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    Un sondage d’échotechnics réalisé pour El Watan

    Administrateur
    Administrateur
    Admin


    Date d'inscription : 03/11/2009
    Localisation : Algérie

    Un sondage d’échotechnics réalisé pour El Watan Empty Un sondage d’échotechnics réalisé pour El Watan

    Message par Administrateur Dim 20 Déc - 6:22

    Un sondage d’échotechnics réalisé pour El Watan
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école


    Les suggestions des Algériens pour améliorer l’école algérienne : mieux former les enseignants, diminuer le nombre de matières, revoir la méthode d’enseignement.


    La question posée était celle-ci : « Vous personnellement, qu’est- ce vous aimeriez que l’Etat fasse en priorité pour que le niveau de l’école algérienne s’améliore ? ». 63% des Algériens se sont exprimés sur cette question en formulant des suggestions, 23% répondent : « Je ne sais pas » (dont près des deux tiers sont des analphabètes ou de niveau primaire) et 14% disent qu’ils n’ont aucune proposition à faire, car satisfaits par l’école (rappelons qu’à la question concernant le niveau de l’enseignement dispensé à l’école, 20% le considèrent « bon » , 26% « bas » et 49% « moyen » ). Les suggestions de ces 63% d’Algériens convergent vers trois propositions - les plus fréquemment citées : mieux former les enseignants, diminuer le nombre de matières enseignées et modifier la méthode d’enseignement. Les Algériens sont préoccupés par l’encadrement pédagogique. Leurs propos insistent sur les efforts à faire pour améliorer le niveau des enseignants par des formations continues et d’actualisation de leurs connaissances. Il y en a même qui ajoutent qu’il est indispensable que le corps enseignant puisse bénéficier de programmes de formation axés sur la pédagogie d’enseignement avec les enfants, sur la manière de transmettre la connaissance mais aussi sur la manière de se comporter avec eux. Bien entendu, la surcharge des classes, toujours selon les enquêtes, est un problème qui doit être sérieusement pris en charge et de façon urgente, car elle pénalise lourdement la qualité de l’enseignement (on rappelle que les cycles d’enseignement concernés par cette enquête ont été le primaire et le moyen). C’est l’une des suggestions qui revient également le plus souvent. Un nombre élevé de matières, un volume horaire jugé important (surtout pour les enfants du primaire, précisent-ils) inquiètent les Algériens, ils souhaiteraient les voir réduits, et souvent le lien est fait avec la lourdeur extrême du cartable des enfants. Dans une problématique proche de cette suggestion, d’autres suggestions qui reviennent assez souvent insistent sur la nécessité de revoir les programmes dans le sens d’un meilleur « dosage » des matières, en axant sur les matières scientifiques essentielles et/ou sur les langues étrangères. L’accent étant mis aussi sur la généralisation de l’apprentissage de l’informatique.
    Revoir la méthode d’enseignement

    Apparemment, les Algériens ne semblent pas satisfaits de la « méthode » d’enseignement, ils proposent de la modifier et attendent une autre méthode qui permettrait une meilleure acquisition des connaissances et une façon « plus attrayante » de transmettre des connaissances. « Une méthode qui s’appuie plus sur l’expérience, par exemple… », pourra-t- on lire. D’autres partent du fait qu’une grande partie des devoirs maison consistent à demander à l’élève d’apprendre par cœur, pour s’élever contre cette méthode qu’il qualifie en arabe « el h’fadha barq » et souhaiter une autre méthode. Par ailleurs, parmi les personnes qui citent ce type de suggestions, on évoquera ceux qui désirent une méthode qui s’appuie davantage sur des principes scientifiques ou tout simplement et plus fréquemment, une stabilité dans les méthodes utilisées au cours de toute la scolarité de l’enfant. Un peu éloignée de cette suggestion, mais qui lui est liée d’une certaine façon, celle qui évoque la façon/la manière dont l’enfant est « traité » à l’école. Pour certains, l’amélioration de l’école algérienne passe aussi par une meilleure considération de l’élève : « Prêter plus d’attention à l’élève, à ses difficultés spécifiques, à ses problèmes pédagogiques », « mieux se comporter avec lui, que ce soit de la part des enseignants ou du personnel de l’école » ; on évoquera aussi le bannissement des méthodes répressives. Les principales autres suggestions : on citera l’élaboration de programmes de sensibilisation des parents sur leur responsabilisation à l’égard de la vie scolaire de leurs enfants. Les principales suggestions que l’on évoquera ci-dessous sont moins fréquemment citées que les trois premières, mais elles ont toutes leur pertinence. Ainsi, des Algériens pensent qu’il y a une certaine responsabilité des parents quand on parle de la qualité de l’école. C’est pourquoi, certains suggèrent que des programmes de sensibilisation soient organisés en direction des parents, en vue de discuter du contenu de la responsabilisation parentale dans le suivi scolaire et de la vie à l’école de leurs enfants. Une proposition qui se justifie au regard d’un phénomène déjà corroboré par une autre enquête (2008) du Cidef sur les droits des enfants, montrant combien la communication parents- enfants sur leurs problèmes et leurs difficultés scolaires était effectivement faible. Ce qui n’aide pas les enseignants dans leur tâche d’enseignement. Il y a ce qui incombe aux parents dans leur contribution à améliorer le niveau de l’école algérienne, mais il y a également ce qui, selon les sondés, incombe à l’institution. Pour certains, le contrôle du bon fonctionnement des écoles doit être plus important et systématique. Un contrôle qui ne doit pas se limiter à la seule inspection des enseignants mais également à celui des directeurs et du personnel (surveillants). On terminera par ceux qui évoquent la nécessité de se préoccuper à présent de fournir à toutes les écoles le matériel pédagogique indispensable à certaines matières ; à introduire des activités culturelles dans les écoles, à mettre en place un transport scolaire dans certaines zones et une proposition, nullement en marge : l’amélioration des conditions socio- professionnelles des enseignants. Enfin, il y a ceux qui pensent que l’amélioration de l’école passe aussi par la réforme, la modernisation de l’institution même qui s’occupe de l’éducation.


    Par Saïd Ighilahriz
    Administrateur
    Administrateur
    Admin


    Date d'inscription : 03/11/2009
    Localisation : Algérie

    Un sondage d’échotechnics réalisé pour El Watan Empty De quoi alimenter un riche débat sur l’école: Avis des lecteurs...

    Message par Administrateur Dim 20 Déc - 6:24

    Avis des lecteurs...

    Le 9.12.2009 à 14h43
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    l’école Algérienne est dans un tel marasme, que si l’état nous donner le choix , j’assurerai l’enseignement de mon enfant moi même a la maison , il n’ira a l’école que pour subir les examens de passage, je lui éviterai ainsi qu’a moi même toutes les angoisses et frustations que nous imposent chaque jours que Dieu fait , la méthodologie , les écoles et les enseignants du département de Benbouzid.
    répondre


    Le 7.12.2009 à 23h58
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    je pense tres honnetement que le programme scolaire ne repond en aucun cas a la demande de l’enfant ,outre le fait qu’il est trop chargé par des cours qui gagneraient a etre plus simplifiés et donc a etre retenus ;il m’apparait que l’education islamique devrait faire l’objet d’une lecture d’un verset corannique par exemple qui serait étudié en cours d’arabe et il me semble que l’eleve le retiendrait mieux s’il est bien disserté , concernant l’education civique ;des petites citations de morale quotidiennes seraient plus adequates ;de plus on apprend aux enfants de six et sept ans des matieres qu’ils ne comprennent pas mais qu’ils apprennent pour avoir 10/10 ;il faut alleger ce programme ,un enfant de sept ans ne voit pas l’interet d’etudier ce qu’est le madjless echaibi si lui enfant il ne peut en avoir besoin a son age ,par contre lui enseigner les regles elementaires de conduite aussi bien a l’ecole qu’a l’exterieur de l’ecole serait plus salutaire a condition de le faire explicitement simplement en une ou deux phrases ;comment se comporter avec un etranger ,comment mettre une table ,comment s’adresser a une personne agee ,apprendre a respecter l’etre humain en tenant une chaine ou en ne bloquant pas la circulation en dicutant avec son copain etc... j’en arrive a la langue,c’est un vrai drame nos enfants ne maitrisent ni l’arabe ni le francais ni l’anglais et il faut etre logique les matieres scientifiques devraient etre strictement enseignées en francais ou a la rigueur en anglais pour une raison simple ;toutes les avancees technologiques medicales scientifiques sont detronnees par les anglosaxons il nous faut etre a leur hauteur et etre competitifs or ce n’est plus le cas depuis les tentatives d’arabisation qui se sont soldees par un echec ;les enseignants en langue anglaise ne maitrisent pas en algerie les matieres scientifiques mais il y a encore des personnes qui maitrisent le francais il est donc temps de remettre les pendules a l’heure ;cela n’exclut pas le fait que la matiere arabe doit etre enseignee correctement sans les fautes de grammaire tres freqemment malheureusement presentes dans de nombreuses interwiews televisees (rafaa ism inna ou nasb ism kana),je pense qu’il ne faut pas attendre l’université pour entamer l’enseignement scientifique en francais les pauvres petits sont perdus ils ne comprennent pas les enonces des questions d’examens revoyez tout cela svp ,l’’enseignement l’education et la sante sont la vitrine d’un pays ;bon courage !
    répondre


    Le 5.12.2009 à 11h14
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    L’arabisation unilatérale et aveugle, le niveau des enseignants et la "vengeance" de ceux qui n’ont pas eu accès à l’enseignement durant la période noire de la colonisation, ont concouru à faire de nos élèves puis de nos étudiants des individus incapables de s’exprimer correctement en arabe ni en français et encore moins en anglais et incapables, pour la plupart, de véhiculer un discours scientifique de niveau moyen. Une gabegie, une catastrophe, un retard de quarante ans... Il faut réformer et prendre son courage à deux mains : choisir la langue idoine pour redonner à nos enfants le niveau qu’avaient leurs parents ! Il y a urgence.
    répondre


    Le 3.12.2009 à 13h40
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    Comme toute activité et comme toute formation il faut que l’élève et l’enseignant trouvent la motivation et donc un environnement favorable, valorisant et une reconnaissance sociale pour ces gens qui s’occupent de nos enfants et leur donnent ce que nous ne leur donnons pas à la maison : le savoir. La branche de médecine, le métier de magistrat ou de cadre dans les corps constitués sont , à ce sujet, éloquents. Mettre à la disposition de l’élève des moyens pédagogiques adéquats : les salles de cours suffisantes, un nombre d’élèves par classe raisonnable, des moyens appropriés pour l’éducation physique (cette matière devant être programmée en fin de matinée ou en fin d’après midi). Revoir le principe d’exclusion des écoles et des CEM où on trouve des élèves âgés de 17 ans avec des enfants de 12 ans. Suffit les décisions démagogiques et construisons des écoles de formation professionnelles, on en a vraiment besoin. Valoriser les diplomes, le mérite doit être le critère de choix et non le piston ou autre allégence. S’agissant des programmes, en comparaison avec nos voisins et la France, les programmes des matières scientifiques sont pratiquement identiques, par ailleurs ils ont été établis par des spécialistes bien documentés, alors à chacun son métier. Permettez-moi d’ajouter que s’il existe un programme de formation pour les ensignants et une bonne gestion des carrières, dans peu de temps notre enseignement atteindra un nivau bien respectable, car n’oublions pas que notre Chère Algérie vient juste de sortir de la terrible nuit coloniale, déchirée et profondément blessée, il paraît qu’en 1962 on n’avait que 60 médecin pour toute la population, mesurons les dégats de cette nuit. Donnons le temps à cette nouvelle génération.
    répondre


    Le 3.12.2009 à 09h35
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    Bonjour Il faut changer le ministre pour pouvoir donner une nouvelle reflexion de changement
    répondre
    répondre
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    Mr benbouzid n’est que la partie visibble de l’iceberg ,au vu de tous les échecs qu’a connu le secteur de l’enseignement ,le ministre devrait evidemment démissionner ,mais puisque il ne le fait pas à ce moment là c’est toute la problémmatique de l’état Algérien qui est posée . A mon avis les réformes ne doivent pas toucher que le secteur de l’enseignement mais doivent s’étendre à d’autres départements pour les réussir. finalement c’est en définssant le modèle de société de l’Algérie future qu’on pourra mettre en place les mécanismes nécessaires à la réalisation de l’objectif . Faut-il refonder l’état Algérien ? , vers quelle orientation ?



    Le 2.12.2009 à 15h04
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    bonsoir nous devons retourner au système de l’éducation des années 70 et si on se retrouve pas faites appelle au ministre de l’époque comme monsieur ahmed taleb el ibrahime merci
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    Le 2.12.2009 à 14h59
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    bonjour l’Algérie ces 35 million d’habitants,l’Égypte ces 80 million se qui est en train de se passé ne représente même pas 30%je ne voie pas pour quoi vous insister des insultes entres arabes ou musulmans a hauts niveau ou a un niveau inférieure sa se passe souvent mais cette fois les médias en mis le paquet et tous ça au profit de" qui ?"
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    Le 30.11.2009 à 09h17
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    Il faut accorder deux fois plus de temps à la lecture si vous voulez que notre enseignement s’améliore. On propose à nos enfants des textes scientifiques et techniques qu’ils sont incapables de lire et donc de comprendre. J’ai passé 34 années dans l’enseignement (et tenez-vous bien:SUR L’ESTRADE pas derrière un bureau) et je sais ce que je dis. Certains programmes, comme celui de la 2ème A.M., sont à supprimer complètement à cause des innombrables difficultés qu’ils présentent. Autre faille : nous n’avons pas d’inspecteurs formateurs. Sous d’autres cieux, il existe des centres où se rencontrent des retraités efficaces capables d’aider à tout moment les enseignants novices. Je parle de la langue étrangère uniquement.
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    Le 25.11.2009 à 09h53
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    Je pense qu’il faut tout revoir le régime scolaire et le choix des effectifs je pense qu’il faudrait faire un profil psychologique pour les profs afin de savoir en plus des potentiels intellectuels du profs les qualités sociale car l’éducation n’est pas que basée sur des chiffres et des lettres mais c’est la vie qu’ils devront affronter un jour en plus de cela je pense que les heures infligées aux élèves ceux du lycée par exemple jusqu’à17.30 vous vous imaginer Adan EL Maghreb ...Alors la le primaire c’est une vrai calamité .Les élèves sont soumis car ils ne peuvent même pas choisir leur matière au lycée à part la filière mais cela reste insuffisant il faut que l’élève décides et choisisse ses matière car on peut trouvez un lycéen qui aime les maths les langues mais pas svt on peut trouver un élève qui aime les sciences et la littérature c’est tout ce la qui doit être pris en considération et en plus le nouveau programme qui a voué à l’échec au Canada subira et subit le même sort en Algérie . Merci à EL Waten .
    répondre


    Le 21.11.2009 à 23h01
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    diminuer les matières secondaires tel que le dessin les travaux manuels .il faut se baser sur les matières fondamentales tel que le francais et l’arabe et les calcules surtout à l’école primaire en ajoutant l’aglais au CEM ( il faut revenir à l’ancien système tout cour) il faut faire participer les enseignants de ’école primaire ...)
    répondre


    Le 19.11.2009 à 06h01
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    en 1er lieu ,il faut simplifier l’cte d’apprentissage ; reduire le volume horaire pour que nos apprenantsne se lassent ;pas,finalement evoquer ches les apprenant comment aimer apprendre et ne pas les forcer a apprendre
    répondre
    répondre
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    je suis tout à fait d’accord .La réduction de l’horaire de travail est très important vue la durée de vigilance et de concentration des élèves de différents paliers.En ce qui concerne l’amélioration du niveau d’apprentissage ceci nécessite de gros moyens qu’en doit mettre à la disposition des élèves et des professeurs tels que les micros-ordinateurs,les photocopieurs,le papier,internet,etc.C’est de cette façon qu’on arrive à utiliser le temps imparti aux différentes leçons à 100 pour cent.



    Le 18.11.2009 à 16h21
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    de la qualité des enseignements dispensés a travers tout le circuit educatif national dépendra le développement de la nation algerienne. certains accusent l’arabisation d’etre à l’origine de la faiblesse du niveau general des scolarisés et des diplomés formés ses derneries années. je trouve pôur ma part l’origine de la médiocrité de l’ecole dans le choix du modele economique choisi au lendemain de l’indépendance.
    répondre


    Le 18.11.2009 à 09h07
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    je crois qu’il faut ameliorer le niveau des enseignants apres on peux ameliorer le niveau de nos eleves c’est ce que je vois au premier cout
    répondre


    Le 12.11.2009 à 19h27
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    l’echec de l’enseignement en algerie c’est bien la langue arabe et l’arabisation.il faut etre dupe pour ne pas se rendre compte.ne cachons pas le soleil derriere un tamis.
    répondre
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    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    en effet l’arabisation a oausé un grand tort à l’enseignement en algérie:maintenant les enfants n’ont aucune culture ,ne savent ni lire correctement, ni écrire,c’est catastrophique !!!!ils sont tout le temps plantés devant la télé à regarder tout et n’importe quoi !!!l’arabisation a été menée anarchiquement,sans aucune préparation et pour couronner le tout le français a totalement disparu du paysage !!!!quel gachis !! alors qu’on est à l’heure de la mondialisation ,à l’heure du commerce international !!!ici en france ,dans ces écoles de commerce la plupart des langues y sont enseignées : :chinois,russe,portugais,anglais etc.... y compris l’arabe !!!de nos jours les langues ça compte beaucoup+ culture générale et j’en passe !!!!en algérie on est loin de tout ça:il faut vraiment tout réformer d’une manière plus moderne !!!le tableau et la craie ne suffisent plus !!!!!il faut aussi que les enseignants soient mieux sélectionnés,mieux formés,mieux cultivés et plus psychologues avec les enfants,sinon on court droit à la catastrophe !!!!!salut



    Le 7.11.2009 à 11h09
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    je crois qu’il n’ ya pas que l’école qui ne va pas mais rien ne va en réalité, on ne peut rien faire pour l’ecole algerienne elle est a l’interieur d’un systéme defaillant c’est meme un element de ce systéme, sans doute essentiel,or c’est le systeme ne fonctionne pas comment voulez vous que l’ecole fonctionne, de toute facon tout les efforts sont réunis pour que ca ne marche pas apparement les gens qui nous gouverne n’ont rien a foutre de l’école ils sont aveuglé par la rente pétrolière et surtout il ne faut pas que "wlad el chaab" soient des citoyens instruits. je pense que le probléme fond de l’école algerienne n’est pas dans les méthodes ou les anseignants c’est un probléme d’ordre politique, depuis el ibrahimi jusqu’a ben bouzid l’arabisation de l’ecole n’est pas pour rien dans tout cela je ne suis pas contre l’arabe je veut juste dire c’est une arabisation a caractère idéologique pas une démarche réflichi qui tend a répondre aux besoins de la socièté algerienne en matiére d’education. bref si on veut changer l’école il faut attaquer le mal a sa rasigne il faut changer de systéme politique. franchement avec le régime actuel qui tend a devenir monarchique je ne voi pas de solution pour l’ecole algérienne
    répondre
    répondre
    politique et l’eccole

    aucin lien entre la politique et l’enseignement, l’échec ervient àla mythode dans laquelle les enseignants travaillent,le niveau des enseingants est trés bas, ne transmétre aucune information aux élèves. la langue arab est fértile,pourquoi on enseigne pas les patieres scientifique en anglais.



    Le 5.11.2009 à 19h05
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    il faudrait 1- regler les problemes socio professionnels des travailleurs de l’education en procedant d’abord a l’augmentation consequente du salaire pour permettre a ce dernier de se pencher uniquement sur son travail 2-de bien etudier les programmes (surtout du primaire) en les allegeant,se basant sur la reflexion ,sur l’ouverture universelle et faire participer les concernes(les enseignants )a l’elaboration et etude des programmes 3-bien prendre en charge les eleves en leurs facilitant l’acces au savoir par la reductoin du prix du livre et accessoires 4-eviter la surcharge des classes (20 a25 élèves par classe serait l’idéal) 5-donner tout les moyens nécessaire (financiers, matériels ,pedagodiques,etc...)a l’enseignant.
    répondre


    Le 5.11.2009 à 18h51
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    il faudrait 1- regler les problemes socio professionnels des travailleurs de l’education en procedant d’abord a l’augmentation consequente du salaire pour permettre a ce dernier de se pencher uniquement sur son travail 2-de bien etudier les programmes (surtout du primaire) en les allegeant,se basant sur la reflexion ,sur l’ouverture universelle et faire participer les concernes(les enseignants )a l’elaboration et etude des programmes 3-bien prendre en charge les eleves en leurs facilitant l’acces au savoir par la reductoin du prix du livre et accessoires 4-eviter la surcharge des classes (20 a25 élèves par classe serait l’idéal) 5-donner tout les moyens nécessaire (financiers, matériels ,pedagodiques,etc...)a l’enseignant.
    répondre


    Le 4.11.2009 à 22h27
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    "Détruisez l’enseignement et vous détruirez toute la Nation !" Ce n’est pas une citation d’un célèbre stratège diabolique, mais cela aurait pu être, tant cela a été suivi à la lettre par nos décideurs ( par une coupable ignorance ou par savant calcul ?...).

    Toutes les Nations ont fait des erreurs, mais elles ont appris de leurs erreurs. On est la seule Nation qui s’évertue à répéter les mêmes bévues, encore et encore, ad vitam aeternam.

    Si une économie peut se redresser par une pirouette technique, l’éducation, elle, ne se fera qu’au prix d’un sacrifice majeur de toute une génération, voire deux.

    "À un enfant de maison, qui recherche les lettres, non pour le gain [...], ni tant pour les commodités externes que pour les siennes propres, et pour s’enrichir et parer au dedans, et si l’on veut faire de lui un habile plutôt qu’un homme savant, je voudrais qu’on fût soigneux de lui choisir un conducteur qui ait plutôt la tête bien faite que bien pleine." - Montaigne-
    répondre


    Le 4.11.2009 à 14h58
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    merci de donner aux citoyens algeriens de s’exprimer sur l’avenir de nos chers enfants dans un systeme qui s’ouvre sur une impasse , nous souffrons avec eux, je ne pense pas que nos parents ont fait pareils et pourtant ni cours supplementaires, ni l’angoisse permanente des bulletins trimestriels, pourquoi beaucoup de choses et en fait rien du tout de retenue ?? je dirais on leurs enseigne "tout et rien" ils ne savent meme pas écrire une lettre, d’où vient ce systeme que personne ne l’accepte, alors mr le ministre ,est ce que vous travailler qu’avec peut etre que 5% des algeriens qui peuvent suivre "votre programme " meme le cartable n’en peut plus !!!!!!!
    répondre


    Le 1er.11.2009 à 11h43
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    Au risque de m’éloigner un peu du sujet, je dirais que l’état actuelle de notre école est loin d’être un fruit du hasard. Les deux piliers des sociétés modernes sont l’éducation c’est à dire l’école et la justice. Si tous nos concitoyens étaient des personnes cultivées éclairées, et je parle ni de diplômes ni de grades parceque ça n’a rien à voir, et qui peuvent s’adrésser à une institution judiciaire JUSTE et EQUITABLE, pensaient vous que la mafia au pouvoir depuis 1962 aurait perdurer tous ce temps. Le premier responsable du secteur de l’éducation et qui l’a conduit à au mur et à la catastrophe est la depuis tres longtemps, au point qu’il ne peut meme pas accuser ses predecesseurs vu qu’il on a pas. Je ne parle pas dans ce poste du deuxieme pillier qui est la justice dont vous connaissez l’état actuelle. Parler d’amélioration des conditions de travail, de formation, de programmes n’a de sens que si l’idéologie et la conception même de l’école et de l’éducation nationale ne changent pas. Hélas une école dont la mission et de transmettre le savoir et d’éclairer les esprits n’arrange pas les affaires des pontains du systeme.
    répondre


    Le 31.10.2009 à 11h14
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    avant tout revoir en baisse le nombre de livres dans le cartable, qui crée des scolioses pour ces petits corps de gamins sinon on a vu les résultats de l’arabisation il faudrait revenir à la francophonie et surtout surtout enseigner la morale à coté de l’éducation islamique
    répondre


    Le 28.10.2009 à 17h41
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    vous avez tout à fait raison ,assez de prendre nos enfants en otage avec un systeme bidon fait avec des gents bidons. moi,je sais un vrait et riche debat n’aura jamais lieu ni au parlement ni a la tele sauf entre les citoyens qui peuvent rien faire bien sur. il faut faire quelque chose,il faut sortire et remplire les rues et demander le depart de benbouzide et toute sa famille politique.j’espere un jour pour notre payer un changement.
    répondre


    Le 26.10.2009 à 19h00
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    Benbouzid,le tristement célèbre ministre qui détient le record de longévité dans son secteur,incompétent, fossoyeur de l’éducation nationale,qui n’a pas trouvé mieux pour cette année, après mure réflexion de son cabinet !!! que de nous pondre cette histoire sordide des tabliers. Monsieur le ministre, soyez sérieux, le problème de l’éducation n’est pas dans la couleur des tabliers mais dans le système pédagogique. Une langue n’est qu’un moyen de communiquer le savoir, comment voulez vous qu’un enfant qui a reçu un enseignement en arabe pur et dur puisse poursuivre des études universitaires en français.Notre système éducatif a formé des générations d’analphabètes trilingue. Je suis révolté de constater que "l’élite algérienne", qui devrait servir de locomotive à notre société, ne sachant maitriser ni l’arabe ni le français.Monsieur le ministre, ayez pitié de ces enfants, Démissionner de votre poste, vous avez sacrifié des générations pour laisser le champs libre à la progéniture de la diaspora pour lui permettre d’assurer la pérennité du pouvoir actuel.
    répondre


    Le 25.10.2009 à 21h12
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    bonjour ; j’ai lu votre article concernant l’état actul de l’école algérienne, je le dis franchement, c’est honteux, c’est qui se passe à nos écoles, c’est vraiment choquant, comment vous parlez de former les enseigants alors que sa degnité est totalement absente, comment SVP imaginez un enseignant qui forme les générations montantes, composé des medecins, ingénieurs et pharmaciens et meme des agents de l’ordre d’état et la liste infinie, son salaire ne dépasse pas celui de patriote, l’enseignat est dépourvu de tous les moyens vitaux, nformationnelle et technologique. je dis que l’école algérienne à perdu sa souverainté reconnue par les grandes institutions mondiales que régionnelles, et le plus beau souvenir du gouvernement boumedien c’st qu’il a formé des miliers de ses ministres et les cadres d’Etat actuellemt au pouvoir. ces cadres logiquement sont eux qui ont le flambeau pour honorer cette institution vitale si bien que l’école. donc finalement, cette est école nous concerne tous parent, Etat et l’éleve doivent faire un corage miraculeux pour sauver ces écoles.
    répondre


    Le 25.10.2009 à 17h52
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    Bonjour et merci d ouvrir le débat sur une question aussi importante.Oui notre école et notre université vont mal car nous avons pris un mauvais départ depuis l indépendance sans jamais vraiment rectifier le tir.Le domaine de l education doit rester l affaire exclusive des spécialistes et des pédagogues.Dire que si avions écouté un grand Monsieur comme Lechani et d autres hommes comme Benblidia ,Lcheraf etc nous n’ en serions pas là.Ali
    répondre


    Le 24.10.2009 à 12h57
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    il faut revenir à l’ancien systeme en écartant ces nouveaux responsables tel que le minitre actuel qui n’a fait que causer des dédats à ce secteur.
    répondre


    Le 23.10.2009 à 21h50
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    Tout je salue le journal el walan, de m’avoir donné l’occasion afin de m’exprimer sur les méthodes utilisées pendant l’indépendance à ce jour, en tant que père,je trouve que Notre cher Ministre prend nos enfants pour des cobayes, car chaque importe une méthode je ne sais d’où afin de l’essayer sur nos enfants, pour la simple raison ces enfants étudient à l’étranger, et pour le moment je demande le départ de Monsieur le Ministre de l’éducation car il n’est pas compétent, et doit laisser sa place pour un autre (patriote), qui a un amour pour ce pays.
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    Le 23.10.2009 à 19h45
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    à propos du sens de l’éducation , c’est avec l’éducation que nous décidons si nous aimons assez nos enfants pour ne pas les rejeter de notre monde , ni les abandoner à eux memes , ni leur enlever leur chance d’entreprendre quelque chose de neuf , quelque chose que nous n’avions pas prevu ,mais, les préparer d’avance à la tâche de renouveler un monde commun , hélas ! nos dirigents agissents comme des marciens a des annees de lumier
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    Le 22.10.2009 à 12h50
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    c’est avec l’éducation que nous décidons si nous aimons assez nos enfants pour ne pas les rejeter de notre monde ,ni les abandonner a eux-memes, ni leur enlever leur chance d’entreprendre quelque chose de neuf ,quelque chose que nous n’avions pas prévu,mais les préparer d’avance à la tâche de renouveler un monde meilleur que le notre ,est en commun ,,sawles.
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    Le 16.10.2009 à 23h20
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    les méthodes qui sont imposés aux élèves aujourdhui sont tres compliqués je souligne bien le mot imposer parceque l’avis de l’enfant n’interesse personne je vois tout les jour des élèves de primaire ou autre passer devant chez moi triste abattu portant leurs sacs aux dos tres lourd fatiguer déjà de leurs demi journéé .si seulement on pouvait changer tous cela et faire apprendre à nos enfants dés le primaire la religion l’arabe les maths et surtout le français ces quatre matières sufirant à l’élève pendant trois ans il aimera le savoire sans se lasser.fafa merci
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    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    je suis tout à fait d’accord sur se sujet le probleme de l’école algerienne se situe au niveau de charge horaires, de matieres surtout, un enfant de 6 ans qui fait 1 km avec 4 kg de poids sur son dos,et 8h----4h15(avec une pose de dejeuner d’une 1h) que voudrez_vous qu’il tienne on rentrant à la maison,tant qu’il y’aura pas de changement vis-a-vis de ça nos enfants restront tjs des cobayes.



    Le 8.10.2009 à 23h21
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    lu avec interêt l’article et toutes les réactions des lecteurs. ce qui me frappe c’est qu’une foi de plu, de trop, que le peuple est d’un côté et nos "chers" gouvernants de l’autre. plus de possibilité de se croiser. un des lecteurs l’a bien souligné ; le prbléme n’est pas l’école à elle seule, mais tout un systéme malade, gangrené. L’école n’est qu’un membre de ce coprs décomposé. Issué de deux modéles aussi inopérants qu’inefficace, le modéle oriental et le modéle franaçis, l’école algérienne a donné lieu à des hybrides. Un hybride, par définition est stérile. La suite vous la connaissez tous. Mais le hic, aprés une longue guerre civile et 200 mille morts, BenBouzid et consorts, résposnables directs de la tragéf=die natioanle, sont toujours en place. Où va l’Algérie ? Elle a déja atteint le fond non ? Sommes-nous amnésiques au point d’effacer tout et de recomencer à zéro ? Si cette équipe demeure, assurément, les mêmes cause, aboutissent aux mêmes conséquences ! sinon les réformettes, le prbléme de méthode d’esneignement, les programmes et le reste c’est de la poudre aux yeux. la véritable réforme, c ’est le changemnt radical, une sorte de révolution. Je suis dans l’éducation je sais de quoi je parle. Ils tournent autour du pot pour brouiller les pistes et éviter les problémes de fond. Pourtant les solutions existent bel et bien et l’école pourra facilement être sauvée mais qui balayera au même temps le régime en place. C’est la condition nécessaire et suffisante pour sauver les générations futures, à dfau ce sera le statu quo actuel qui n’arrange que les gros bonnets. Md Ouali formateur, enseignant à la fac.
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    Le 8.10.2009 à 22h47
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    "Science sans conscience n’est que ruine de l’ame" ce qui veut dire que l’école Algérienne est partie du mauvais pied. Pour l’Arabe dont je ne suis pas contre il fallait l’enseigner depuis les années 60 en progression jusqu’à ce jour tout en laissant à l’enseignement Français ( que les français eux meme déjà délaissent)s’essouffler en laissant sa place à l’Anglais car je vois mal comment un enfant qui arrivé au BAC en étudiant principalement de l’Arabe se trouve confronté au Français( qui était matière secondaire)en entrant à l’université. Et puis ce problème des enseignants qui font des cours n’est-ce-pas un cumul de fonction en premier lieu et un délaissement de leur part de leur véritable mission en second lieu, s’ils veulent faire des cours qu’ils rejoignent les écoles privées et comme celà il y aura concurrence avec celles de l’etat et ils auront gain de cause sur leur salaire s’ils jugent qu’il est indescent celà évitera à nos enfants ces abscences répétés lors des ces grèves inventées, ou ouvrir carrement des salles où ils ne feront que ce travail uniquement.
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    Le 8.10.2009 à 21h31
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    Socrate ne voyait pas de fourberie plus grande que de tromper son peuple, et de se faire passer lorsqu’on est sans mérite, pour un homme capable de gouverner un Etat .

    La politique se teinte en religion et celle ci se politise .
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    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    Oui ! Mais Socrate était un sage ! Or, allez trouver un sage parmi nos gouvernants !Ce ne sont que des vautours (sans l’envergure de ce rapace) !Connaissez-vous l’un d’eux, dont les enfants sont scolarisés en Algérie ?Moi, je n’en connais aucun ! Le malheur, est, que je participe au financement de leurs études à l’étranger !



    Le 8.10.2009 à 18h36
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    L’école "au fond de la montagne" surnommée par le Pouvoir inculte "l’école fondamentale", a donné ce que nous avons aujourd’hui : la nullité par excellence ! A quoi celà sert-il de faire des sondages puisque tous les maux de l’école algérienne sont connus. Depuis l’introduction du programme coranique dans le cursus scolaire, c’est tout un systéme scientifique de formation qu a été brisé : bourrage du crâne des imbécilités intégristes au détriment des matiéres technologiques. Qui a oublié l’acharnement de Boutef contre le réveil de l’esprit critique chez les enfants ? N’avait-il pas dit que l’Agérie n’a besoin que de maçons et de plombiers ? Que va-faire un cadre algérien bourrés de versets devant ce monde des sciences qui évolue à pas de géants ? Imaginez un éléve brillant de terminale en filiére sciences ou mathématiques qui échoue du baccalauréat à cause de "tarbia islamia", n’y a t-il pas de quoi rejoindre un asile ?! Les problémes sont connus par tous les citoyens. Il n’est pas utile de perdre du temps à sonder car le temps passe au détriment de l’avenir immédiat des enfants ! Que l’enseignant (te) commence par donner une bonne image aux enfants, à travers sa tenue vestimentaire, son visage apparent, ses chaussures cirées...etc. La vérité fait mal aux intégristes et pourtant c’est la vraie vérité ! Ne culpabilisons pas les enfants innocents. Culpabilisons la Société fondamentaliste et obscurantiste !
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    Le 8.10.2009 à 14h28
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    De riche débat ,il n’y en a pas du tout.Quoique nous dirons ou nous ne faisons ,le dernier mot revient au premier responsable de l’éducation qui ne reconnaît personne pour le rappeler à la raison,et lui faire toucher du doigt les dangers qui guettent nos enfants ,de la première année primaire jusqu’à l’université.Les programmes ne sont pas élaborés par des gens qui sont passées par tout les cycles mais par d’éminents docteurs qui planent bien au dessus de la réalité vécues dans tous les cycles de l’enseignement.Pour ne citer qu’un qu’un exemple celui de la 3è année primaire :12 matières ;qui dit mieux .Ce n’est pas l’enseignantqui expose et explique la leçon ,mais ce sont les élèves qui apportent leurs concours (aidés de leurs parents) à l’enseignant.....
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    Le 8.10.2009 à 14h05
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    L’ECOLE ALGERIENNE QUI EST, on ne peut vraiment pas le cacher, EN PITEUX ETAT, A UN BESOIN TRES PRESSANT ET ESSENTIEL : 1 / DE L’ANGLAIS (langue universelle, technique et scientifique par excellence) pour les matières les plus importantes : MATH, SCIENCES, CHIMIE, PHYSIQUE, TECHNOLOGIE ; 2 / D’un peut de français (pas trop car c’est désormais une langue pratiquée par seulement UN POUR CENT DE LA POPULATION MONDIALE )pour les lettres, les arts, la musique, éventuellement en doublure avec l’arabe ; 3 / DE TRES PEU d’enseignement religieux, limité à la récitation du SAINT CORAN, car l’essentiel est transmis par les parents, et beaucoup (comme actuellement, forme des ABRUTIS, DES INTEGRISTES, DES TERRORISTES, ET DES ECONOMIES DE BAzars, et renforcent les rangs du FIS ET AUTRES HAMAS) 4 / D’UN PEU PLUS DE TEMPS pour le sport, les loisirs, les excursions, l’instruction CIVIQUE, le PATRIOTISME DE BON ALOI 5 / D’un enseignement de tamazight facultatif sur tout le territoire national, vu que l’appétit vient en mangeant, beaucoup de parents viendront petit à petit à cette langue, au fur et à mesure de ses succès. SALUT
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    Le 8.10.2009 à 11h32
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    le problème de pédagogie spéciale,de la surcharge des classes,les relations enseignants et enseigné,l’élève et les parents ,les programmes et l’avenir de l’école doit etre débattue par des professionnels et les hommes du terrain. la technique d’enseigner est indispensable,cette méthodologie est le seul moyen scientifique et pédagogique qui résoudra toutes les difficultés que rencontre l’enseignant et l’élève. la surcharge des classes sans oublier les classes qui se vident est du au mauvaises prévisions et le manque du savoir faire de certains responsables incompétents. la relation de l’enseignant et l’élève est le prolongement de la rue et de la famille.je m’explique de ce que j’ai vécu : 1- l’enseignant trouve beaucoup de difficultés à se faire comprendre vu que le nombre des élèves est très élevé,souvent les moyens pédagogiques sont mal entretenus ou inexistants,les nouveaux enseignants ignorent complètement la pédagogie spéciale...etc 2- la rue est infesté de délinquant,de drogués et d’autres fléaux qu’on a jamais connus 3- la famille en général suit et s’inquiète de ses enfants,mais je peux vous affirmer que certains problèmes viennent des parents. 4- là où le bas blesse,l’école est devenue : boite postale,centre de distribution et de ramassage des dons ,centre de paiement des 2000 et3000 da ...etc 5- le favoritisme,les passe droit,les apprentis sorciers , l’incompétence,la corruption...etc ont détournés le role principal de notre école d’aujourd’hui. il faut etre réaliste 6- la dégradation du niveau est due à le manque de formation des enseignants(les décideurs de la fermeture des I T E sont les responsables)
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    Le 8.10.2009 à 10h54
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    On ne récolte que ce que l’on a semé. Comment voulez-vous que l’école algérienne soit moderne avec des enseignants et enseignantes fanatiques qui terrorisent les enfants en leur promettant les flammes de l’enfer s’ils n’obéissent pas !. Que retiennent donc les écoliers de cette école sinistrée qui apprend à des enfants "ADAB EL KABR" et...... la toilette du mort ?!!
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    Le 8.10.2009 à 09h47
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    L’ÉCOLE DE BEN BOUZID , NE MÉRITE AUCUN DÉBAT.... ELLE EST CATASTROPHIQUE !!!!!
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    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    IL FAUT ARRÊTER BEN BOUZID ET LE JUGER POUR INCITATION À LA CLOCHARDISATION ET LA DÉLIQUESCENCE DES ENFANTS ALGERIENS... C’EST UN CRIMINEL NOTOIRE....IL EST EN TRAIN D’ASSASSINER L’INNOCENCE ET CE EN TOUTE IMPUNITÉ....

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    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    benbouzid où autres personnalités ,meme bouteflika ne peut rien faire devant ces décideurs .le peuple est tout est poing et pieds liés par ces gens qui ne pensent qu’à s’enrichir quitte à piétiner notre dignité et notre honneur.l’école est détournée de son vrais objectif et il faudrait résister et contrer les charognards ,les ennemis principaux du pays.il faut reconnaitre que du député au plus petit conseillé communal sont des pions de ce groupe qui ne recule devant rien.les partis boulitiques se donnent au plus offrant et l’UGTA aide ces terminators à éradiquer la production économique Algérienne. ils savent bien que l’école est source de la liberté et la résistance aux ennemis de la nation.



    Le 8.10.2009 à 08h38
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    Il ne sert à rien de former les enseignants et diminuer le nombre de matières si les classes sont surchargées et les écoles moins équipées en outils pédagogiques. Un très bon prof ne pourra jamais gérer convenablement une classe de 45 élèves et il ne pourra jamais atteindre ses objectifs pédagogiques lorsque l’établissement ne lui offre qu’un bout de craie et un tableau comme moyen pédagogique.

    Benbouzid est entrain non pas de réformer l’école, mais plutôt de la déformer ; il ne fait que copier-coller des méthodes appliquées en Occident sans essayer de préparer le terrain ici en Algérie. C’est une catastrophe.
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    Le 8.10.2009 à 07h45
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    Le systeme éducatif n’est qu’une petite face hideuse de tout un systéme qu’il faut revoir. Pour que l’enseignement prenne l’essor escompté, il faut tout changer. Revoir la grille des salaires des enseignants, améliorer les conditions sociles des éleves, soulager ces deniers de la cherge des matiéres et du poids des cartables...etc ! En somme, le systéme éducatif ne s’améliorera jamais tant que tous les clignotants de la societé sont au rouge.
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    Le 8.10.2009 à 07h36
    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    retourner au systeme de l’enseignement des sciences en francais.laisser l’arabe pour les matieres telles les sciences humaines.en tant que matiere attribuer un coefficient eleve a l’arabe si les responsables ont peur de sa discrimination.recycler certains enseignants.
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    De quoi alimenter un riche débat sur l’école

    les problèmes de la langue ne pose aucune difficulté à améliorer l’enseignement.il faut écartés le favoritisme,le trabendisme et l’incompétence.l’échelle des valeurs est remplacer par les ayant droits,les corrupteurs et les corrompus et l’usurpation de fonction.le mérite n’est plus à celui de l’élite mais aux assistés et aux protégés par les décideurs.le jour où chacun sera évalué par sa vraie qualité et sa capacité intellectuelle,l’école retrouvera ses repaires et produira les vrais citoyens capables de relever n’importe quel défi et que notre patrie devienne prospère parmi les grandes nations.

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    De quoi alimenter un riche débat sur l’école ( et la langue d’enseignement ???)

    L’article et le sondage ne parle pas de l’essentiel. La langue d’enseignement. Nous avons la chance d’hériter la langue française. C’est un butin de guerre. Le système éducatif est entrain de s’en défaire totalement au profit de la langue arabe. Ces dernières années nos enfants ne savent ni lire ni écrire dans cette langue. Le bilan de l’utilisation de la langue arabe est clair comme l’eau de roche : nul. Depuis 1976 ( ça fait 33 ans), année des premiers textes imposant la généralisation de l’utilisation de cette langue dans les école dans les sciences fondamentale, citer moi un seul médecin formé dans cette langue. Aucun. Ingénieur ..non plus. Le seul but de nos dirigeants c’est de maintenir nos enfants dans l’ignorance et la dépendance et d’assurer l’avenir de leurs propres enfants ( qui sont formés ailleurs dans les grandes écoles avec l’argent du petrole).

    Oui s’il faut changer quelque chose dans cette école c’est de commencer par l’essentiel. Revenir à l’enseignement de la langue française.

      La date/heure actuelle est Ven 15 Nov - 9:05