Je partage avec vous une petite revue de la presse à "notre " sujet ..même si "On" essaye de monter la rue contre nous....!!!
Beaucoup de journalistes ont .(.enfin )compris !!
Beaucoup de journalistes ont .(.enfin )compris !!
http://www.elwatan.com/Le-Cnapest-et-l-Unpef-se-donnentLe Cnapest et l’Unpef se donnent rendez-vous pour le 24 février : Les syndicalistes pensent à des actions plus radicales
Les pouvoirs publics ont un délai d’une semaine pour répondre à nos revendications », affirment les responsables du Cnapest et de l’Unpef
Ces derniers, qui ont déjà opté pour la date symbolique du 24 février pour
entamer leur grève d’une semaine reconductible, se disent peu
convaincus par les déclarations des responsables du ministère de
l’Education nationale. « Nos revendications ne concernent pas
uniquement le régime indemnitaire. Il y a trois dossiers indissociables
et sur lesquels nous ne céderons pas », déclare le président de
l’Unpef, Sadek Dziri.
S’exprimant lors d’une conférence de presse animée, hier à Alger, en
compagnie du coordinateur du Cnapest, Nouar Larbi, le chef de file de
l’Unpef dénonce les tergiversations des pouvoirs publics qui ont,
estime-t-il, « manqué à leurs engagements ». « Lorsque nous avons
arrêté notre protestation en novembre dernier, nous l’avons fait avec
la conviction que nos revendications seront prises en charge. Il n’en
fut rien. Trois mois après le premier débrayage, les autorités
tergiversent et tentent de gagner encore du temps. Nous sommes
aujourd’hui convaincus que seul le retour à la grève est susceptible de
faire avancer nos revendications », soutient-il. Pour Nouar Larbi, le
retour à la grève « est un mal nécessaire ». Le responsable du Cnapest
revient longuement sur les déclarations faites, avant-hier, par le
conseiller du ministre et le ministre lui-même.
Des déclarations qui, dit-il, sont contradictoires : « Le conseiller
du ministre parle de la finalisation du nouveau régime indemnitaire
dans un délai d’un mois. Le même jour, le ministre affirme que le texte
sera fin prêt dans quelques jours. Cela veut dire qu’au niveau de la
tutelle, on ne dispose pas de l’information exacte autour du sujet. »
Selon lui, les syndicats doivent être les premiers à être informés sur
les détails du nouveau régime indemnitaire. « Il doit être discuté par
les syndicats avant d’être remis au gouvernement pour adoption. Nous
informons ainsi les autorités que nous n’acceptons pas le fait
accompli », lance-t-il. Le Cnapest, ajoute-t-il, est déterminé à
radicaliser son action. « Nous allons sortir dans la rue »,
menace-t-il. Selon lui, le choix de la date du 24 février est
symbolique, « elle correspond à l’anniversaire de la création de l’UGTA
dont nous sommes les dignes héritiers et à celui de la nationalisation
des hydrocarbures. Nous voulons, nous aussi, récupérer les droits des
enseignants ».En outre, les représentants du Cnapest et de l’Unpef croient savoir
que le gouvernement subit des pressions pour surseoir à sa décision de
confier la gestion des œuvres sociales aux enseignants. Les pressions
viennent, souligne Sadek Dziri, de l’UGTA. « Il y a des personnes
influentes à l’UGTA qui ne veulent pas perdre cette énorme manne
financière. Ces personnes s’agitent depuis le mois de novembre dernier
pour bloquer ce dossier », accuse-t-il. S’agissant de l’intérêt des
élèves qui risquent de subir une année blanche, les syndicalistes
précisent que « le seul responsable de cette situation est le ministère
de l’Education nationale ».Par Madjid Makedhi