Des textes pour les dictées:
J'utilise toutes sortes de textes littéraires ou scientifiques ayant un sens complet. On en trouve dans plusieurs livres de français pour le cycle 3. Voici une quarantaine de textes qui peuvent servir au cours moyen. Ils sont extraits de textes d'auteurs plus ou moins anciens, parfois modifiés. La longueur des dictées est adaptée aux enfants de CM. Pour des élèves de CE2, je choisis des textes plus simples.
Les habits neufs de l'empereur (1) Conte d'Andersen
Il y a plusieurs années, vivait un empereur qui aimait tellement les costumes neufs, qu'il dépensait tout son argent pour être bien habillé. Il ne se souciait pas de ses soldats, ni du théâtre, et n'aimait pas aller se promener dans la forêt; tout ce qui lui importait, c'était de se montrer dans ses habits neufs. Il avait un costume pour chaque jour de la semaine et tandis qu'on dit habituellement d'un roi qu'il est au conseil, on disait toujours de lui: "L'empereur est dans sa garde-robe!"
Les habits neufs de l'empereur (2) Conte d'Andersen
Dans la grande ville où il habitait, la vie était gaie et chaque jour beaucoup d'étrangers arrivaient. Un jour, deux escrocs vinrent, prétendirent être tisserands et se targuèrent de pouvoir tisser la plus belle étoffe que l'on pût imaginer. Non seulement les couleurs et le motif étaient-ils exceptionnellement beaux, mais les vêtements qui en étaient confectionnés possédaient l'étonnante propriété d'être invisibles aux yeux de ceux qui ne convenaient pas à leurs fonctions ou qui étaient simplement idiots.
Les habits neufs de l'empereur (3) Conte d'Andersen
Dans la ville, tout le monde parlait de la magnifique étoffe, et l'empereur voulu la voir de ses propres yeux tandis qu'elle se trouvait encore sur le métier. Accompagné de toute une foule de dignitaires, dont le ministre et le fonctionnaire, il alla chez les deux malins escrocs, lesquels s'affairaient à tisser sans fibres ni fils.
LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES (1)
Il faisait effroyablement froid; il neigeait depuis le matin; il faisait déjà sombre; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue: elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes: elle en tenait un paquet à la main.
LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES (2)
Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières: de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur, celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir: c'était la Saint-Sylvestre. Cela lui faisait arrêter ses pas errants.
LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES (3)
L'enfant avait ses petites menottes toutes transies. "Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts? " C'est ce qu'elle fit. Quelle flamme merveilleuse c'était! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteignit brusquement: le poêle disparut, et l'enfant restait là, tenant en main une allumette noircie.
Conte d'Andersen[/b]Conte d'Andersen[/b]Conte d'Andersen.
J'utilise toutes sortes de textes littéraires ou scientifiques ayant un sens complet. On en trouve dans plusieurs livres de français pour le cycle 3. Voici une quarantaine de textes qui peuvent servir au cours moyen. Ils sont extraits de textes d'auteurs plus ou moins anciens, parfois modifiés. La longueur des dictées est adaptée aux enfants de CM. Pour des élèves de CE2, je choisis des textes plus simples.
Les habits neufs de l'empereur (1) Conte d'Andersen
Il y a plusieurs années, vivait un empereur qui aimait tellement les costumes neufs, qu'il dépensait tout son argent pour être bien habillé. Il ne se souciait pas de ses soldats, ni du théâtre, et n'aimait pas aller se promener dans la forêt; tout ce qui lui importait, c'était de se montrer dans ses habits neufs. Il avait un costume pour chaque jour de la semaine et tandis qu'on dit habituellement d'un roi qu'il est au conseil, on disait toujours de lui: "L'empereur est dans sa garde-robe!"
Les habits neufs de l'empereur (2) Conte d'Andersen
Dans la grande ville où il habitait, la vie était gaie et chaque jour beaucoup d'étrangers arrivaient. Un jour, deux escrocs vinrent, prétendirent être tisserands et se targuèrent de pouvoir tisser la plus belle étoffe que l'on pût imaginer. Non seulement les couleurs et le motif étaient-ils exceptionnellement beaux, mais les vêtements qui en étaient confectionnés possédaient l'étonnante propriété d'être invisibles aux yeux de ceux qui ne convenaient pas à leurs fonctions ou qui étaient simplement idiots.
Les habits neufs de l'empereur (3) Conte d'Andersen
Dans la ville, tout le monde parlait de la magnifique étoffe, et l'empereur voulu la voir de ses propres yeux tandis qu'elle se trouvait encore sur le métier. Accompagné de toute une foule de dignitaires, dont le ministre et le fonctionnaire, il alla chez les deux malins escrocs, lesquels s'affairaient à tisser sans fibres ni fils.
LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES (1)
Il faisait effroyablement froid; il neigeait depuis le matin; il faisait déjà sombre; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue: elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes: elle en tenait un paquet à la main.
LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES (2)
Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières: de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur, celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir: c'était la Saint-Sylvestre. Cela lui faisait arrêter ses pas errants.
LA PETITE FILLE AUX ALLUMETTES (3)
L'enfant avait ses petites menottes toutes transies. "Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts? " C'est ce qu'elle fit. Quelle flamme merveilleuse c'était! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteignit brusquement: le poêle disparut, et l'enfant restait là, tenant en main une allumette noircie.
Conte d'Andersen[/b]Conte d'Andersen[/b]Conte d'Andersen.