Bonjour Mr l'administrateur
Je voudrais vous exposer un petit manuscrit dans le but de pouvoir m'aider à l'éditer,il comprend plusieurs parties de mon passage à l'université et à ma carrière d'enseignant.Un effet psychique qui avantagera mes collègues à s'insérer dans l'art de l'écriture,un nouveau souffle à votre "site".Un livre qui sera publié et lu par l'ensemble de nos collègues du site,sera vendu si c'est nécessaire lors de son édition.Nombre de pages 30 à 35.
Merci.
Le titre: [b] Un retraité pas comme les autres
[/b]
Dans ma chambre un peu chauffée, je m’allonge comme d’habitude pour dormir mais cette nuit ne m’est guère favorable, je ne trouve pas le sommeil. Une nuit blanche où l’obscurité parvient à s’étendre partout, je laisse mon corps s’adapter à cette noirceur en regardant, inerte et figé ces instants sombres qui m’enveloppent. L’électricité elle-même a disparu cette nuit en faveur de cet assombrissement. Absorbé par cette nébulosité, Je laisse mon âme se libérer dans ce vaste néant à la recherche de mon passé, introduisant ainsi le temps assimilé fortuitement par rapport au soupir qui ne cesse de me suivre. Cette inspiration rejetée par l’ouverture de la bouche sous forme d’expiration d’un petit vent, traduit incontestablement un regret fortement enregistré dans ma mémoire. Les jours se succèdent en venant se rapprocher des derniers moments du coucher du soleil pour s’agonir, montrant une image symbolique de la vie de l’espèce humaine qui est entrain de prendre le chemin d’un départ sans retour. Seule l’histoire sera présente à travers ces différentes générations ou chacun aura cette faculté de voir que son passage n’est qu’éphémère. Je navigue dans ce monde, en suivant mon âme flotter dans cet univers pour découvrir des repères de ma carrière propre à ma jeunesse et à mon enfance. Le soupir est là, présent du temps passé dans lequel j’étais cloîtré dans une fonction noble, celle de l’enseignement. Un long parcours de combattant de la plume suit le rythme régulier des années qui s’écoulent et à aucun moment, pendant toute une carrière, je n’avais la certitude de pouvoir améliorer mon niveau que lorsque j’ai eu l’occasion de prendre ma retraite. L’obstacle le plus fréquent c’est l’épreuve du BAC qui entrave le parcours de mes études. J’ai mis à terme mon projet pour l’obtenir, une manière de dire un défi auquel je n’avais aucun espoir de le réaliser car la langue Arabe classique m’était étrangère au point où je ne savais même pas analyser un mot ou une phrase, chose qui m’écartait le plus souvent de réaliser mes vœux à cette époque. En revanche ; et fort heureusement, les résultats ont montré ma capacité d’avoir passer à des méthodes les plus simples pour trouver le secret de la réussite. Par miracle, j’étais admis. Aussi, j’ai jugé utile de rejoindre les bancs de l’université, d’étudier à mon âge très avancé de façon à obtenir un diplôme honorable, celui d’une petite licence. Quatre années furent passées avec cette ferme volonté, je bénéficie tout comme les autres d’un certificat d’aptitude. Dès lors, je manifeste ma longue réjouissance de mon attestation en évoquant les jours radieux de mon enfance déstabilisée par ce bout de papier. Le soupir hantera mon esprit à l’heure ou la découverte du savoir justifie le présent et non le passé en relation avec la jeunesse actuelle qui devra vivre son temps. Un retraité pas comme les autres avancera l’idée de créativité parmi les jeunes qui voudraient savourer ce savoir aussitôt. Bien que la réalité soit autre de la façon de penser ou de raisonner, je demeure en possession d’une réalité contraire, celle de pouvoir libérer cette impotence des vieux en relation avec le monde actuel. Je sonde ainsi la régularisation à ce nouveau stade de l’esprit humain, je transcende les divers handicaps de la vieillesse en valorisant la volonté, la motivation de l’être. Hélas ! Seul, mon corps gît dans ces profondes ténèbres à interpeler mon âme de revenir pacifiquement le rejoindre pour rechercher une autre création de l’esprit ou s’installeront d’autres visions de l’espèce humaine. Sans jamais y avoir pensé, j’ai tracé mon avenir bien trop tard à la suite de cette opportunité de l’obtention du « BAC » pour satisfaire ma conscience, une obsession de l’époque où j’étais encore étudiant, une manière de répondre à cette question de niveau au sein d’une société qui ne pardonne pas. Donner l’espoir aux jours qui restent par un profil autre que celui d’un instituteur à l’équivalence de celui d’un professeur qui jouit honorablement d’une liberté fondamentale, celle de l’esprit ouvert à travers un enseignement sans équivoque abordable par l’ex : instituteur que j’étais, il y a trente et un ans. Grands et petits, dans ce village dénommé Médrissa admirèrent cette réussite et ce long parcours de l’Université à juste titre achevé par une « LICENCE » de Français. De partout d’ailleurs dans les villes et villages avoisinants, l’on ne cesse d’imiter ce geste déterminant l’avenir brisé de tout un chacun voulant refaire sa vie. Dans les villes côtières ou dans le grand désert, les jeunes comme les grands savent presque parfaitement comment vogue un navire, toujours maintenu en surface, fendant les flots, accomplissant sa mission, défiant vent et vagues . Voulant ainsi atteindre son objectif par le biais du gouvernail. Il y va de la volonté qui doit, en effet être de prime abord l’exclusion de tout obstacle d’une pensée négative. Il en découle aussi la traduction nécessaire d’un point de départ sans retour. Nécessité d’élaborer un plan pour aborder son travail avec plus d’assurance et profits. Je ne dois pas manquer d’exploiter ma propre idée en citant des exemples concrets à l’heure où ma retraite en fait défaut, l’homme par sa nature offre un paysage plein de secrets, il agit pour transformer l’environnement dans lequel il vit où il présente typiquement un aspect lié étroitement à ce dernier. Une carrière se dissout : Une routine de son travail est en train de gagner du terrain. Laisser celui qui, influencé par son savoir-faire de choquer la société par un exploit, une autre attitude à prendre ; un engagement de céder à cette curiosité qui vous amène dans les flots d’une mer tourmentée, en disant : « Je n’ai aucune crainte, aucun embarras à m’engager dans les flots de cette mer. C’est une mer abstraite, collective faite pour tous ceux qui veulent y voguer et tous ceux qui, un jour, sont appelés à s’y tremper, pour une cause juste, une raison pour laquelle on est incité à améliorer notre savoir-faire bien qu’il soit tardif». Il n’est guère difficile de procéder à l’allure de la tortue et du lièvre de « La Fable de La Fontaine » Qui va lentement arrive sûrement. La seule différence à signaler réside dans un comportement optimiste à enfreindre les lois de l’obstacle naturel de l’esprit qui stagne et conserve le niveau d’antan, celui des anciennes générations qui se sont renfermées sur elles-mêmes. Un moyen de vérifier ses connaissances par l’outil informatique actuel qui vous donne l’occasion de saisir cette conjoncture. La question que doit se poser tout membre d’une collectivité revêt un caractère pertinent de la réussite, du défi, du triomphe, de la gloire en situant un avenir prospère, attendu, rêvé qui était sous estimé, mis à l’écart pendant longtemps. Une phase où l’individu a senti alléger un poids, une charge de toute une vie, donc une place méritée qui vous fait émerger vos joies, à l’encontre de vos souffrances, une façon d’avoir réalisé votre rêve, un temps soit peu. Et Adieu, les soucis de niveau. Acquérir un lien avec la bonne réponse pour se faire valoir et l’imposer comme une marque, une empreinte de son passage : celle d’un retraité à l’université. Quelles que soient les circonstances de lieu, de temps, l’homme a toujours cette envie de changer sa propre nature pour arriver au sommet. Cette ambition étant certes une manière de s’exprimer et d’exprimer son autodétermination un « MOI » jusqu’alors enfoui depuis plusieurs années, enseveli, enfermé, incarcéré, je dirai même inerte. La nécessité de connaitre l’ensemble de la masse humaine avec son précieux contenu intentionnel, avec ses variations intérieures et extérieures, la situation générale de la relation entre l’homme et son environnement, de se rendre actif et de jouir pleinement son rôle de forgeron du métier auquel on s’insère, forger des esprits devient une question impérieuse. Soumis aux divers responsables et gouvernés par la plus grande partie des inspecteurs, directeurs, j’avais ce grand besoin de m’évader mais hélas !j’ai vivement compris que les rôles étaient inversés, véhiculé et promu au plus haut degré pour le bien d’un monde serein et juste, je dus prendre ce revers pour m’acquitter de cette tâche où la conscience professionnelle est de taille ,en faîte une éducation ,un apprentissage de la formation de l’esprit autant dire une continuelle besogne vis-à-vis de notre religion sacrée. Un éducateur ne peut se soumettre qu’à son travail d’où il dépend, la prise en charge de l’enfant et lorsque c’est acquis, il marche comme sur des roulettes. La vie continue de jour comme de nuit, faisant tourner la cervelle de ceux qui dorment et de ceux qui restent éveillés, jusqu’à les faire procréer d’une idée que nous devons nécessairement entretenir jusqu’à cet avènement. La création de l’esprit continue, bien plus lorsqu’on donne le soin à ceux qui savent introduire l’effet psychologique de chacun dans l’attente de pouvoir récolter ce qu’on a semé. Bien plus que toutes les sciences, et toutes les philosophies, celle qui a un rapport direct avec la façon d’être responsable devrait bénéficier de la priorité et d’être une matière d’enseignement et un processus d’éducation dont tireraient profit tous les citoyens. Cette forme a dignement traduit un comportement positif à l’égard des gens qui ont su s’habiller différemment en empruntant le chemin de la célébrité, un hommage est rendu à chacun d’eux grâce à cette mesure prise tardivement mais combien nécessaire, utile à leur façon de voir leur objectif atteint. Des maçons, des peintres, et bien d’autres ont suivi cette voie pour bénéficier de l’aventure de l’écriture à la place de la truelle et du pinceau. Des hommes qui ont peint leur jeunesse dépassée par l’accueil chaleureux des vieux qui pu leur transmettre le message du savoir. Là dessus les leçons devront avec toutes les formes et les couleurs imaginables, pleuvoir d’un seul trait, notamment la philosophie, qui reste le seul handicap pour ceux qui n’arrivent pas à l’exploiter. La didactique elle-même suppose le savoir-faire de l’enseignant et présuppose toute traduction d’un programme donné pour le rendre simple, élémentaire, non complexe, accessible aux élèves qui ont tendance au succès.
Les professeurs doivent se rendre compte qu’ils sont responsables de leur tâche à apporter une certaine autonomie dans le bon fonctionnement de toute éducation à faire jaillir ou émerger le rôle du détenteur du savoir à celui du récepteur, ainsi l’enseignant et l’enseigné s’alignent sur le même rang de toute formation de l’esprit et gèrent tous les deux un savoir partagé. En Algérie, la tradition a fait que les enfants devenus adultes, ont réussi à acquérir une certaine indépendance, il en demeure néanmoins, que cette liberté n’est que physique et matérielle. L’idée de se soumettre au plus vieux, qui leur parait forcément le plus sage, la sensation d’être moins expérimenté, la peur de la responsabilité due surtout au désir de savourer les délices de la vie, laissent les citoyens dans un état de souffrance éternelle à l’égard de leurs objectifs définis. Forcément, le plus vieux est en train de remuer sans cesse ses propres méninges à en trouver l’issue de sortie en vue de refaire et remodeler une partie de sa vie brisée, une fin en soi qui lui laisse de mettre ces contraintes à l’écart et de pouvoir véhiculer ses idées dans le bien d’autrui : le progrès qui entraine tout ce qui est sur son passage. Ce qui pousserait, au plus haut de leur degré, toutes les formes d’inertie et de stagnation, cette remise en question est due à l’intelligence de tout être humain qui peut s’adapter à tout autre milieu. Ce sera une nouvelle forme de vision qui entre en valeur avec les données actuelles de l’informatique et ses outils, une technologie de communication diverse. Comment, pourquoi, quand ? Des questions d’ordre didacticiel s’instaurent dans l’esprit et résolvent le plus souvent des problèmes fondamentaux de tout énoncé, en adéquat avec les programmes. Cette mesure facilite la réponse attendue par rapport à ceux qui restent cloués dans leur rêve des mille et une nuits ? Il faudrait plutôt que cela se fasse en s’assimilant pleinement dans un rêve qui vous projette dans un futur lointain où le fond n’est jamais atteint. Un rêve précurseur et prometteur. Réalisable dans la vie, pareil à celui d’un retraité qui, faute d’inadaptation avec les nouveaux responsables, décide de s’évader dans un savoir longtemps désiré.
Une nouvelle énergie s’annonce pour ne pas tomber dans un état de farniente, d’oisiveté et d’émargement, il s’avère prendre du recul pour que l’on puisse redémarrer à la recherche du meilleur. Me voilà de nouveau à l’affût pour décrocher le fil de l’objet que je viens d’entreprendre à tisser et à exposer. Dans ses composantes, tout savoir présente des proportions inégales selon le sexe, l’âge, la santé, l’instruction les traditions et coutumes. Ces critères de classement, une fois bien exploités, deviendront les meilleures sources de lien, de rapprochement, de promotion, de prospérité. Les plus grands maux de cette catégorie c’est-à-dire les plus vieux qui dépassent le soixantième anniversaire, proviennent de la mauvaise combinaison entre l’âge, la santé et les études d’un haut niveau. Passé l’âge propice, le moment le plus opportun étant manqué, il devient très difficile de fonder un tel objectif ou même une famille, base de toute déduction. Solliciter les meilleurs moments de sa vie exige un acharnement, une obstination par laquelle se fondent impérativement un changement radical de la pensée liée à toute action ayant cette notion de préserver un patrimoine purement et simplement inné depuis l’enfance. Changer, n’est-il pas ce souci de transformer continuellement une posture afin d’ordonner les éléments de ce grand ensemble de l’être et de les maintenir dans une relation définie pour un mouvement régulier et sans problème ? A travers les langues étrangères employées, il est vrai de dénoncer cette difficulté de son apprentissage mais il est évident de contourner ce stade par l’emploi d’une pure analyse des faits qui traduisent l’efficacité de son enseignement au sein des établissements. Mon intention était, je suppose à titre indicatif de montrer à combien l’être humain est capable de manifester son enthousiasme à travers toute initiative. Cette spontanéité de l’esprit aussi pure soit-elle réside de l’accomplissement de la tâche voulue. Revêtant la peau de l’étudiant, je dus rejoindre manifestement l’université à cet âge, selon le degré du savoir dire, bien trempés dans des amphis, je réalise mon vœu vers le but désiré, croire à ma destinée, je me lance effectivement à jouer le rôle de l’ex : éducateur et de l’étudiant : les mots, qu’ils soient écrits ou oraux porteront les messages à destination exacte. Je facilite mon travail en utilisant les termes à bon escient tant que je demeure encore à chercher le « moi » dans cette traversée. J’ai tant souhaité les balancer au milieu scolaire avec les petits enfants de mon école. Mais des mots simples et clairs pour soumettre une idée au plus grand nombre de destinataires et parmi eux les professeurs de l’Université. Les rôles respectifs de chacun à ce niveau étaient de montrer notre capacité de suivre un tel raisonnement pour passer à sa propre vérification de l’enjeu de niveau réduit au primaire après une carrière d’enseignement. Une première année s’avère porter ses fruits en passant en deuxième qui était du moins comparable à la première. Par contre, la troisième année était l’une des plus difficile où les modules ont changé et l’on constate la sémiologie de l’un des professeurs n’était favorable que pour les soi-disant meilleurs de la promotion. La quatrième est l’une des plus abordable par son programme varié et qui se veut ressembler à celui des programmes scolaires aussi je dus traiter ces sujets facilement en décrochant l’attestation de réussite de fin d’année ; ma licence sur les bouts des doigts et désormais je me mets sur les rails dans l’écriture de l’aventure : Le savoir n'a pas d'âge, même le retraité à un certain moment de sa vie éprouve ce grand besoin de se cultiver...Mon regard se projette dans cet immense univers, lorsque le soleil apparaît au lever du jour pour l’enluminer de ses rayons écarlates. Je me réjouis encore plus de voir les retraités mobiliser leur force d’esprit pour combattre l’inactivité. Les uns prennent un aspect différent, triste et mélancolique. Les autres continuent à chercher le bonheur, une façon de se libérer de la solitude. Souvent, on se demande comment le temps a pu s’évaporer dans un silence aussi subtil ? Un silence dans lequel toute une carrière se dissout. De plus en plus, les années s’écoulent lentement, pareilles à l’eau qui avance tranquille dans les rivières. Elles marquent le passage éphémère du temps qui modèle en douceur l’apparence physique des êtres humains. Hélas, à ce stade, le changement inéluctable de l’être annonce l’immobilité d’action, au bout de son chemin. Mais un jour, l’un d’eux parvient à éprouver une sorte de vertige lorsqu’il s’immerge dans son état actuel, définitivement statique. Un bref instant de soulagement l’enveloppe aux seules réminiscences de son passé. Il se rappelle aussi les anciens collègues qui ont eu, comme lui, la chance d’être maître d’école à cette époque lointaine et la perte de temps qui le scandalise : celui qu’il n’a pas pu passer à étudier. Il se remet en action et conjugue ses efforts à entreprendre cet objectif avec ardeur. Combien de gens ont-ils opté pour cette passion des études ? Et combien d’encres ont-elles été versées à définir l’âge de la sagesse et de la grandeur, multipliées par la force de la raison de l’ancienne génération. Voir, dans le miroir, son corps se mutiler, lui donne fermement la volonté de poursuivre cette action et de parvenir à ses fins c’est-à-dire parier sur la réussite. Il s’agit en effet d’un projet réalisable dans l’avenir qui constitue un bref soulagement d’esprit joint à un désir profond d’affirmer son existence. Je le vois au milieu de cette jeunesse en train de renaître pour se surpasser. Signe révélateur d’un bon éducateur. Il fournit chaque jour des efforts considérables pour arriver à mener à bien son idée, ce qui est en quelque sorte une façon de retrouver ses vingt ans. Il essaie de ressusciter l’homme d’hier en se défiant lui-même, en mettant au point sa reprise des études supérieures. Mais se décider est difficile. Son âge ne sera-t-il pas une barrière ? Il s’interroge longuement puis se décide enfin et se lance dans sa conquête. Il rejoint donc les bancs de l’université. Son acte peut paraître étrange. Pourtant, ce défi lui donne force et vigueur pour atteindre l’idéal qu’il s’est fixé ; son point de vue sera modifié, élargi, en triomphant dans son entreprise et en étant reçu parmi les « grands ». Dès lors, mon regard ne cesse de se pointer sur lui pour le suivre de près, de façon à imiter sa démarche identique à celle des grands chevaliers qui ne perdent pas la bataille. Combien de fois a-t-il pensé que le sort en était jeté ? Doit-il se résigner ou affronter cet obstacle des études qu’il recommence ? Croire ou ne pas croire à ces instants qui lui redonnent vie et espoir ? Je le vois se poser une multitude de questions avant même de s’engager dans cette absurdité. Le formateur de tant de générations alimente son esprit avec cette idée. Et, en attendant la lumière de ces jours qui deviendront merveilleux, il revêt la peau de l’étudiant ; un possible changement spectaculaire s’offre à lui au milieu de cet espace universitaire : une manière de marquer son époque par l’octroi d’un titre. Il prend le chemin de l’aventure et entame ce parcours commun à tous les étudiants : tout semble inédit à ses yeux. C’est pour lui la découverte d’un autre monde, d’un autre futur. Sa grande différence avec les autres étudiants, son aspect impénétrable et réservé, font de lui une vedette dans la salle où il s’installe au premier rang, catégorique, ferme, insouciant. Il profite de ces instants ultimes pour s’instruire et montre sa capacité à s’adapter à ce nouvel environnement dans lequel il s’insère aisément. Des regards furtifs mais contrôlés s’échangent dans ce lieu plein d’animation où le retraité se distingue des autres par son comportement unique. Attiré davantage par la connaissance, il se nourrit du langage des jeunes qui expriment souvent leur envie de rester avec lui. Ils redécouvrent par leurs échanges une manière fondamentale d’apprendre à partir de l’autre. Ces contacts développent chez eux un nouvel esprit né de l’actualité des temps modernes. Finalement, la solidarité entre les générations a provoqué un changement sur la vision de l’homme dans ce milieu où le savoir demeure le seul objectif de chaque étudiant. Par leur apport mutuel qui les enrichit, ils feront la différence de l’âge pour réussir ce pari fou. Dans ce lieu où bâtiments et jardins offrent aux étudiants un cadre agréable, la vie reprend du souffle dans l’acte d’aimer les études. Le retraité ressent avec plus d’intensité la valeur et l’intérêt des études littéraires et de plus, il éprouve un sentiment un peu romanesque Cette vision claire parfume les derniers instants de sa vie. Je me rapproche de lui et m’immerge dans l’immensité de son savoir : j’enrichis mon vocabulaire et j’acquiers de nouvelles compétences. Subjugué, passionné, je m’identifie à lui et je m’attribue son propre regard sur le monde de la littérature. Dans ces petits rapprochements favorisés par les études, j’achève mon cursus universitaire. J’obtiens ma licence en langue française avec tous les honneurs en ayant un sentiment de bonheur qui m’envahit à l’idée d’avoir réalisé mon rêve. Mon passage dans la vie aura laissé une marque. Ce soir et tous les autres soirs, je revêts la propre nature de l’étudiant qui n’est pas comme les autres et je pourrai m’endormir fier de moi d’avoir accompli ce parcours avec amour. Donc, il y a lieu, dès le jeune âge, d’orienter ces forces complémentaires vers un avenir serein. Chaque âge a ses propres soucis ; et il est impérativement conseillé d’écouter, de voir évoluer sa composante principale qu’est la jeunesse et de l’encourager dans la destination qu’elle entreprend. A 60 ans ou 61 ans on a plus le souci des jeunes et même en les côtoyant, on essaie toujours de les orienter, leur donner souvent le modèle type du succès, des conseils, de les parcheminer vers les endroits les plus sûrs où des psychologues n’arriveraient certainement pas à déceler des indices des problèmes posés de la jeunesse. Avec leurs esprits de sages, les vieux arriveraient à les guider par des exemples concrets de la vie en montrant des leaders qui ont pu se frayer un chemin pareil .Expérimenté en la matière, j’appelle tout un chacun de suivre cet exemple dans le but de faire la différence entre les premiers pas de sa fonction et celle d’aujourd’hui. Pleins d’ardeur et de véhémence, les jeunes doivent transiter à la recherche du meilleur et investir leur connaissance aussi largement que possible dans un cadre confiant. C’est alors qu’ils apprendront à être ce qu’ils doivent être et répartir le temps précieux qui leur est accordé, un équilibre du moins favorable de l’adolescent qui a sa propre vision, bien différente de celle du vieux. Même le savoir et la culture, s’ils sont investis dans un cadre non ouvert, finiront par être couverts de poussière puis destinés à une désagrégation inévitable. Ne dit-on pas que la force est puisée de l’ambition, de la foi, de la vigilance et de la résolution du bien faire en vue d’un ajustement nécessaire dans la vie ? Pouvoir ou vouloir, capacité et compétence entre en jeu pour alléger un fardeau de trente et un ans conviendraient mieux à cette tâche qui consiste à relever le défi. Enrichie par l’idée d’arriver à point, je me propulse par un esprit jeune en conservant toutefois une physionomie distinctive de celle du vieil homme, je prends le flambeau de cette génération, émargée par la société, un poids difficile à porter. Savourer les délices de la peine, de la souffrance acquérir un plaisir distinct parce que libre de mes pensées en côtoyant les jeunes, une autre vie s’annonce à celle d’un printemps où les fleurs font apparaître leurs petits bourgeons , être résistant et fort, patience est de rigueur, savoir pauser et atteindre la destination à temps. Il est vrai que la jeunesse est plus apte à inventer qu'à juger, mais le manque d’expérience se fait voir dans leurs attitudes, poursuivre des anciens constitue un atout majeur de ceux qui optent pour la prospérité et le bonheur très tôt. Alors, la jeunesse ressent ce plaisir d’avoir cette grandeur en mettant les voiles dans des projets nouveaux, un conditionnement de l’être humain se ressent par cette même conjugaison des efforts un plaisir incroyable lorsqu'on commence à se fier à elle. Cette fusion semble dictée par des traits communs des deux générations qui pour l’une, le futur est un passé tandis que pour la deuxième, le futur devrait être prévu par une vision de celle du vieux, une conduite à tenir le long de son parcours pour contourner les obstacles de la vie. La seule différence que le dernier cas est consenti et donc contrôlé par les parents qui suivent de près leurs enfants. On a toujours pensé à faire vibrer l’échec des uns, façon d’évaluer le comment et le pourquoi de cette attitude, une reconnaissance de soi dans ce domaine, réajuster, planifier une nouvelle fois la réussite, la base d’un travail fourni qui maintient le même ordre chronologique jusqu’à la fin. La logique prévoit au moins un jeu régulier de trois dispositions : l’assurance, la volonté et le désir qui viennent vous entourer au cours de la marche sacrée. Au cours de mes témoignages à l’université, j’ai traduit un comportement étonnant de mon passage à travers des écritures qui relatent des événements inoubliables à partir des poèmes en prose, marquant le sentiment partagé de mes collègues et camarades de classe : où le titre choisi fait appel à des interprétations profondes, d’ordre naturel de la relation humaine « Quand le cœur vous parle », phrase bi-sémique qui indique d’une part une ,interprétation propre à son auteur, partagée avec un autre monde au-delà des frontières ,d’autre part une sensation forte d’un état où l’individu prévoit déjà cette séparation due à l’achèvement d’un environnement plein d’activité, en mouvement : « Et parfois, dans ce monde, nous avons ce grand besoin de nous évader pour expliciter nos profonds sentiments. Bientôt quatre ans passèrent… celles de mon passage à l’université, où les liens sont très étroits à faire vibrer des cœurs plein de bonté et de générosité. Bonheur et malheur, tout s’entremêle dans cet univers. L’âme tend à s’élever. Elle s’érige vers le ciel où Dieu est omniprésent dans le déroulement de la vie des êtres humains. Dans cette immensité, les esprits à jamais perdus ne se livrent plus à ce genre de mystère ; ils se résignent au sort qui leur est dévolu. Faisant foi de cet étouffement, on demeure agité par la rapidité du temps qui nous accable bien qu’il nous offre le charmant paysage de journées pleines de divertissements, nous aidant ainsi à avancer à travers les âges. Nul profit n’est atteint de par la naissance que celui de l’embrassement des êtres insensibles. Et plus encore aux situations affectives dans ce vaste espace où l’individu n’éprouve ce besoin de se confier à autrui. Quand je pris conscience de la difficulté à comprendre les autres, tout me sembla irréel et confus. Je me battais seul avec mes idées abstraites et cherchais refuge dans la peau d’un être ayant revêtu ma nature pour lui dévoiler les moindres plaisirs. Et je songe à d demain… Demain qui s’écoulera de la même façon que se sont écoulés les jours d’avant. Demain qui me séparera encore un peu plus de ceux que j’ai croisés et auxquels je me suis attaché. Si demain pouvait être aujourd’hui, je conserverais le souvenir radieux de ces moments rares qui ravivent le cœur. Je vivrais d’espoir et d’espérance, dans mon chagrin, dans ma souffrance, je garderais cet écart et m’inspirerais à jamais de son ombre gardienne. Mais demain est un autre jour qui se lève, il mettra sans doute une trêve à mes rêves. Et brûlent en mon cœur les longues insomnies qui s’effacent au p’tit jour. Ce poème en prose tend à attendrir le climat des jours vécus à l’université et faire place à l’espoir d’être toujours à la recherche des mots qui alimentent nos cœurs, un effet psychologique de nous habituer à démontrer ce pouvoir de réaliser nos rêves. Un lien qui peut nous aider à remémorer ces différentes scènes pour combattre l’oubli des jours heureux, s’accaparer du temps auquel nous étions assimilés à diriger nos points de vue réciproques, des moments dont la seule valeur était d’acquérir un titre, plutôt que de penser au sentiment d’être défavorisé des droits ou injustement chargé des devoirs qui semblent découler de l’obligation de porter le lourd fardeau de la vie, à tout moment. C’est donc là le premier point d’introduction d’une pensée positive qui éclaire votre univers et illumine votre chemin ; avec toutes ses lumières clignotantes. Le pouvoir-faire, le vouloir-faire et le savoir-faire sont à la base du labeur, de l’œuvre ou d’une action durable. N’est-ce pas là la meilleure position prise d’un réconfort d’apaisement de l’esprit, cherchant un moyen de s’enfuir dans un autre monde que le sien, un vrai régal de l’âme que de trouver refuge dans un climat serein de l’instruction. Une forme mieux conçue pour la constitution d’un nouvel élan de redressement d’une situation qui était autrefois clouée ou figée, telle une image fixée dans un cadre, de conserver le mode de l’inaction et de la stagnation ? L’accouchement de ces idées provoque le classement comme sacré d’imposer une voie directive, certaine de hisser ses hautes performances au dessus de tout pour l’amélioration d’un niveau, parfois non admis par la société et favorable dans la vie .Il est bien préférable au divorce de toute rigidité ancré dans l’esprit de tout un chacun, à maintenir son souffle jusqu’au bout. Ce qui vient de susciter en moi la résolution de foncer jusqu’à l’épuisement de mes forces, forces d’un vieil homme comparable au vieil homme et la mer d’Ernest Hemingway qui lutte désespérément contre l’espadon au milieu de la mer. « Garde la tête froide et endure ton mal comme un homme ou comme un poisson » Un choix qui suscite une attention particulière, classée comme une loi de la nature de l’homme obstiné, acharné, prouvant sa faculté d’entreprendre l’équilibre en résistant farouchement aux grandes épreuves des vagues et tempêtes qui proviennent des catastrophes naturelles. Un test soumis à des conditions favorables à la société, redresser une situation à laquelle s’allumeront d’autres bougies semblables à la mienne. Même au désavantage de mes enfants de manquer une certaine responsabilité, je dois garder ces caractéristiques évidemment distinctes et pertinentes de transformer la vie des citoyens qui tolèrent saisir ce lien. Semer ce grain et l’éparpiller c’est rassembler toute cette espèce en relation avec l’homme ,l’uniformiser de façon à la rendre homogène contre tous les maux découlant des liens autres que ceux engendrés par la démarche prise tout au long de mon passage. Cette fonction de plaisir ressort de l’esprit dont les cellules sont inactives vers un esprit sain dans un corps sain. La nuit comme le jour portent l’équilibre du temps, de la vie. La nuit seule, les nuits seules, altèrent le temps et lui font perdre son mécanisme et sa notion, transformant la vie en un cauchemar où tous les organes de l’être vivant sont congestionnés et vite paralysés. Le jour seul, les jours seuls usent le fil du temps si l’individu n’offre pas cette image de modifier son propre périple qui le rend insensible, et font de la vie une existence sans mouvement, sans ressource, sans but. Quel est donc ce monde aveugle qui ne parle que de problèmes auxquels, on est incapable de surmonter ? Je ne voudrais jamais que mon labeur n’acquiert l’idée de frontières. Et, après une bonne heure d’effort soutenu, je viens de me rendre compte que l’âge comporte des étapes avec des caprices propres à chacune d’elles. C’est ainsi que, de peur que mes années, au nombre de soixante et une, ne viennent m’emprisonner dans un cercle de lassitude, je me démène pour libérer un fond qui date de ma jeunesse, un fond pendant longtemps camouflé et que je voudrais projeter dans un temps qui ne m’appartient pas. Dès lors, je mène un combat sans relâche de guider mes orientations à un présent d’habitude du temps moderne où la science de la littérature vient de se placer au centre de toute technologie. Longtemps, l’idée octroyée par les anciens se figeait uniquement à la formation de jeunes qui commencent à prendre conscience de leur nullité de leur présence vis-à-vis de leur devenir. C’est l’image de ma jeunesse, lorsque j’avais vingt- ans, le un-tiers de mon âge actuel je réfutai de prendre le repos accordé à mes camarades de sorte que le travail fourni est un trésor. Il me fallut de gros efforts pour amplifier cette mémoire et d’arracher de mon rêve tout style de blocage. Je me voyais certes ce jeune algérien dégoûté, déprimé, avec les accusations de paresseux et d’abruti que lui renouvellent les vieux, mais plutôt un jeune plein d’espoir, de bon sens, d’endurance et surtout de désir de bien faire. Aujourd’hui comme hier, je me vois en train d’accomplir une suite d’enchaînement d’idées qui se rapportent à la concrétisation d’un avenir sans doute perturbé par ceux qui, le hasard a voulu qu’ils deviennent nos maîtres. Une fois de plus, j’entame une seconde période de ma vie active avec le sourire d’un vieux mêlé à celui d’un jeune qui offre un tableau fascinant de la fleur de l’âge d’accepter au mieux son sort qui lui est dévolu .Aux jeunes l’avenir, aux vieux le rêve d’un temps des merveilles se profilent dans leur esprit. Doté d’une balance à équilibrer mon rôle, entre la retraite et la fonction, je me démarque à rénover ma situation de fonctionnaire au CEM de Ouled –Djerad, une commune sise près de mon village à quelques dizaines de kilomètres où j’établie mon uniforme de celle du proverbe :« Si vieillesse pouvait et si jeunesse savait ».Désormais ;ma place est gagnée d’avance avec une affectation, signe de reconnaissance de mon passage à l’université, un emploi du temps chargé pareil à celui de la vieille époque, je me balance à maintenir le meilleur de moi-même en utilisant toutes mes capacités d’entreprendre une nouvelle allure de l’ancien instituteur à gain amplement suffisant. Voilà comment se distingue ce regard de la conjugaison entre la famille et l’emploi des retraités à l’instar des autres générations qui ont eu l’occasion de subvenir leur famille grâce au traitement équivalent à la cherté de la vie. Cette comparaison est vivement postulée dans le même cadre où la famille se verra hautement protégée contre la folie sociale. Mettant en relief la liberté de la pensée, celle d’un chercheur qui installe ses objectifs à point. Maîtriser une allure pour aller de l’avant, à montrer son énergie en utilisant un comportement exemplaire à celle des anciens professeurs qui avaient le privilège de donner une image type avec leurs moyens disponibles : Ce reflet a contribué à nourrir plusieurs générations du point de vue de l’éducation et de l’instruction, un vrai conditionnement du profil attendu que sont actuellement les cadres dans tous les secteurs. A ce moment là, je mets mon savoir en rapport avec celui des programmes de l’enseignement et mettre à exécution mon projet, une adaptation facile à ce niveau en ayant une forte envie de perfectionner les données dans le but d’un meilleur rendement profitable à tous. Simplifier, remédier, rapprocher et beaucoup, d’autres actions se placent en premier lieu à la manière de présenter des cours se basant sur la qualité et non sur la quantité. Ce souci majeur de penser aux élèves me mettait en confiance où j’appliquai le rôle de médiateur, une façon de négocier mes leçons avec assurance, aisance, un besoin constant de réaménager les leçons à leur profit. Une ambiance s’est emparée dans la classe et les élèves eux-mêmes ont aperçu un changement considérable des cours présentés, en effet, il est question de renouveler chaque jour, ma manière de gérer un cours, de l’habiller et de l’insérer selon l’environnement.
Le prix d’un pareil labeur vient de l’expérience acquise très tôt durant une carrière mais l’expérience ne suffit pas sans un savoir et un savoir-faire obtenus à l’université. Cette chaleur, sérénité et sécurité installés offrent un tableau peint de toutes les couleurs où l’amour prend la position première, aimer les enfants c’est leur partager vos propres sentiments d’une manière à leur procurer cette loi de la nature que les êtres humains sont nés pour s’aimer. Un lien fondamental qui unit les deux partenaires pour jouir de cet espace, la franchise de l’un attire l’autre vers le chemin désiré de se voir tel que l’autre. Une imitation d’un comportement est en train de se conjuguer au temps du présent actuel, une forme vient d’émerger, révélatrice d’une personnalité connue, celle de tout enseignant à ce stade. Libéré de toute contrainte, j’assume le travail de celui de l’ex :instituteur des années 1975 à celui d’un professeur au niveau moyen dans cet établissement dénommé « Hadef Benyamina ».Des moments d’exaltation et de joie ont été vécus à cette période où les gens eux-mêmes chuchotaient dans tous les recoins du village : »Un retraité est dans l’établissement ».Tous les jours et à huit-heures précises, il se met au garde-à-vous avec ses collègues sous les yeux des élèves, on le voit porter un tablier blanc, il se dirige avec un pas lent vers la classe » .Mettant en exergue ma conviction à ce sujet, je m’enfonce de plus en plus à donner le plus de moi-même en m’intégrant dans ce mouvement je relève ce défi en démontrant à travers mon attitude une réaction contraire à celle des jeunes, faisant apparaître une autre image à la société que le retraité peut resurgir et faire surface aux endroits fréquentés auparavant. De cela, il découlera que tout droit et tout devoir sont des droits et des devoirs de la famille enseignante dont le diplôme est reconnu par les chefs hiérarchiques et par l’établissement d’accueil qui se charge de régulariser telle situation. L’éducation en elle-même ne doit jamais être conçue avec l’idée d’un espace restreint sur lequel on construit un abri représentant une prison élégante. C’est plutôt l’espace intime nécessaire au rassemblement de toute cette composante, dans le but du maintien et de la maintenance des liens entre ses membres. Là, la juste mesure doit être basée sur le droit au travail, un minimum de réconfort à la pratique des libertés sans entraver l’éducation permanente qui suscite du renouveau chaque jour. Il en découlera aussi que cette fonction garderait son prestige par le concours de cette frange appelée à disparaître de bénéficier surement d’un encadrement spécifique, l’expérience de toute une carrière s’écrira alors en quelques lignes seulement, ce besoin est de savoir unifier la vieillesse à la jeunesse pour former un lien permanent de cette catégorie. Il ne s’agit guère d’une parcelle de terre qu’il faut laisser reposer pour l’enrichir en engrais naturels mais l’idée d’un service incessant et perpétuel doit-être maintenue d’où l’encouragement de rendre hommage aux vieux est indispensable. Prenez du recul vers ces années et vous verrez l’image de nos prédécesseurs qui ont porté le flambeau munis de leur volonté, leur assiduité, leur conscience et leur vision de changer le monde. Impérativement conseillé, le jeune essaie de se perfectionner de façon à en profiter au maximum de ces lumières qui vont s’éteindre un jour. Partout, si l’on s’y mettait, le devoir étant considéré à sa juste valeur en l’acheminant par ce réseau très fiable, sacré, équitable, où chaque apprenant prendrait ce rôle pour le conduire à destination sans se perdre ou échouer. Ainsi soit-il, les résultats sont là devant vous, personne ne vous détournera votre attention, il suffit de vivre pour croire, les langues étrangères établies d’une manière générale, planent dans un grand milieu de rêves enchanteurs destinés à calmer les esprits et restent dans l’engrenage des autres disciplines. Aucune intention n’est alors soulevée de cette problématique ?
Le bout de temps nécessaire suffirait à acquérir des notions élémentaires grâce à cette interaction de l’outil informatique qui vous donne un partage sécurisant votre apprentissage dans la voie de la réussite. A ce sujet, l’enseignant serait capable d’informer à tout moment ses élèves en cas de besoin en créant une boite E-mail. Comme il s’agit de forger l’esprit, le lien adéquat au reste de l’engrenage de ces différentes disciplines, un site parviendrait à résoudre le problème en faisant une convergence d’idées de tous ces paramètres et d’instaurer une union de tous ces membres, ce lien permanent permet à tous de bénéficier des trois WWW qui vous rapprochent le monde. Comme il s’agit de réflexions d’un passage de ma vie qui m’est cher, j’invite mes collègues à suivre cette démarche dans le bien d’autrui. Le soleil illumine la terre par ses rayons écarlates et vous, vous éclairez votre chambre à l’aide d’une petite chandelle. Un hommage est rendu à ceux qui sont arrivés à écrire l’histoire de tant de générations afin qu’elle se renouvelle et continue à se souvenir de leurs passages.
[/justify]