1. Les mass-médias et la culture de la violence
L'école était depuis son institution un lieu sacré consacré à l'apprentissage et du savoir et du savoir être. C'est là où l'enfant s'instruit se socialise et développe ses talents. Au sein d'un groupe d'apprenants, l'élève est appelé à communiquer avec ses collègues, s'échanger les idées, influencer et s'influencer.
Il est tout à fait naturel qu'il y ait souvent quelques bagatelles entre les sujets apprenants dues peut-être à la différence de leurs caractères, comportements, de l'éducation subie par chacun d'eux. Mais que ces petits problèmes arrivent jusqu'à la violence verbale ou physique contre les collègues et même contre l'enseignant, cela pousse à réfléchir.
La violence à l'école prend plusieurs formes : racket, Insultes, vols, menaces verbales, extorsion (tapage), bagarres, gangs, armes, vandalisme (...) pratiqués par des garçons et moins fréquemment par des filles. Il ne s'agit plus des écarts de conduite mais de pratiques quotidiennes accrues.
Qu'on le veuille ou pas, le milieu de vie influence notre caractère. On est touché plus ou moins par ce qu'on voit, ce qu'on écoute à travers les mass-médias et notre milieu se caractérise aujourd'hui par une submersion de la technologie audiovisuelle. Internet, télévision, téléphone, développent une nouvelle manière de communiquer favorisant les images. Ces moyens ont effacé les frontières entre les êtres humains. On voit et on entend parler de tout ce qui se passe dans le monde.
Mais tout n'est pas bon à regarder ni à écouter. A nos jours, Guerres, manifestations violentes, filmes d'actions . .sont devenus un pain quotidien. Les mass-médias commencent à présenter un réel danger pour nos enfants. Passant une grande partie de la journée à regarder la télé, les jeunes consomment des doses élevées de scènes violentes. Selon un sondage de Médiamétrie, datant de Janvier 2003, les enfants passent plus de deux heures chaque jour devant leur écran de télévision. L'un des télévisions qui diffusent le plus une matière violente est la télé américaine :
L'école était depuis son institution un lieu sacré consacré à l'apprentissage et du savoir et du savoir être. C'est là où l'enfant s'instruit se socialise et développe ses talents. Au sein d'un groupe d'apprenants, l'élève est appelé à communiquer avec ses collègues, s'échanger les idées, influencer et s'influencer.
Il est tout à fait naturel qu'il y ait souvent quelques bagatelles entre les sujets apprenants dues peut-être à la différence de leurs caractères, comportements, de l'éducation subie par chacun d'eux. Mais que ces petits problèmes arrivent jusqu'à la violence verbale ou physique contre les collègues et même contre l'enseignant, cela pousse à réfléchir.
La violence à l'école prend plusieurs formes : racket, Insultes, vols, menaces verbales, extorsion (tapage), bagarres, gangs, armes, vandalisme (...) pratiqués par des garçons et moins fréquemment par des filles. Il ne s'agit plus des écarts de conduite mais de pratiques quotidiennes accrues.
Qu'on le veuille ou pas, le milieu de vie influence notre caractère. On est touché plus ou moins par ce qu'on voit, ce qu'on écoute à travers les mass-médias et notre milieu se caractérise aujourd'hui par une submersion de la technologie audiovisuelle. Internet, télévision, téléphone, développent une nouvelle manière de communiquer favorisant les images. Ces moyens ont effacé les frontières entre les êtres humains. On voit et on entend parler de tout ce qui se passe dans le monde.
Mais tout n'est pas bon à regarder ni à écouter. A nos jours, Guerres, manifestations violentes, filmes d'actions . .sont devenus un pain quotidien. Les mass-médias commencent à présenter un réel danger pour nos enfants. Passant une grande partie de la journée à regarder la télé, les jeunes consomment des doses élevées de scènes violentes. Selon un sondage de Médiamétrie, datant de Janvier 2003, les enfants passent plus de deux heures chaque jour devant leur écran de télévision. L'un des télévisions qui diffusent le plus une matière violente est la télé américaine :