ENSEIGNEMENT DES LANGUES ETRANGERES EN ALGERIE

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    Supports pour travailler la progression thématique

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    Date d'inscription : 08/12/2009
    Age : 54
    Localisation : Algérie

    Supports pour travailler la progression thématique Empty Supports pour travailler la progression thématique

    Message par VIP Mar 29 Déc - 13:01

    Supports pour travailler la progression thématique

    A/- Les quatre textes ci-dessous suivent une progression unique à vous de la trouver. (à thème constant, à thème linéaire, à thème dérivé (éclaté))
    Texte1
    Le garde-magasin donna à Gerbier des sabots et un bourgeron de bure rouge. Ce dernier promena ses yeux à travers le camp. C’était un plateau ras, herbeux, autour duquel se liaient des ondulations de terrain inhabité.
    D’après J.Kessel, L’armée des ombres.1943
    Texte2
    La baraque abritait cinq bourgerons rouges. Le colonel, le pharmacien et le voyageur de commerce, assis à la turque près de la porte, jouaient aux dominos avec des morceaux de carton, sur le dos d’une gamelle. Les deux autres prisonniers conversaient dans le fond à mi-voix.
    J.Kessel, op.cité
    Texte3
    L’homme de la résistance n’a plus d’identité, ou il en a tellement qu’il en oublia la sienne. Il n’a pas de feuille d’alimentation. Il ne peut même plus se nourrir à mi-faim. Il dort dans une soupente, ou sur le dalles d’une boutique.
    D’après J. Kessel, op.cité.

    B/- Chacun des textes suivants présente deux progressions que vous délimiterez avec des crochets en précisant son nom.
    Texte1
    Julien s’adossa contre un arbre. Il contempla d’un œil béant l’énormité du massacre, ne comprenant pas comment il avait pu le faire. De l’autre côté du vallon, sur le bord de la forêt, il aperçut un cerf, une biche et un faon.
    Le cerf, qui était noir et monstrueux de taille, portait six andouillers avec une barbe blanche. La biche, blonde comme les feuilles mortes, broutait le gazon ; et le faon tacheté, sans l’interrompre dans sa marche, lui tétait la mamelle.
    Gustave Flaubert, La Légende de saint Julien l’Hospitalier)
    Texte6
    A Bray, il n’attendait pas qu’on eût donné l’avoine, il alla devant, sur la route, tout seul. Arnoux l’avait appelée « Marie ! ». il cria très haut « Marie ! ». sa voix se perdit dans l’air. Une large couleur de pourpre enflammait le ciel à l’occident. De grosses meules de blé, qui se levaient au milieu de chaumes, projetaient des ombres géantes. Un chien se mit à aboyer dans une ferme, au loin. Il frissonna pris d’une inquiétude sans cause.
    Gustave Flaubert, L’Education sentimentale)

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