En lisant ce texte, tu auras parfois le choix entre trois mots. Choisis le bon et barre les deux autres.
On ne voulait rien lui dire. Alors, elle (se retourna-faufila-lava) et arriva dans la salle où
elle découvrit non pas un, mais deux morts. C'étaient deux gendarmes qui étaient très pâles,
avec deux trous dans (la farine-veste-gorge) et encore des citrouilles sur la tête.
Claudine ressortit en hurlant. Les gendarmes arrivèrent :
- Que fais-tu là ?
- Je suis venue (voir-faire-dire) ce qu’il s’est passé ! répondit Claudine.
- Nous avons retrouvé ces deux gendarmes qui étaient partis enquêter devant un château mystérieux, expliquèrent les gendarmes.
- Quel (râteau-bateau-château )? demanda Claudine.
- Celui qui borde la forêt de la Rose des Champs. Nous avons trouvé une lettre dans la manche de l’une ( des gendarmes-victimes-citrouilles.)
Ils lui montrèrent la lettre, il y était écrit : « Ne faites pas cette enquête si vous ne voulez pas mourir ! ! »
Claudine dit aux gendarmes :
- Je vais aller enquêter au château ; si je trouve (des indices-fourmis-journaux,) je vous appellerai avec un portable, si vous m’en prêtez un, bien sûr !
Les gendarmes lui dirent :
- Nous allons te prêter un talkie-walkie. Comme ça, on (verra-lira-entendra ) tout ce qui se passe.
- Oui, je pars tout de suite car, la journée, c’est plus facile de trouver des indices.
Quand elle fut au château, Claudine ( fouilla-mangea-discuta ) partout. Elle entra et découvrit dans une cave les corps de toutes les personnes portées disparues depuis de nombreuses années.
Alors elle appela les gendarmes et leur raconta ce qui était devant (eux-elle-lui.)
LE MYSTÈRE DU CASTEL (3)
Après avoir lu l’article du journal, Claudine alla à (la mairie-piscine-garderie ) puis à la gendarmerie.On ne voulait rien lui dire. Alors, elle (se retourna-faufila-lava) et arriva dans la salle où
elle découvrit non pas un, mais deux morts. C'étaient deux gendarmes qui étaient très pâles,
avec deux trous dans (la farine-veste-gorge) et encore des citrouilles sur la tête.
Claudine ressortit en hurlant. Les gendarmes arrivèrent :
- Que fais-tu là ?
- Je suis venue (voir-faire-dire) ce qu’il s’est passé ! répondit Claudine.
- Nous avons retrouvé ces deux gendarmes qui étaient partis enquêter devant un château mystérieux, expliquèrent les gendarmes.
- Quel (râteau-bateau-château )? demanda Claudine.
- Celui qui borde la forêt de la Rose des Champs. Nous avons trouvé une lettre dans la manche de l’une ( des gendarmes-victimes-citrouilles.)
Ils lui montrèrent la lettre, il y était écrit : « Ne faites pas cette enquête si vous ne voulez pas mourir ! ! »
Claudine dit aux gendarmes :
- Je vais aller enquêter au château ; si je trouve (des indices-fourmis-journaux,) je vous appellerai avec un portable, si vous m’en prêtez un, bien sûr !
Les gendarmes lui dirent :
- Nous allons te prêter un talkie-walkie. Comme ça, on (verra-lira-entendra ) tout ce qui se passe.
- Oui, je pars tout de suite car, la journée, c’est plus facile de trouver des indices.
Quand elle fut au château, Claudine ( fouilla-mangea-discuta ) partout. Elle entra et découvrit dans une cave les corps de toutes les personnes portées disparues depuis de nombreuses années.
Alors elle appela les gendarmes et leur raconta ce qui était devant (eux-elle-lui.)