Commémoration des massacres du 8 mai 1945 : Le cri de la liberté
Les Algériens ont rendez-vous, en cette journée du 8 mai, avec une des plus importantes facettes de leur histoire. Question de commémoration certes, mais aussi de relecture de l’histoire, de leçons et de relais de conscience pour les générations qui se succéderont.
C’est d’abord, faudrait-il le rappeler, une nouvelle Algérie qui célèbre cet évènement, celle qui engagée dans le processus de réconciliation nationale, joint son effort d’harmonisation avec les nations éprises de paix et de justice à l’élan mondial du dialogue entre les civilisations. Néanmoins, dès lors qu’il est inimaginable que ces mêmes nations qui ont eu, par leur passé, leur lot d’injustice, de répression et de guerres injustes, puissent gommer l’espace noir de leur mémoire, l’Algérie aura encore une fois à marquer le passage de cette date historique, dans la sérénité, la dignité et dans la pure logique d’une prise de conscience de la portée de ce haut repère de la glorieuse Révolution de Novembre.
Le 8 Mai 1945 qu’historiens, chercheurs et acteurs des évènements se livrent chaque année aux éclairages sur ses faits et ses réalités, mérite davantage d’être assumé pour l’intérêt de tous les peuples, les nations et pour l’humanité entière. Une reconnaissance morale de la responsabilité sur les drames engendrés dans un passé lointain par mépris des valeurs humaines universelles et des règles élémentaires du droit international, notamment les droits de l’homme, la liberté et l’autodétermination des peuples, doit se concevoir pour être un acte digne d’une nation engagée avec notre pays dans des perspectives de construction d’un meilleur avenir basé sur les échanges commerciaux, culturels et sur le transfert de technologie. Que de cas pourtant, en la matière, ont été enregistrés entre pays autrefois en conflits et aujourd’hui unis par le destin et le bon sens de la communauté continentale.
L’Algérie œuvre pour sa part à promouvoir les leçons d’une histoire dans l’espoir de permettre aux générations montantes de mieux assumer l’intérêt suprême de la nation. Et pour sa part, comme le stipule la Constitution du pays, l'Etat qui garantit le respect des symboles de la Révolution, la mémoire des chouhada et la dignité de leurs ayants droit et des moudjahidine, œuvre également, en outre, à la promotion de l'écriture de l'histoire et de son enseignement aux jeunes générations.
L’histoire retiendra
Les Algériens ont rendez-vous, en cette journée du 8 mai, avec une des plus importantes facettes de leur histoire. Question de commémoration certes, mais aussi de relecture de l’histoire, de leçons et de relais de conscience pour les générations qui se succéderont.
C’est d’abord, faudrait-il le rappeler, une nouvelle Algérie qui célèbre cet évènement, celle qui engagée dans le processus de réconciliation nationale, joint son effort d’harmonisation avec les nations éprises de paix et de justice à l’élan mondial du dialogue entre les civilisations. Néanmoins, dès lors qu’il est inimaginable que ces mêmes nations qui ont eu, par leur passé, leur lot d’injustice, de répression et de guerres injustes, puissent gommer l’espace noir de leur mémoire, l’Algérie aura encore une fois à marquer le passage de cette date historique, dans la sérénité, la dignité et dans la pure logique d’une prise de conscience de la portée de ce haut repère de la glorieuse Révolution de Novembre.
Le 8 Mai 1945 qu’historiens, chercheurs et acteurs des évènements se livrent chaque année aux éclairages sur ses faits et ses réalités, mérite davantage d’être assumé pour l’intérêt de tous les peuples, les nations et pour l’humanité entière. Une reconnaissance morale de la responsabilité sur les drames engendrés dans un passé lointain par mépris des valeurs humaines universelles et des règles élémentaires du droit international, notamment les droits de l’homme, la liberté et l’autodétermination des peuples, doit se concevoir pour être un acte digne d’une nation engagée avec notre pays dans des perspectives de construction d’un meilleur avenir basé sur les échanges commerciaux, culturels et sur le transfert de technologie. Que de cas pourtant, en la matière, ont été enregistrés entre pays autrefois en conflits et aujourd’hui unis par le destin et le bon sens de la communauté continentale.
L’Algérie œuvre pour sa part à promouvoir les leçons d’une histoire dans l’espoir de permettre aux générations montantes de mieux assumer l’intérêt suprême de la nation. Et pour sa part, comme le stipule la Constitution du pays, l'Etat qui garantit le respect des symboles de la Révolution, la mémoire des chouhada et la dignité de leurs ayants droit et des moudjahidine, œuvre également, en outre, à la promotion de l'écriture de l'histoire et de son enseignement aux jeunes générations.