ENSEIGNEMENT DES LANGUES ETRANGERES EN ALGERIE

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    L’EVALUATION DIAGNOSTIQUE DANS LA FORMATION DOCUMENTAIRE

    Administrateur
    Administrateur
    Admin


    Date d'inscription : 03/11/2009
    Localisation : Algérie

    L’EVALUATION DIAGNOSTIQUE DANS LA FORMATION DOCUMENTAIRE Empty L’EVALUATION DIAGNOSTIQUE DANS LA FORMATION DOCUMENTAIRE

    Message par Administrateur Mer 16 Déc - 22:26

    L’EVALUATION DIAGNOSTIQUE DANS LA FORMATION DOCUMENTAIRE

    Groupe de travail des Journées de rencontres locales du Maine-et-Loire Année 2000 :
    Christine Delporte, Annie Lenoir-Donzeaud, Michèle Dubois, Pascal Duplessis, Catherine Lardry, Régine Luongo, Laurent Ménard, Blandine Augereau


    Introduction :Les attendus de l’évaluation diagnostique

    I. Le déroulement du travail
    II. Remarques à propos du questionnaire
    III. Les autres niveaux du collège
    Annexe : « Je teste mes connaissances documentaires »

    INTRODUCTION : LES ATTENDUS DE L’EVALUATION DIAGNOSTIQUE

    Nous nous intéresserons ici à la mise en place de la séquence d’apprentissage documentaire et tout d’abord à ce qui doit lui fournir sa cohérence et son origine, à savoir l’évaluation diagnostique, laquelle se situe à la croisée des attentes institutionnelles et des besoins réels des élèves.
    L’évaluation diagnostique permet de mesurer la portée de la formation documentaire
    L’Ecole se fixe pour objectifs premiers de construire des apprentissages (des connaissances) et de faciliter l’acquisition de compétences (savoir-faire). L’évaluation générique fait partie des moyens qu’elle se donne pour réguler ceux-ci .
    L’évaluation diagnostique s’inscrit quant à elle de manière pragmatique dans la démarche pédagogique du projet. Elle cherche à « faire le point sur les acquisitions des élèves à un moment donné par rapport aux pré-requis de la discipline » [1]. Elle se distingue en outre des autres formes d’évaluation par sa finalité, puisqu’elle ne recherche pas principalement à gérer des apprentissages en cours d’acquisition (formative), ni à valider des acquis à l’issue d’un travail (sommative). Elle est un outil préalable à l’élaboration du projet et trouve sa place au tout début de celui-ci, avant même que l’activité de formation ne débute. Elle servira de jalon initial, de témoin à un moment donné vers lequel l’enseignant et l’élève pourront se tourner lorsqu’ils auront besoin de se référer à la situation de départ.
    On attend de ce type d’outil qu’il fournisse principalement une mesure des connaissances et des compétences maîtrisées ou en cours d’acquisition. L’établissement de ce « profil de départ » servira de point d’appui pour la formation à bâtir. L’analyse des résultats permettra ainsi de cerner et de mieux comprendre l’origine des difficultés rencontrées.
    Vouloir prendre en compte cette réalité, et s’en servir au mieux de la formation, c’est considérer que l’élève n’est pas une « table rase », mais qu’il apporte avec lui un bagage de connaissances et de savoir faire, lesquels sont déjà en prise, en deçà ou au-delà, de l’activité d’apprentissage.
    Retour
    L’évaluation diagnostique révèle comment l ‘élève se représente le travail documentaire
    Encore faut-il ne pas confondre résultats tangibles du travail documentaire et attentes du dit travail ! Ainsi l’analyse des résultats de l’évaluation diagnostique peut faire apparaître davantage des représentations de l’image à acquérir que des connaissances réelles et il convient dès lors de se demander si elles peuvent servir de base à l’édifice de construction de savoirs.
    Ainsi, la principale difficulté que nous rencontrons concerne le décalage entre la chose évaluée par le diagnostic et celle qui sera jugée à la fin du travail. Va-t-on vraiment analyser des productions comparables ? Car il faut bien reconnaître que l’apprenant ne peut pas réagir de manière identique lorsqu’il répond à une grille de questions et lorsqu’il est dans le faire et dans l’action, confronté aux informations extérieures à lui-même et aux savoirs qu’il intègre ou qu’il bouscule.
    Par ailleurs, il est important de comprendre que le but de toute évaluation diagnostique n’est pas la mesure d’un écart par rapport aux résultats du groupe ou au seul programme mais bien par rapport à l’élève lui-même. L’évaluation diagnostique trouvera donc sa plus grande pertinence dans la révélation, pour le formateur, des représentations qu’a l’apprenant des attendus de la formation.
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    L’évaluation diagnostique révèle à l’apprenant l’étendue des attentes institutionnelles
    L’évaluation diagnostique requiert de l’enseignant une anticipation la plus nette possible de la cible que son action cherche à atteindre. La cible, en matière de construction des savoirs, se conçoit comme le déploiement sur une toile de fond d’objectifs clairement définis par les programmes ou référentiels de la matière à enseigner. C’est précisément l’analyse des contenus de celle-ci qui va guider l’élaboration du questionnaire diagnostique.
    L’enseignant documentaliste se voit, quant à lui, confronté à un problème de taille : l’absence de tout référentiel documentaire délivré par l’institution. En attendant la publication de cet outil, il est toujours possible de se référer à ces travaux émanant de groupes de recherches de terrain, qu’ils soient guidés par la nécessité et la motivation ou sollicités par des instances académiques [2] . Il ressort toutefois de la lecture de tels documents, situés au confluent des attentes institutionnelles et des expériences du terrain, que la pédagogie documentaire se donne bien pour objectif spécifique la construction des savoirs par la médiation de l’information.
    Notons à ce propos la publication en 1996 d’un texte officiel qui, pour être maladroitement situé en annexe des accompagnements des programmes de 6ème, n’en est pas moins fondamental pour la documentation puisqu’il permet une « lecture transversale et thématique des programmes » [3]. Il développe, au travers de tableaux où sont déclinées les disciplines, les six « compétences générales ou procédures intellectuelles que le collège rénové se doit de mettre en place» . Pas moins de cinq compétences sur les six retenues intéressent directement la pédagogie documentaire et relèvent d’un cadre possible de référentiel : « Relever l’information, organiser l’information, raisonner l’information, créer l’information et restituer l’information » !
    Retour
    L’évaluation diagnostique permet à l’élève de s’impliquer dans sa formation
    Le cadre référentiel général étant esquissé et laissé à l’appréciation de l’enseignant documentaliste, nous pouvons revenir au point de vue de l ‘élève. Pour que le questionnaire diagnostique devienne un outil de mesure efficace au service des objectifs ainsi identifiés, il doit être conçu de manière à établir au seuil de la formation un climat favorisant d’une part la confiance entre l’enseignant et l’élève et d’autre part, l’implication de ce dernier dans le processus qui se met en place.
    Fournir à l’élève les moyens de comprendre sa relation au savoir et les outils de mesure de ses acquis, c’est l’impliquer dans sa propre formation, c’est lui donner des repères pour mettre en place son auto-évaluation, c’est en faire le partenaire privilégié d’une régulation efficace parce que personnelle et acceptée.
    Le questionnaire diagnostique que nous proposons est ainsi organisé en huit items s’adressant directement à l’élève [1]. Celui-ci se voit demander comment il se représente dans l’acquisition de telle ou telle compétence ou connaissance. Il importe donc que les objectifs de la formation lui soient présentés de manière la plus lisible possible.
    La lecture des résultats obtenus est un des moments clés de ce travail. L’évaluation qui accompagne cette lecture doit être proposée aussitôt après, afin que l’élève reste mobilisé par la question qui vient de lui être posée. Il s’agira donc d’une hétéro-évaluation.
    Retour
    L’évaluation diagnostique permet d’adapter la formation aux besoins réels du groupe
    Le questionnaire renseigné par l’élève n’a pas à être « corrigé », nous l’aurons compris. Il représente, rappelons-le, un état des lieux des représentations documentaires de l’élève et son examen consistera avant tout à prélever les indices des manques et des difficultés à venir.
    Les indices individuels rassemblés en faisceaux vont déterminer les axes majeurs du travail à mettre en place. La séquence de travail documentaire va pouvoir se construire selon des objectifs déterminés par le « profil » du groupe classe et lui renvoyer, comme en miroir, les difficultés qu’elle semble ne pas encore avoir su maîtriser. C’est l’occasion de placer, sur le chemin de l’apprenant, des situations d’apprentissage, ou situations problèmes, propres à construire les connaissances et les capacités requises.
    L’enseignant documentaliste, concepteur du terrain où se déploie l’action de la classe, responsable du cadre pédagogique et gardien de ses limites, offre à l’élève qui s’interroge pour surmonter l’obstacle une médiation entre celui-ci et sa demande. C’est dans l’offre de réponse qu’il propose à cette demande verbalisée que se situe l’acte pédagogique en tant que tel, à savoir la mise à disposition de l’apprenant du lien qui lui manquait pour convoquer ce qui était jusque là épars et non mobilisé et l’agréger en un nouveau savoir ou savoir faire.
    Construire, en ce sens, c’est faire du lien, pousser des passerelles, cimenter ce qui appartenait à des domaines a priori indépendants parce que non connectés.
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    I. DEROULEMENT DU TRAVAIL
    * Objectifs du travail :
    Réfléchir à et réaliser une fiche d’évaluation diagnostique pour le niveau 6ème, laquelle permettrait de faire le point sur les connaissances documentaires à la fois de l'élève et de chaque groupe-classe.
    Le but de cette évaluation est la mise en place d’une séquence de formation documentaire répondant aux besoins réels des élèves.
    * Procédures de réalisation du questionnaire :
    Nous avons mené une réflexion préalable qui s’est appuyée sur les résultats des travaux élaborés lors des journées de rencontres locales des années précédentes, lesquels portaient sur le référentiel documentaire (savoirs et savoir faire) au collège [1].
    Dans un premier temps, nous avons décidé de nous consacrer au niveau 6ème et nous avons donc visé la réalisation d’un premier questionnaire d'évaluation diagnostique afin de le tester auprès de nos élèves à la rentrée 2000.

    Pour l'élaborer, nous avons repris les compétences listées par le référentiel pour le niveau 6ème, à savoir :
    - Savoir repérer des mots-clés (voir question 1)
    - Connaître les documents sources (voir question 2)
    - Savoir rechercher des documents pertinents (voir question 3)
    - Connaître les outils d'accès à l'information (voir question 4)
    - Savoir exploiter l'information (questions 5 et Cool
    - Savoir référencer une information (question 6)
    - Connaître les différents énonciateurs du document (question 7)
    Le contenu et les consignes du questionnaire ont été remaniés par la suite en fonction de nos observations sur le terrain et de l'analyse des résultats des élèves.
    Enfin, nous nous sommes posé la question pratique du dépouillement des réponses au questionnaire avec l'adoption éventuelle d'un barème :
    - pour l'élève, l'important, c'est de faire le point sur ses acquisitions.
    - pour le professeur-documentaliste, c'est de relever les tendances de la classe pour chaque savoir et savoir-faire évalué afin d'orienter le projet de pédagogie documentaire.
    Retour



    II. REMARQUES A PROPOS DU QUESTIONNAIRE
    Les limites de l’évaluation diagnostique :
    L’objectif de ce test est, rappelons-le, d’obtenir une photographie en instantané des représentations des élèves sur leurs connaissances documentaires. Il n’est effectivement pas possible d’évaluer les compétences proprement dites puisque celles-ci ne se vérifient que de façon pratique, lorsque les élèves sont en situation. Ainsi, pourront être constatées quelques différences entre les réponses données par les élèves lors du test et les pratiques réellement observables. Ces dernières seront par ailleurs évaluées à l’issue du projet par une évaluation sommative portant sur la production.
    Ce test donne néanmoins une certaine mesure de l’écart à combler afin d’atteindre les objectifs relatifs aux apprentissages que nous considérons comme devant être acquis à l’issue de la 6ème.
    Les intitulés des exercices sont formulés comme des questions que l’élève peut se poser sur ses propres connaissances, il ne s’agit donc bien de représentations.
    Retour
    Les difficultés liées à la lecture des consignes :
    Comme pour tout exercice écrit, on ne peut exclure les difficultés d’interprétation des consignes ou de compréhension du vocabulaire. On s’est par exemple demandé si les élèves maîtrisaient la différence entre information et document, ce qui n’est pas sans incidence sur leurs réponses. Savent-ils ce qu’est un mot clé ? Sait-on ce que prendre des notes peut signifier pour un élève de 6ème ? Ne le confondrait-il pas avec rédiger sa réponse ?
    En y regardant de plus près…
    La question « Est-ce que je sais repérer les mots clé d’une question ? » (n°1) évalue peut-être deux choses difficiles à distinguer : l’élève sait-il ce qu’est un mot clé et sait-il le repérer ? Le choix par exemple de la réponse b en 2) et c en 3) pourrait procéder d’une confusion entre mots clés du sujet et mots clés de la réponse. Il est donc intéressant de faire apparaître la démarche de l’élève. Les réponses proposées sont conçues comme des combinaisons de mots clés et non des mots clés seuls afin d’évaluer la capacité des élèves à construire une démarche de recherche pertinente et précise. A cet effet, les deux réponses erronées sont soit trop vagues par rapport au sujet, soit non pertinentes.
    Les questions portant sur les natures de documents et sur la pertinence de ces documents vont de pair (n°s 2 et 3). La première évalue la connaissance des élèves sur ces natures de documents et la seconde évalue leur capacité à adapter leur questionnement à ces différentes natures. Ici la pertinence des documents se pose en terme d’efficacité et de rapidité, ainsi que la consigne le signale.
    L’exercice sur la prise de notes (n°5) se propose d’évaluer la capacité de l’élève à prendre l’information (et non le document) en note. L’enjeu pour l’élève est de dissocier l’information du document. Les deux mauvaises solutions proposées (recopier ou faire photocopier) peuvent donc traduire cette difficulté à s’approprier une information mais aussi être le révélateur de difficultés méthodologiques : l’élève sait-il à quelle nécessité il répond par cet exercice (esthétique ou intellectuel ?). A-t-il intégré l’intérêt de cette étape ou considère-t-il comme achevé son travail à cette phase ? La solution d présente, quant à elle, le défaut de ne pas cerner l’information de manière précise.
    La difficulté de la question relative aux référencement de l’information (n°6) a été, pour notre groupe de travail, de déterminer ce qu’on évaluait réellement. Si les réponses « titre » et « auteur » s’imposent de façon évidente, la réponse « page du livre » procède de notre part de la réflexion suivante : s’il est demandé dans la consigne de situer « l’information » (et non seulement le document), la page du livre devient davantage pertinente. Cependant, si cette distinction n’est pas claire pour l’élève, la réponse « éditeur » lui paraîtra plus appropriée.
    « Est-ce que je sais rédiger une information ?» (n°Cool répond pour nous à deux objectifs :
    - Savoir reprendre les mots clés de la question
    - Savoir utiliser les informations obtenues par la recherche
    Les deux mauvaises solutions mettent en relief les lacunes suivantes : oubli d’un ou plusieurs mots clés (réponse a) ; réponse incompréhensible sans la question (réponse b)
    La demande de justification permet de limiter le risque de choix lié au hasard, à l’intuition, ou à l’aspect esthétique de la phrase.
    Retour


    III. LES AUTRES NIVEAUX DU COLLEGE
    Dans le tableau ci-dessous, on trouvera les objectifs documentaires complémentaires pour les niveaux 5ème, 4ème et 3ème accompagnés des questions qui pourront servir de base à la constitution des tests d’évaluation diagnostique.


    SAVOIR-FAIRE

    DOCUMENTAIRES QUESTIONS DU TEST D’EVALUATION DIAGNOSTIQUE DES CONNAISSANCES DOCUMENTAIRES

    1. Déterminer l’information

    Savoir questionner un sujet Est-ce que je sais poser les questions utiles en rapport avec mon sujet ? Est-ce que mon questionnement correspond à celui du professeur ? (QQQOPC)
    Savoir repérer les mots-clés Est-ce je sais repérer les mots-clés d’une question ?
    Est-ce que je sais traduire une question en mots clés ?

    2. Rechercher les documents

    Savoir confronter les mots-clés aux bases documentaires Les mots clés que j’ai choisi sont-ils pertinents au regard des clés du document ou descripteurs d’un thésaurus ?
    Savoir rechercher des documents pertinents Est-ce que je sais sélectionner les documents utiles à ma recherche ?

    3. Saisir l’information

    Savoir faire une lecture sélective et prendre des notes Est-ce que je sais prendre des notes ?
    Savoir saisir les références de l’information sélectionnée Est-ce que je sais référencer une information ?

    4. Mettre en forme l’information

    Savoir faire un plan et le structurer en plusieurs parties Est-ce que je sais trier les informations et les organiser logiquement pour constituer un plan en 3, 4 ou 5 parties ?
    Est-ce que je sais titrer les groupements d’information ?

    5. Communiquer l’information

    Savoir présenter différents outils devant accompagner certains types de communication A l’oral :
    Est-ce que je sais annoncer un plan ?
    Est-ce que je sais préparer des notes pour éviter de lire pendant l’exposé ?
    Est-ce que je sais choisir des illustrations pertinentes ?
    Est-ce que je sais donner la référence du document que je présente ?
    Est-ce que je sais commenter des illustrations ?
    Est-ce que je sais dresser le bilan de mon travail ?

    A l’écrit :
    Est-ce que je sais présenter un plan ?
    Est-ce que je connais les règles de typographie ? de dactylographie ?
    Est-ce que je sais rédiger la légende d’une illustration ?
    Est-ce que je connais les règles de présentation d’une bibliographie ?
    Est-ce que je sais construire un sommaire ? un lexique ?

    Retour
    ANNEXE :
    Je teste mes connaissances documentaires.
    Nom, Prénom : Classe :
    1-Est-ce que je sais repérer le mot clé d’une question ?
    Dans la question, entoure les mots importants, puis coche le « mot clé » qui va te permettre de lancer la recherche.
    A. De quels outils se servaient les hommes préhistoriques ?
    a. outil
    b. préhistoire
    c. homme
    B. Par quelle technique communiquent deux téléphones portables ?
    a. téléphone
    b. communication
    c. portable
    C. Quand a-t-on inventé la calculatrice à puce électronique ?
    a. puce
    b. invention
    c. calculatrice
    2- Est-ce que je connais les différentes natures de documents ?
    Ecris le même numéro pour le mot et sa définition
    1. dictionnaire livre qui donne des informations sur un thème précis
    2. encyclopédie recueil de cartes géographiques
    3. atlas livre où l’on traite de toutes les connaissances
    4. presse livre scolaire qui présente le programme d’une matière
    5. manuel scolaire journaux, revues...
    6. livre documentaire recueil de mots rangés par ordre alphabétique avec leur définition
    3. Est-ce que je sais rechercher les documents qui sont utiles à ma recherche ?
    Dans quelle nature de documents pourrais-tu trouver rapidement une réponse ?
    Coche une seule case par ligne.

    Où trouver... manuel
    scolaire atlas dictionnaire presse
    ... le sens d’un mot ?
    ... comment calculer la surface d’un carré ?
    ... les derniers faits d’actualité ?
    ... le nom des villes voisines de Sydney ?
    4. Est-ce que je connais les clés du livre ?
    Ecris le même numéro pour le mot et sa définition.
    1. index liste des documents utilisés pour réaliser un livre, un article...
    2. lexique liste des chapitres ou des articles dans leur ordre d’apparition dans le document
    3. sommaire suite de chiffres et de lettres sur le dos d’un livre indiquant son emplacement
    4. bibliographie phrase présentant ou expliquant une illustration
    5. légende liste alphabétique des sujets traités dans le document suivis du numéro de la page
    6. cote mini-dictionnaire des mots importants dans un document
    5. Est-ce que je sais prendre des notes ?
    Question : quelle est la différence entre un bardot et un mulet ?
    Tu as trouvé ce document sur le sujet :


    Maintenant, comment fais-tu pour prendre des notes ? Coche ta méthode :
    A Je photocopie

    B Je recopie

    C Je prends des notes

    D ...ou bien celles-là ?

    6. Est-ce que je sais ce qu’il faut noter pour retrouver une information ?
    Pour préciser où tu as trouvé une information, que doit-on connaître du livre ? Coche 3 cases.

    7. Est-ce que je connais les différents personnes qui font le livre ?
    Ecris le même numéro pour le mot et sa définition.
    1. auteur personne qui réalise les dessins, photos, schémas...
    2. éditeur personne qui réalise la version française d’un livre en langue étrangère
    3. illustrateur personne ou société qui permet à un document d’être publié
    4. traducteur personne qui écrit un document
    8. Est-ce que je sais rédiger une information ?

    Question : A quel âge a-t-on le droit de vote en Belgique ? Information trouvée : à 21 ans.
    Coche la meilleure de ces trois réponses rédigées :
    a. Le droit de vote est à 21 ans.
    b. On peut le faire à 21 ans pour élire le chef du gouvernement en Belgique.
    c. En Belgique, on a le droit de voter à 21 ans.
    Explique ton choix avec une phrase courte et précise :

    Retour
    [1] « Eléments pour une lecture transversale et thématique des programmes ».- In Accompagnement des programmes de 6ème, livret 2.- Paris, C.N.D.P., 1996.- p. 81-86
    Retour texte
    [2] Pour le collège : Académie de Nantes.- Référentiel documentaire : niveau Collège.- Journées de rencontres locales des documentalistes du Maine-et-Loire, 1997.- http://www.ac-nantes.fr/peda/disc/cdi/peda/apprenti.htm ; Académie de Nantes.- Les savoirs documentaires : Amorce d'une réflexion sur les savoirs documentaires et leur didactisation au collège.- Journées de rencontres locales des documentalistes du Maine-et-Loire, 1999.- http://www.ac-nantes.fr/peda/disc/cdi.htm
    Pour le lycée : Recherche documentaire et maîtrise de l’information : formation des élèves par le professeur documentaliste de la sixième à la terminale.- Rouen, CRDP de Rouen, 2000.- p.17-26
    Pour le lycée professionnel agricole : Un référentiel du métier de documentaliste : CAPESA-PLPA-option documentation : la documentation dans l’enseignement agricole.- InterCDI n°147, mai-juin 1997.- p. 6-9.
    Pour tous les niveaux :
    Fédération des associations des enseignants documentalistes de l’Education nationale.- Référentiel : des mises en séquences.- [Paris], F.A.D.B.E.N CDI, 1998. p. 6-25. Les dossiers médiadoc
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    douja


    Date d'inscription : 18/04/2011
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    L’EVALUATION DIAGNOSTIQUE DANS LA FORMATION DOCUMENTAIRE Empty Re: L’EVALUATION DIAGNOSTIQUE DANS LA FORMATION DOCUMENTAIRE

    Message par douja Lun 18 Avr - 18:44

    merci

      La date/heure actuelle est Dim 28 Avr - 18:10