pour elle et passe toute la soirée en sa compagnie. A 11H45, elle quitte la fête comme promis.
    Le lendemain, elle retourne au bal, mais, tout au plaisir d’être en la compagnie du fils du roi, elle oublie l’impératif horaire imposé par sa marraine et quitte précipitamment la fête au douzième coup de minuit et perd une pantoufle de verre, que le fils du roi ne manque du roi ne manque pas de ramasser.
    Quelques jours plus tard, le fils du roi fait savoir qu’il épousera la jeune fille à qui appartient la pantoufle de verre. La dite pantoufle est donc essayée par toutes les jeunes filles des environs, de la plus noble à la plus modeste ( cf Peau d’Âne), il ne reste plus que Cendrillon… Elle épouse le fils du roi, accepte le pardon de ses sœurs qu’elle invite à vivre avec elle dans le palais de son mari et qu’elle marie à de grand princes.
    Riquet à la houppe
    Une reine eut un fils très laid mais qui de l’avis de la fée qui était présente à sa naissance aurait beaucoup d’esprit ; elle lui fit don de donner de l’esprit à la personne qu’il aimerait le plus.
    7 ou 8 ans plus tard, la reine voisine de la mère de Riquet à la Houppe, eut deux filles diamétralement opposées : la première très belle mais qui selon la même fée qui était présente lors de la naissance de Riquet à la houppe serait très sotte, l’autre, très laide mais qui serait pleine d’esprit. Pour consoler la première, la fée lui accorde le don de métamorphoser la laideur en beauté. L’aînée est délaissée de tous tandis que la seconde est très adulée et toujours en bonne compagnie.
    Un jour que l’aînée se promenait seule, elle rencontre Riquet à la Houppe qui était à sa recherche tant il avait été séduit par les portraits qu’il avait vus d’elle et comme elle se désole d’être bête, il use de son don et lui donne tout l’esprit qu’elle souhaite, en compensation elle s’engage à l’épouser toutefois il lui laisse un an pour réfléchir.
    De retour chez elle, sa vie est changée, tout le monde l’adule, recherche sa compagnie, elle est courtisée par nombre de prétendants. Partie en forêt pour réfléchir tranquillement aux propositions qui lui sont faites, elle rencontre Riquet à la houppe qui se prépare pour ses noces qui devaient avoir lieu le lendemain (un an s’était passé depuis leur première rencontre) mais la jeune fille recule devant la laideur du jeune homme et lui déclare qu’elle renonce à son engagement. Mais Riquet à la houppe, après s’être assuré qu’elle n’avait pas d’autre grief à son encontre que sa laideur, lui rappelle qu’il ne dépend que d’elle de surmonter cet obstacle puisqu’elle possède le don de transformer la laideur en beauté. Ce qu’elle fit et ils se marièrent.
    Le Petit Poucet
    Une année de grande famine, un couple de bûcherons très pauvres se voient contraints d’abandonner leurs sept enfants, âgés de 7 à 1O ans, dans la forêt, car ils n’ont pas le courage de les voir mourir de faim. Mais le plus jeune, très avisé, ayant tout entendu du projet de ses parents, décide d’anticiper : il va ramasser des petits cailloux qu’il sème tout le long du chemin, aussi ses frères et lui regagnent-ils la maison paternelle sans aucune difficulté. Or il se trouva que ce jour là, le seigneur du village avait enfin remboursé aux bûcherons l’argent qu’il leur devait et ils étaient en train de faire bonne chère et la mère se lamentait de l’absence de ses enfants, quand elle les entendit. La joie est immense et cette joie dura tant que le couple eut de l’argent.
    Lorsqu’ils se retrouvèrent dans la précarité première, les parents décident à nouveau d’abandonner leurs enfants mais en prenant soin cette fois-ci qu’ils ne puissent retrouver le chemin de la maison. Outre qu’ils décident de les conduire au plus profond de la forêt, ils avaient pris soin, la veille au soir de fermer la porte à double tour et le Petit Poucet fut empêché d’aller ramasser des cailloux. Aussi malgré la précaution dérisoire du Petit Poucet de semer des miettes de pain ( il n’est pas si avisé que cela), les frères sont perdus au milieu de la forêt, dans la nuit et les intempéries.
    Mais le Petit Poucet aperçoit une lumière et bientôt ils arrivent à une chaumière, mais c’est celle d’un ogre et malgré les justes raisons invoquées par sa femme pour leur refuser l’hospitalité, ils insistent pour être recueillis, espérant que l’ogre aura quelque pitié d’eux. Elle les cache donc sous leur lit mais c’est sans compter sur le flair incomparable de son mari qui découvre où sont cachés les enfants et qui décide de les servir en festin à trois ogres de ses amis. La femme réussit toutefois à le convaincre de remettre au lendemain leur exécution. Ainsi, les 7 frères sont couchés dans un même lit dans la même chambre que les 7 filles de l’ogre. Le Petit Poucet prend la précaution d’échanger les couronnes d’or contre leurs bonnets dans l’éventualité où l’ogre exécuterait son forfait pendant leur sommeil. De fait l’ogre monte dans la chambre des enfants et tue ses 7 filles, croyant tuer les 7 garçons. Le Petit Poucet intime l’ordre à ses frères de fuir, mais le lendemain matin, l’ogre fou furieux, se lance à leur poursuite avec ses bottes de sept lieues. Fatigué, il s’arrête et s’assied sur la pierre sous laquelle les enfants s’étaient caché en apercevant l’ogre. Tandis qu’il dort à poings fermés, le Petit Poucet ordonne à ses frères de rejoindre très vite le logis paternel, tandis qu lui, chaussé des bottes de sept lieues, se rend chez la femme de l’ogre, lui fait croire que son mari est aux mains de brigands qui réclament une rançon et qu’il est chargé par son mari de venir chercher toute sa fortune ( la preuve pour aller plus vite il lui a prêté ses bottes) et riche, il rentre chez ses parents qui l’accueillent avec joie et soulagement.
    Une autre fin est proposée : Le Petit Poucet serait devenu courrier du roi ( il portait au plus vite à l’armée ses ordres) et sa vélocité était largement récompensée. De plus sa réputation était telle qu’il portait les lettres des dames de la cour à leurs amants. Après avoir amassé beaucoup d’argent, il serait rentré chez ses parents et aurait offert à chacun de ses frères une belle situation.

    professeur83
    professeur83


    Date d'inscription : 25/10/2013
    Localisation : mostaganem

    des résumés de quelques contes Empty Re: des résumés de quelques contes

    Message par professeur83 Ven 12 Sep - 19:14

    merci collègue, c'est un travail trés interessant!!
    avatar
    djedou


    Date d'inscription : 19/09/2014
    Localisation : skikda

    des résumés de quelques contes Empty Re: des résumés de quelques contes

    Message par djedou Mer 10 Déc - 17:45

    merci beaucoup

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