pourquoi ne pas écrire des articles de divertissement! une lecture qui nous aide à décharger notre corvée, à oublier nos soucis. celle qui nous permettra d'échapper ce réel! on en a assez de la politique! bon, ce n'est qu'un avis! passez une excellente soirée!
3 participants
changeons!
kantara- Date d'inscription : 04/02/2010
Localisation : Constantine
- Message n°2
Re: changeons!
latroch27 a écrit:pourquoi ne pas écrire des articles de divertissement! une lecture qui nous aide à décharger notre corvée, à oublier nos soucis. celle qui nous permettra d'échapper ce réel! on en a assez de la politique! bon, ce n'est qu'un avis! passez une excellente soirée!
Asslama ! Excellente idée ...cependant .... tu veux dire des articles comme support de travail ? quel genre de divertissement ? si c'est juste pour notre propre lecture , nous sommes prêts à te lire et lire les autres aussi pourquoi pas? Les profs de lettres n'ont- ils pas effectivement un grain de folie "d'écrire " à force de lire ?
ps: Pour le travail nous sommes tenus d'utiliser des textes d'auteurs !Par ailleurs , on peut choisir des "articles" qui nous plaisent .
Excellente soirée à toi de même !
kamel 25- Date d'inscription : 13/05/2012
- Message n°3
Re: changeons!
Il ne faut pas compter les heures,il faut compter les secondes dit-on alors changeons de rails pour nous entraîner sur la manière d'écrire des textes au lieu de retourner les pages du passé qui n'appartiennent qu'aux auteurs ayant pu marquer leur époque.On peut DEVENIR des AUTEURS à force d' 'unifier nos efforts dans cette voie.
kamel 25- Date d'inscription : 13/05/2012
- Message n°4
Re: changeons!
Bonjour Kantara
Je vous envoie cette écriture pour pouvoir l'analyser et l'éditer si c'est possible.Ce n'est qu'un début,il y en a une vingtaine de pages.Voyez-vous ,à notre époque on a jamais essayé d'écrire.
Un retraité pas comme les autres
Dans ma chambre un peu chauffée, je m’allonge comme d’habitude pour dormir mais cette nuit ne m’est guère favorable, je ne trouve pas le sommeil. Une nuit blanche où l’obscurité parvient à s’étendre partout, je laisse mon corps s’adapter à cette noirceur en regardant, inerte et figé ces instants sombres qui m’enveloppent. L’électricité elle-même a disparu cette nuit en faveur de cet assombrissement. Absorbé par cette nébulosité, Je laisse mon âme se libérer dans ce vaste néant à la recherche de mon passé, introduisant ainsi le temps assimilé fortuitement par rapport au soupir qui ne cesse de me suivre. Cette inspiration rejetée par l’ouverture de la bouche sous forme d’expiration d’un petit vent, traduit incontestablement un regret fortement enregistré dans ma mémoire. Les jours se succèdent en venant se rapprocher des derniers moments du coucher du soleil pour s’agonir, montrant une image symbolique de la vie de l’espèce humaine qui est entrain de prendre le chemin d’un départ sans retour. Seule l’histoire sera présente à travers ces différentes générations ou chacun aura cette faculté de voir que son passage n’est qu’éphémère. Je navigue dans ce monde, en suivant mon âme flotter dans cet univers pour découvrir des repères de ma carrière propre à ma jeunesse et à mon enfance. Le soupir est là, présent du temps passé dans lequel j’étais cloîtré dans une fonction noble, celle de l’enseignement. Un long parcours de combattant de la plume suit le rythme régulier des années qui s’écoulent et à aucun moment, pendant toute une carrière, je n’avais la certitude de pouvoir améliorer mon niveau que lorsque j’ai eu l’occasion de prendre ma retraite. L’obstacle le plus fréquent c’est l’épreuve du BAC qui entrave le parcours de mes études. J’ai mis à terme mon projet pour l’obtenir, une manière de dire un défi auquel je n’avais aucun espoir de le réaliser car la langue Arabe classique m’était étrangère au point où je ne savais même pas analyser un mot ou une phrase, chose qui m’écartait le plus souvent de réaliser mes vœux à cette époque. En revanche ; et fort heureusement, les résultats ont montré ma capacité d’avoir passer à des méthodes les plus simples pour trouver le secret de la réussite. Par miracle, j’étais admis. Aussi, j’ai jugé utile de rejoindre les bancs de l’université, d’étudier à mon âge très avancé de façon à obtenir un diplôme honorable, celui d’une petite licence. Quatre années furent passées avec cette ferme volonté, je bénéficie tout comme les autres d’un certificat d’aptitude. Dès lors, je manifeste ma longue réjouissance de mon attestation en évoquant les jours radieux de mon enfance déstabilisée par ce bout de papier. Le soupir hantera mon esprit à l’heure ou la découverte du savoir justifie le présent et non le passé en relation avec la jeunesse actuelle qui devra vivre son temps. Un retraité pas comme les autres avancera l’idée de créativité parmi les jeunes qui voudraient savourer ce savoir aussitôt. Bien que la réalité soit autre de la façon de penser ou de raisonner, je demeure en possession d’une réalité contraire, celle de pouvoir libérer cette impotence des vieux en relation avec le monde actuel. Je sonde ainsi la régularisation à ce nouveau stade de l’esprit humain, je transcende les divers handicaps de la vieillesse en valorisant la volonté, la motivation de l’être. Hélas ! Seul, mon corps gît dans ces profondes ténèbres à interpeler mon âme de revenir pacifiquement le rejoindre pour rechercher une autre création de l’esprit ou s’installeront d’autres visions de l’espèce humaine. Sans jamais y avoir pensé, j’ai tracé mon avenir bien trop tard à la suite de cette opportunité de l’obtention du « BAC » pour satisfaire ma conscience, une obsession de l’époque où j’étais encore étudiant, une manière de répondre à cette question de niveau au sein d’une société qui ne pardonne pas. Donner l’espoir aux jours qui restent par un profil autre que celui d’un instituteur à l’équivalence de celui d’un professeur qui jouit honorablement d’une liberté fondamentale, celle de l’esprit ouvert à travers un enseignement sans équivoque abordable par l’ex : instituteur que j’étais, il y a trente et un ans. Grands et petits, dans ce village dénommé Médrissa admirèrent cette réussite et ce long parcours de l’Université à juste titre achevé par une « LICENCE » de Français. De partout d’ailleurs dans les villes et villages avoisinants, l’on ne cesse d’imiter ce geste déterminant l’avenir brisé de tout un chacun voulant refaire sa vie. Dans les villes côtières ou dans le grand désert, les jeunes comme les grands savent presque parfaitement comment vogue un navire, toujours maintenu en surface, fendant les flots, accomplissant sa mission, défiant vent et vagues . Voulant ainsi atteindre son objectif par le biais du gouvernail. Il y va de la volonté qui doit, en effet être de prime abord l’exclusion de tout obstacle d’une pensée négative. Il en découle aussi la traduction nécessaire d’un point de départ sans retour. Nécessité d’élaborer un plan pour aborder son travail avec plus d’assurance et profits. Je ne dois pas manquer d’exploiter ma propre idée en citant des exemples concrets à l’heure où ma retraite en fait défaut, l’homme par sa nature offre un paysage plein de secrets, il agit pour transformer l’environnement dans lequel il vit où il présente typiquement un aspect lié étroitement à ce dernier. Une carrière se dissout : Une routine de son travail est en train de gagner du terrain. Laisser celui qui, influencé par son savoir-faire de choquer la société par un exploit, une autre attitude à prendre ; un engagement de céder à cette curiosité qui vous amène dans les flots d’une mer tourmentée, en disant : « Je n’ai aucune crainte, aucun embarras à m’engager dans les flots de cette mer. C’est une mer abstraite, collective faite pour tous ceux qui veulent y voguer et tous ceux qui, un jour, sont appelés à s’y tremper, pour une cause juste, une raison pour laquelle on est incité à améliorer notre savoir-faire bien qu’il soit tardif». Il n’est guère difficile de procéder à l’allure de la tortue et du lièvre de « La Fable de La Fontaine » Qui va lentement arrive sûrement. La seule différence à signaler réside dans un comportement optimiste à enfreindre les lois de l’obstacle naturel de l’esprit qui stagne et conserve le niveau d’antan, celui des anciennes générations qui se sont renfermées sur elles-mêmes. Un moyen de vérifier ses connaissances par l’outil informatique actuel qui vous donne l’occasion de saisir cette conjoncture. La question que doit se poser tout membre d’une collectivité revêt un caractère pertinent de la réussite, du défi, du triomphe, de la gloire en situant un avenir prospère, attendu, rêvé qui était sous estimé, mis à l’écart pendant longtemps. Une phase où l’individu a senti alléger un poids, une charge de toute une vie, donc une place méritée qui vous fait émerger vos joies, à l’encontre de vos souffrances, une façon d’avoir réalisé votre rêve, un temps soit peu. Et Adieu, les soucis de niveau. Acquérir un lien avec la bonne réponse pour se faire valoir et l’imposer comme une marque, une empreinte de son passage : celle d’un retraité à l’université. Quelles que soient les circonstances de lieu, de temps, l’homme a toujours cette envie de changer sa propre nature pour arriver au sommet. Cette ambition étant certes une manière de s’exprimer et d’exprimer son autodétermination un « MOI » jusqu’alors enfoui depuis plusieurs années, enseveli, enfermé, incarcéré, je dirai même inerte. La nécessité de connaitre l’ensemble de la masse humaine avec son précieux contenu intentionnel, avec ses variations intérieures et extérieures, la situation générale de la relation entre l’homme et son environnement, de se rendre actif et de jouir pleinement son rôle de forgeron du métier auquel on s’insère, forger des esprits devient une question impérieuse. Soumis aux divers responsables et gouvernés par la plus grande partie des inspecteurs, directeurs, j’avais ce grand besoin de m’évader mais hélas !j’ai vivement compris que les rôles étaient inversés, véhiculé et promu au plus haut degré pour le bien d’un monde serein et juste, je dus prendre ce revers pour m’acquitter de cette tâche où la conscience professionnelle est de taille ,en faîte une éducation ,un apprentissage de la formation de l’esprit autant dire une continuelle besogne vis-à-vis de notre religion sacrée. Un éducateur ne peut se soumettre qu’à son travail d’où il dépend, la prise en charge de l’enfant et lorsque c’est acquis, il marche comme sur des roulettes. La vie continue de jour comme de nuit, faisant tourner la cervelle de ceux qui dorment et de ceux qui restent éveillés, jusqu’à les faire procréer d’une idée que nous devons nécessairement entretenir jusqu’à cet avènement. La création de l’esprit continue, bien plus lorsqu’on donne le soin à ceux qui savent introduire l’effet psychologique de chacun dans l’attente de pouvoir récolter ce qu’on a semé. Bien plus que toutes les sciences, et toutes les philosophies, celle qui a un rapport direct avec la façon d’être responsable devrait bénéficier de la priorité et d’être une matière d’enseignement et un processus d’éducation dont tireraient profit tous les citoyens. Cette forme a dignement traduit un comportement positif à l’égard des gens qui ont su s’habiller différemment en empruntant le chemin de la célébrité, un hommage est rendu à chacun d’eux grâce à cette mesure prise tardivement mais combien nécessaire, utile à leur façon de voir leur objectif atteint. Des maçons, des peintres, et bien d’autres ont suivi cette voie pour bénéficier de l’aventure de l’écriture à la place de la truelle et du pinceau. Des hommes qui ont peint leur jeunesse dépassée par l’accueil chaleureux des vieux qui pu leur transmettre le message du savoir. Là dessus les leçons devront avec toutes les formes et les couleurs imaginables, pleuvoir d’un seul trait, notamment la philosophie, qui reste le seul handicap pour ceux qui n’arrivent pas à l’exploiter. La didactique elle-même suppose le savoir-faire de l’enseignant et présuppose toute traduction d’un programme donné pour le rendre simple, élémentaire, non complexe, accessible aux élèves qui ont tendance au succès.
Je vous envoie cette écriture pour pouvoir l'analyser et l'éditer si c'est possible.Ce n'est qu'un début,il y en a une vingtaine de pages.Voyez-vous ,à notre époque on a jamais essayé d'écrire.
Un retraité pas comme les autres
Dans ma chambre un peu chauffée, je m’allonge comme d’habitude pour dormir mais cette nuit ne m’est guère favorable, je ne trouve pas le sommeil. Une nuit blanche où l’obscurité parvient à s’étendre partout, je laisse mon corps s’adapter à cette noirceur en regardant, inerte et figé ces instants sombres qui m’enveloppent. L’électricité elle-même a disparu cette nuit en faveur de cet assombrissement. Absorbé par cette nébulosité, Je laisse mon âme se libérer dans ce vaste néant à la recherche de mon passé, introduisant ainsi le temps assimilé fortuitement par rapport au soupir qui ne cesse de me suivre. Cette inspiration rejetée par l’ouverture de la bouche sous forme d’expiration d’un petit vent, traduit incontestablement un regret fortement enregistré dans ma mémoire. Les jours se succèdent en venant se rapprocher des derniers moments du coucher du soleil pour s’agonir, montrant une image symbolique de la vie de l’espèce humaine qui est entrain de prendre le chemin d’un départ sans retour. Seule l’histoire sera présente à travers ces différentes générations ou chacun aura cette faculté de voir que son passage n’est qu’éphémère. Je navigue dans ce monde, en suivant mon âme flotter dans cet univers pour découvrir des repères de ma carrière propre à ma jeunesse et à mon enfance. Le soupir est là, présent du temps passé dans lequel j’étais cloîtré dans une fonction noble, celle de l’enseignement. Un long parcours de combattant de la plume suit le rythme régulier des années qui s’écoulent et à aucun moment, pendant toute une carrière, je n’avais la certitude de pouvoir améliorer mon niveau que lorsque j’ai eu l’occasion de prendre ma retraite. L’obstacle le plus fréquent c’est l’épreuve du BAC qui entrave le parcours de mes études. J’ai mis à terme mon projet pour l’obtenir, une manière de dire un défi auquel je n’avais aucun espoir de le réaliser car la langue Arabe classique m’était étrangère au point où je ne savais même pas analyser un mot ou une phrase, chose qui m’écartait le plus souvent de réaliser mes vœux à cette époque. En revanche ; et fort heureusement, les résultats ont montré ma capacité d’avoir passer à des méthodes les plus simples pour trouver le secret de la réussite. Par miracle, j’étais admis. Aussi, j’ai jugé utile de rejoindre les bancs de l’université, d’étudier à mon âge très avancé de façon à obtenir un diplôme honorable, celui d’une petite licence. Quatre années furent passées avec cette ferme volonté, je bénéficie tout comme les autres d’un certificat d’aptitude. Dès lors, je manifeste ma longue réjouissance de mon attestation en évoquant les jours radieux de mon enfance déstabilisée par ce bout de papier. Le soupir hantera mon esprit à l’heure ou la découverte du savoir justifie le présent et non le passé en relation avec la jeunesse actuelle qui devra vivre son temps. Un retraité pas comme les autres avancera l’idée de créativité parmi les jeunes qui voudraient savourer ce savoir aussitôt. Bien que la réalité soit autre de la façon de penser ou de raisonner, je demeure en possession d’une réalité contraire, celle de pouvoir libérer cette impotence des vieux en relation avec le monde actuel. Je sonde ainsi la régularisation à ce nouveau stade de l’esprit humain, je transcende les divers handicaps de la vieillesse en valorisant la volonté, la motivation de l’être. Hélas ! Seul, mon corps gît dans ces profondes ténèbres à interpeler mon âme de revenir pacifiquement le rejoindre pour rechercher une autre création de l’esprit ou s’installeront d’autres visions de l’espèce humaine. Sans jamais y avoir pensé, j’ai tracé mon avenir bien trop tard à la suite de cette opportunité de l’obtention du « BAC » pour satisfaire ma conscience, une obsession de l’époque où j’étais encore étudiant, une manière de répondre à cette question de niveau au sein d’une société qui ne pardonne pas. Donner l’espoir aux jours qui restent par un profil autre que celui d’un instituteur à l’équivalence de celui d’un professeur qui jouit honorablement d’une liberté fondamentale, celle de l’esprit ouvert à travers un enseignement sans équivoque abordable par l’ex : instituteur que j’étais, il y a trente et un ans. Grands et petits, dans ce village dénommé Médrissa admirèrent cette réussite et ce long parcours de l’Université à juste titre achevé par une « LICENCE » de Français. De partout d’ailleurs dans les villes et villages avoisinants, l’on ne cesse d’imiter ce geste déterminant l’avenir brisé de tout un chacun voulant refaire sa vie. Dans les villes côtières ou dans le grand désert, les jeunes comme les grands savent presque parfaitement comment vogue un navire, toujours maintenu en surface, fendant les flots, accomplissant sa mission, défiant vent et vagues . Voulant ainsi atteindre son objectif par le biais du gouvernail. Il y va de la volonté qui doit, en effet être de prime abord l’exclusion de tout obstacle d’une pensée négative. Il en découle aussi la traduction nécessaire d’un point de départ sans retour. Nécessité d’élaborer un plan pour aborder son travail avec plus d’assurance et profits. Je ne dois pas manquer d’exploiter ma propre idée en citant des exemples concrets à l’heure où ma retraite en fait défaut, l’homme par sa nature offre un paysage plein de secrets, il agit pour transformer l’environnement dans lequel il vit où il présente typiquement un aspect lié étroitement à ce dernier. Une carrière se dissout : Une routine de son travail est en train de gagner du terrain. Laisser celui qui, influencé par son savoir-faire de choquer la société par un exploit, une autre attitude à prendre ; un engagement de céder à cette curiosité qui vous amène dans les flots d’une mer tourmentée, en disant : « Je n’ai aucune crainte, aucun embarras à m’engager dans les flots de cette mer. C’est une mer abstraite, collective faite pour tous ceux qui veulent y voguer et tous ceux qui, un jour, sont appelés à s’y tremper, pour une cause juste, une raison pour laquelle on est incité à améliorer notre savoir-faire bien qu’il soit tardif». Il n’est guère difficile de procéder à l’allure de la tortue et du lièvre de « La Fable de La Fontaine » Qui va lentement arrive sûrement. La seule différence à signaler réside dans un comportement optimiste à enfreindre les lois de l’obstacle naturel de l’esprit qui stagne et conserve le niveau d’antan, celui des anciennes générations qui se sont renfermées sur elles-mêmes. Un moyen de vérifier ses connaissances par l’outil informatique actuel qui vous donne l’occasion de saisir cette conjoncture. La question que doit se poser tout membre d’une collectivité revêt un caractère pertinent de la réussite, du défi, du triomphe, de la gloire en situant un avenir prospère, attendu, rêvé qui était sous estimé, mis à l’écart pendant longtemps. Une phase où l’individu a senti alléger un poids, une charge de toute une vie, donc une place méritée qui vous fait émerger vos joies, à l’encontre de vos souffrances, une façon d’avoir réalisé votre rêve, un temps soit peu. Et Adieu, les soucis de niveau. Acquérir un lien avec la bonne réponse pour se faire valoir et l’imposer comme une marque, une empreinte de son passage : celle d’un retraité à l’université. Quelles que soient les circonstances de lieu, de temps, l’homme a toujours cette envie de changer sa propre nature pour arriver au sommet. Cette ambition étant certes une manière de s’exprimer et d’exprimer son autodétermination un « MOI » jusqu’alors enfoui depuis plusieurs années, enseveli, enfermé, incarcéré, je dirai même inerte. La nécessité de connaitre l’ensemble de la masse humaine avec son précieux contenu intentionnel, avec ses variations intérieures et extérieures, la situation générale de la relation entre l’homme et son environnement, de se rendre actif et de jouir pleinement son rôle de forgeron du métier auquel on s’insère, forger des esprits devient une question impérieuse. Soumis aux divers responsables et gouvernés par la plus grande partie des inspecteurs, directeurs, j’avais ce grand besoin de m’évader mais hélas !j’ai vivement compris que les rôles étaient inversés, véhiculé et promu au plus haut degré pour le bien d’un monde serein et juste, je dus prendre ce revers pour m’acquitter de cette tâche où la conscience professionnelle est de taille ,en faîte une éducation ,un apprentissage de la formation de l’esprit autant dire une continuelle besogne vis-à-vis de notre religion sacrée. Un éducateur ne peut se soumettre qu’à son travail d’où il dépend, la prise en charge de l’enfant et lorsque c’est acquis, il marche comme sur des roulettes. La vie continue de jour comme de nuit, faisant tourner la cervelle de ceux qui dorment et de ceux qui restent éveillés, jusqu’à les faire procréer d’une idée que nous devons nécessairement entretenir jusqu’à cet avènement. La création de l’esprit continue, bien plus lorsqu’on donne le soin à ceux qui savent introduire l’effet psychologique de chacun dans l’attente de pouvoir récolter ce qu’on a semé. Bien plus que toutes les sciences, et toutes les philosophies, celle qui a un rapport direct avec la façon d’être responsable devrait bénéficier de la priorité et d’être une matière d’enseignement et un processus d’éducation dont tireraient profit tous les citoyens. Cette forme a dignement traduit un comportement positif à l’égard des gens qui ont su s’habiller différemment en empruntant le chemin de la célébrité, un hommage est rendu à chacun d’eux grâce à cette mesure prise tardivement mais combien nécessaire, utile à leur façon de voir leur objectif atteint. Des maçons, des peintres, et bien d’autres ont suivi cette voie pour bénéficier de l’aventure de l’écriture à la place de la truelle et du pinceau. Des hommes qui ont peint leur jeunesse dépassée par l’accueil chaleureux des vieux qui pu leur transmettre le message du savoir. Là dessus les leçons devront avec toutes les formes et les couleurs imaginables, pleuvoir d’un seul trait, notamment la philosophie, qui reste le seul handicap pour ceux qui n’arrivent pas à l’exploiter. La didactique elle-même suppose le savoir-faire de l’enseignant et présuppose toute traduction d’un programme donné pour le rendre simple, élémentaire, non complexe, accessible aux élèves qui ont tendance au succès.
kantara- Date d'inscription : 04/02/2010
Localisation : Constantine
- Message n°5
Re: changeons!
Merci pour la confiance et le parage ...donnez nous le temps de lire ..car comme vous devez le savoir ..."la saturation" de la fin de semaine ....
ps:Merci pour toutes vos contributions sur notre forum .
ps:Merci pour toutes vos contributions sur notre forum .
kamel 25- Date d'inscription : 13/05/2012
- Message n°6
Re: changeons!
Merci Kantara
Vous avez tout votre temps pour le lire car j'écris seulement aux autres de façon à leur donner cette volonté de briser les obstacles de la vie, cela étant,vous qui êtes en fonction essayez de semer cette bonne graine parmi l'élite.
Vous avez tout votre temps pour le lire car j'écris seulement aux autres de façon à leur donner cette volonté de briser les obstacles de la vie, cela étant,vous qui êtes en fonction essayez de semer cette bonne graine parmi l'élite.
kamel 25- Date d'inscription : 13/05/2012
- Message n°7
Re: changeons!
Notre but est de s'interroger sur notre façon de voir car la classe change avec la société,elle change tout le temps,ne pas imposer notre vision de voir.Changeons...pour apprendre à écrire notre page d'histoire.