Le métier d’enseignant n’est plus l’image du début du siècle. Pour toute personne qui s’intéresse un tant soit peu à l’enseignement, il est évident que cette profession n’est pas un long fleuve tranquille. Il suffit de quelques remplacements et discussions avec les enseignants pour se faire une idée du métier à l’heure actuelle, il est en éternelle mouvance. Puisque les enseignants font appel aux remplaçants, c’est bien qu’ils ont régulièrement des formations continues.
Pour une personne qui souhaite se diriger vers l’enseignement, deux facettes du métier nous semblent particulièrement importantes.
Tout d’abord, le métier d’enseignant est une profession de coopération. De nos jours, enseigner ne se limite pas à être seul face à ses élèves. Mais, par des projets d’établissement, l’enseignant est obligé de travailler avec d’autres personnes de tout âge et de toute formation afin de trouver de nouvelles idées, des innovations.
Le décloisonnement, par exemple, est une aide notoire pour voir l’élève en situations didactiques différentes. L’enseignant peut voir un élève sous un autre angle et trouver des solutions qu’il n’aurait peut-être pas remarquées en classe entière.
Le but de ces différentes situations de coopération est de placer l’enfant au centre de l’apprentissage pour l’aider à construire ses connaissances. Il ne faut pas négliger que chaque enfant est différent, et qu’il faut varier les outils d’apprentissage en fonction de ses capacités, trouver des stratégies utiles et efficaces.
Ensuite, les différences culturelles des élèves se greffent par-dessus leurs différences propres. Il faut donc s’adapter aux besoins et difficultés de chacun, être malléable et se remettre continuellement en question.
Actuellement, l’environnement politique et économique est plus difficile qu’auparavant, et les enfants en souffrent. Ceci se ressent à l’école, car les enfants viennent chargés de leurs problèmes, en plus de leurs difficultés d’apprentissage. Donc, la fonction d’enseignant en est modifiée.
En conclusion, être enseignant c’est collaborer et se remettre en question afin d’individualiser l’enseignement tout en atteignant les objectifs de chacun.
De plus l’enseignement permet à l’élève de se façonner et de s’ouvrir au monde..
Pour une personne qui souhaite se diriger vers l’enseignement, deux facettes du métier nous semblent particulièrement importantes.
Tout d’abord, le métier d’enseignant est une profession de coopération. De nos jours, enseigner ne se limite pas à être seul face à ses élèves. Mais, par des projets d’établissement, l’enseignant est obligé de travailler avec d’autres personnes de tout âge et de toute formation afin de trouver de nouvelles idées, des innovations.
Le décloisonnement, par exemple, est une aide notoire pour voir l’élève en situations didactiques différentes. L’enseignant peut voir un élève sous un autre angle et trouver des solutions qu’il n’aurait peut-être pas remarquées en classe entière.
Le but de ces différentes situations de coopération est de placer l’enfant au centre de l’apprentissage pour l’aider à construire ses connaissances. Il ne faut pas négliger que chaque enfant est différent, et qu’il faut varier les outils d’apprentissage en fonction de ses capacités, trouver des stratégies utiles et efficaces.
Ensuite, les différences culturelles des élèves se greffent par-dessus leurs différences propres. Il faut donc s’adapter aux besoins et difficultés de chacun, être malléable et se remettre continuellement en question.
Actuellement, l’environnement politique et économique est plus difficile qu’auparavant, et les enfants en souffrent. Ceci se ressent à l’école, car les enfants viennent chargés de leurs problèmes, en plus de leurs difficultés d’apprentissage. Donc, la fonction d’enseignant en est modifiée.
En conclusion, être enseignant c’est collaborer et se remettre en question afin d’individualiser l’enseignement tout en atteignant les objectifs de chacun.
De plus l’enseignement permet à l’élève de se façonner et de s’ouvrir au monde..