Nouveau message par asirem le Ven 11 Oct 2013 - 19:18
Devoir de français du 2er trimestre
Toujours debout à 5 heures pour animer « Bahdja Réveil », 6 jours sur 7. Pas trop contraignant ?
On ne se lasse pas quand on est passionné. J’adore mon métier et j’éprouve une joie incommensurable lorsque je prends l’antenne. Effectivement, chaque jour que dieu fait, je suis debout à 5h. il m’arrive aussi de travailler le soir quand il s’agit d’animer un concert ou autres manifestations culturelles. Résultat : souvent je n’ai droit qu’à 3 ou 4 heures de sommeil. Je ne m’en plains pas pour autant.
Comment êtes-vous venu à la radio ?
J’ai été approché en 1984 par Mohamed Tahar Foudala afin d’intégrer son équipe. On réalisait des pièces radiophoniques que diffusait à l’époque la chaine 1. En parallèle, je travaillais aussi avec Nadjoua dans une émission enfantine. D’ensuit, la chaîne 3 vers 87-88, où Djaawad Fasla m’avait sollicté pour donner des cours de guitare via les ondes. J’ai eu aussi le privilège de faire partie du noyau fondateur de radio Mitidja et El Bahdja où je n’ai pas cessé d’émettre depuis 1991.
Vous êtes de formation musicale, n’est-ce pas ?
Tout à fait. J’ai une licence de musicologie, obtenue à l’INSM. Le monde de la musique ne m’est pas étranger. Je peux affirmer que ma formation m’a beaucoup aidé à investir le monde de l’animation et de la programmation de la radio périphérique algéroise.
Votre façon de parler à l’antenne, qui se situe entre l’arabe classique et le dialecte algérien, est fort appréciée par les auditeurs. Vous le savez ?
J’ai toujours opté pour eddardja el mouhadaba (dialecte sain), si j’ose dire. Car il faut savoir que notre radio est également destinée à un auditoire autre qu’algérien. Pourquoi empêcher un libyen ou un syrien de nous écouter. Ceci dit, je pars du principe suivant : soit je parle totalement français et dans ce cas il y a une chaîne spécialisée pour cela ou sinon je m’exprime en arabe et dans ce cas El Bahdja est le cadre idoine. Je suis contre le principe du « moitié-moitié ».
Propos recueillis par Djamel Zerrouk.El Watan, Juillet 2006
I- Compréhension de l’écrit :
1- a/Comment s’appelle la personne à qui on pose les questions ? Quel métier exerce-t-elle ? b/Aime-t-elle son métier ? Relève 2 détails qui le montrent.
a/……………………………………………………………………………………………………………………………………………
b/……………………………………………………………………………………………………………………….....................
…………………………………………………………………………………………………………………………………………..
2- Complète le tableau en traçant l’itinéraire professionnel de cet animateur-radio :
1984
1987-1988
1991
3- Quelle autre formation a reçu cet animateur ?
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
4- De quelle manière s’exprime notre animateur à la radio ? pourquoi ?
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
5- Que pensent les auditeurs de cette façon de s’exprimer
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
6- Relève une interrogation partielle puis recopie-la.
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
7- a/Quel est le type d’interrogation utilisé dans la dernière question ?
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
b/ Repose la question avec inversion du sujet.
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
I- production écrite :
Retrouve les questions à partir des réponses :
L. Ramdani :………………………………………………………………………………………………………………………………………
Maissa : je suis professeur de français dans un lycée de l’Ouest algérien et mère de quatre enfants.
L. Ramdani :………………………………………………………………………………………………………………………………………
Maissa : le premier roman que j’ai écris était « Au commencement était la mère ».
L. Ramdani : ……………………………………………………………………………………………………………………………………..
Maissa : j’écris dans la langue française car j’ai été nourrie et imprégnée de culture française. Il est bien plus réaliste de considérer la langue française comme un acquis, un bien précieux, et peut-être même un butin de guerre ainsi que la définissait Kateb Yacine.
Devoir de français du 2er trimestre
Texte : « La radio, ma passion… »
Malgré sa silhouette juvénile, Chetrane est passé de boucler sa 3eme décennie d’homme de radio. Ses débuts à la radio chaîne 1, en 1984, son passage à la chaîne 3 et son statut de « membre fondateur » de Bahdja FM sont passés en revue dans ce bref entretien.Toujours debout à 5 heures pour animer « Bahdja Réveil », 6 jours sur 7. Pas trop contraignant ?
On ne se lasse pas quand on est passionné. J’adore mon métier et j’éprouve une joie incommensurable lorsque je prends l’antenne. Effectivement, chaque jour que dieu fait, je suis debout à 5h. il m’arrive aussi de travailler le soir quand il s’agit d’animer un concert ou autres manifestations culturelles. Résultat : souvent je n’ai droit qu’à 3 ou 4 heures de sommeil. Je ne m’en plains pas pour autant.
Comment êtes-vous venu à la radio ?
J’ai été approché en 1984 par Mohamed Tahar Foudala afin d’intégrer son équipe. On réalisait des pièces radiophoniques que diffusait à l’époque la chaine 1. En parallèle, je travaillais aussi avec Nadjoua dans une émission enfantine. D’ensuit, la chaîne 3 vers 87-88, où Djaawad Fasla m’avait sollicté pour donner des cours de guitare via les ondes. J’ai eu aussi le privilège de faire partie du noyau fondateur de radio Mitidja et El Bahdja où je n’ai pas cessé d’émettre depuis 1991.
Vous êtes de formation musicale, n’est-ce pas ?
Tout à fait. J’ai une licence de musicologie, obtenue à l’INSM. Le monde de la musique ne m’est pas étranger. Je peux affirmer que ma formation m’a beaucoup aidé à investir le monde de l’animation et de la programmation de la radio périphérique algéroise.
Votre façon de parler à l’antenne, qui se situe entre l’arabe classique et le dialecte algérien, est fort appréciée par les auditeurs. Vous le savez ?
J’ai toujours opté pour eddardja el mouhadaba (dialecte sain), si j’ose dire. Car il faut savoir que notre radio est également destinée à un auditoire autre qu’algérien. Pourquoi empêcher un libyen ou un syrien de nous écouter. Ceci dit, je pars du principe suivant : soit je parle totalement français et dans ce cas il y a une chaîne spécialisée pour cela ou sinon je m’exprime en arabe et dans ce cas El Bahdja est le cadre idoine. Je suis contre le principe du « moitié-moitié ».
Propos recueillis par Djamel Zerrouk.El Watan, Juillet 2006
I- Compréhension de l’écrit :
1- a/Comment s’appelle la personne à qui on pose les questions ? Quel métier exerce-t-elle ? b/Aime-t-elle son métier ? Relève 2 détails qui le montrent.
a/……………………………………………………………………………………………………………………………………………
b/……………………………………………………………………………………………………………………….....................
…………………………………………………………………………………………………………………………………………..
2- Complète le tableau en traçant l’itinéraire professionnel de cet animateur-radio :
1984
1987-1988
1991
3- Quelle autre formation a reçu cet animateur ?
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
4- De quelle manière s’exprime notre animateur à la radio ? pourquoi ?
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
5- Que pensent les auditeurs de cette façon de s’exprimer
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
6- Relève une interrogation partielle puis recopie-la.
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
7- a/Quel est le type d’interrogation utilisé dans la dernière question ?
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
b/ Repose la question avec inversion du sujet.
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
I- production écrite :
Retrouve les questions à partir des réponses :
L. Ramdani :………………………………………………………………………………………………………………………………………
Maissa : je suis professeur de français dans un lycée de l’Ouest algérien et mère de quatre enfants.
L. Ramdani :………………………………………………………………………………………………………………………………………
Maissa : le premier roman que j’ai écris était « Au commencement était la mère ».
L. Ramdani : ……………………………………………………………………………………………………………………………………..
Maissa : j’écris dans la langue française car j’ai été nourrie et imprégnée de culture française. Il est bien plus réaliste de considérer la langue française comme un acquis, un bien précieux, et peut-être même un butin de guerre ainsi que la définissait Kateb Yacine.