Niveau : 4ème année moyenne
Projet 2: Argumenter dans le texte narratif
Séquence 1: Argumenter dans le récit
Activité :
*Exercices de consolidation*
Objectifs :
*Consolider les acquis de l’apprenant.
*Contrôler les notions étudiées antérieurement.
*Transformer un rapport de cause en rapport de conséquence et vice versa.
Déroulement de la leçon :
Exercice d’application n°1 :
Transforme le rapport de conséquence en rapport de cause :
a- Mon enfant était fatigué si bien qu’il n’a pas pu nous accompagner.
*Mon enfant n’a pas pu nous accompagner car il était fatigué.
b- Il a assuré son avenir de façon qu’aucune mauvaise surprise ne puisse lui arriver.
*Comme il a assuré son avenir, aucune mauvaise surprise ne puisse lui arriver.
c- Nous prendrons des vacances de telles sorte que nous irons en camping.
*Nous irons en camping parce que nous prendrons des vacances.
d- Cette intervention est tellement difficile qu’il hésite à la faire.
*Il hésite à faire cette intervention car elle est difficile.
e- Nous avions raté le tournant donc nous nous sommes retrouvés sur une autoroute.
* Nous nous sommes retrouvés sur une autoroute car nous avions raté le tournant.
Exercice d’application n°2 :
Relie à l’aide d’une structure les deux propositions pour exprimer un rapport de conséquence :
a- Il avait neigé donc la chaussée était glissante.
b- On doit limiter la circulation de sorte que le taux de gaz carbonique ira en diminution.
c- On ne connaît pas les effets du téléphone portable sur la santé de l’homme si bien qu’il ne faut trop le rapprocher à soi.
Exercice d’application n°3 :
Lis le texte puis relève les propositions subordonnées de conséquence :
Sècheresse en inde
La sècheresse continua si longtemps que nous perdîmes le compte des jours. Matin après matin ; le soleil dardait ses rayons impitoyables. Il grillait tout ce qui s’efforçait encore de pousser ; cuisait et durcissait la terre si bien que finalement elle se fissura et que de grandes failles béantes s’ouvrirent dans le sol. Les plantes s’étiolèrent ; les herbes périrent, le bétail et les moutons se trainèrent jusqu’au lit de la rivière ; si assoiffés qu’ils en moururent.
Projet 2: Argumenter dans le texte narratif
Séquence 1: Argumenter dans le récit
Activité :
*Exercices de consolidation*
Objectifs :
*Consolider les acquis de l’apprenant.
*Contrôler les notions étudiées antérieurement.
*Transformer un rapport de cause en rapport de conséquence et vice versa.
Déroulement de la leçon :
Exercice d’application n°1 :
Transforme le rapport de conséquence en rapport de cause :
a- Mon enfant était fatigué si bien qu’il n’a pas pu nous accompagner.
*Mon enfant n’a pas pu nous accompagner car il était fatigué.
b- Il a assuré son avenir de façon qu’aucune mauvaise surprise ne puisse lui arriver.
*Comme il a assuré son avenir, aucune mauvaise surprise ne puisse lui arriver.
c- Nous prendrons des vacances de telles sorte que nous irons en camping.
*Nous irons en camping parce que nous prendrons des vacances.
d- Cette intervention est tellement difficile qu’il hésite à la faire.
*Il hésite à faire cette intervention car elle est difficile.
e- Nous avions raté le tournant donc nous nous sommes retrouvés sur une autoroute.
* Nous nous sommes retrouvés sur une autoroute car nous avions raté le tournant.
Exercice d’application n°2 :
Relie à l’aide d’une structure les deux propositions pour exprimer un rapport de conséquence :
a- Il avait neigé donc la chaussée était glissante.
b- On doit limiter la circulation de sorte que le taux de gaz carbonique ira en diminution.
c- On ne connaît pas les effets du téléphone portable sur la santé de l’homme si bien qu’il ne faut trop le rapprocher à soi.
Exercice d’application n°3 :
Lis le texte puis relève les propositions subordonnées de conséquence :
Sècheresse en inde
La sècheresse continua si longtemps que nous perdîmes le compte des jours. Matin après matin ; le soleil dardait ses rayons impitoyables. Il grillait tout ce qui s’efforçait encore de pousser ; cuisait et durcissait la terre si bien que finalement elle se fissura et que de grandes failles béantes s’ouvrirent dans le sol. Les plantes s’étiolèrent ; les herbes périrent, le bétail et les moutons se trainèrent jusqu’au lit de la rivière ; si assoiffés qu’ils en moururent.