La pédagogie du projet et les théories d’apprentissage
La pédagogie du projet est le résultat de plusieurs traditions
que l’on peut regrouper en deux grands mouvements qui se sont
historiquement succédé.
LE BEHAVIORISME
a apporté un certain nombre d’éléments à la pédagogie du projet,
notamment l’affirmation que tout comportement est finalisé et
intentionnel. Ces outils intellectuels tels les taxonomies et les
objectifs, indispensables à la conduite du projet sont issus de
mouvements pédagogiques qui se réclament de cette théorie
d’apprentissage. Le Béhaviorisme est contemporain d’un premier mode de
rationalisation du travail de type Taylorien qui se situe
essentiellement au niveau de l’objet et du produit de l’action. Ce dont
il s’agit, c’est d’éviter les gaspillages et de maximiser les résultats.
Dans cette conception de l’apprentissage, l’apprenant est un récipient vide, une table rase : les connaissances se donnent, l’élève n’a plus qu’à les recevoir.
Nombre d’enseignants déroulent imperturbablement leur projet ou leur
cours selon une logique purement linéaire (apprentissage Vicariant)
Ce que va apporter de nouveau le constructivisme, c’est l’idée que l’important dans l’apprentissage, c’est précisément l’activité du sujet. Enseigner s’avère différent d’apprendre.
L’apprenant doit avoir le choix de sa méthode et de ses propres
synthèses à travers des démarches de recherche et d’invention qui lui
permettent de construire son propre savoir.
LES TROIS POLES DU PROJET
Le projet relève de trois pôles :
affectif, social et rationnel. Ils sont en interaction permanente. Tout
l’enjeu consiste à ne pas privilégier un pôle au détriment des autres.
Proposer
une autre façon d’enseigner plus motivante, plus variée, plus
concrète, conjuguer logique de l’action et apprentissage, telles sont
les ambition de la pédagogie du projet.
La pédagogie du projet est le résultat de plusieurs traditions
que l’on peut regrouper en deux grands mouvements qui se sont
historiquement succédé.
LE BEHAVIORISME
a apporté un certain nombre d’éléments à la pédagogie du projet,
notamment l’affirmation que tout comportement est finalisé et
intentionnel. Ces outils intellectuels tels les taxonomies et les
objectifs, indispensables à la conduite du projet sont issus de
mouvements pédagogiques qui se réclament de cette théorie
d’apprentissage. Le Béhaviorisme est contemporain d’un premier mode de
rationalisation du travail de type Taylorien qui se situe
essentiellement au niveau de l’objet et du produit de l’action. Ce dont
il s’agit, c’est d’éviter les gaspillages et de maximiser les résultats.
Dans cette conception de l’apprentissage, l’apprenant est un récipient vide, une table rase : les connaissances se donnent, l’élève n’a plus qu’à les recevoir.
Nombre d’enseignants déroulent imperturbablement leur projet ou leur
cours selon une logique purement linéaire (apprentissage Vicariant)
Ce que va apporter de nouveau le constructivisme, c’est l’idée que l’important dans l’apprentissage, c’est précisément l’activité du sujet. Enseigner s’avère différent d’apprendre.
L’apprenant doit avoir le choix de sa méthode et de ses propres
synthèses à travers des démarches de recherche et d’invention qui lui
permettent de construire son propre savoir.
LES TROIS POLES DU PROJET
Le projet relève de trois pôles :
affectif, social et rationnel. Ils sont en interaction permanente. Tout
l’enjeu consiste à ne pas privilégier un pôle au détriment des autres.
Le social | Le rationnel | L’affectif |
Le projet a une utilité sociale, Il prend en compte les ressources et Les contraintes de la réalité | Le projet permet d’acquérir : - des savoir, - des savoir- faire - des habiletés | Le projet met en jeu : -la motivation ; -le plaisir ; -le désir. |
une autre façon d’enseigner plus motivante, plus variée, plus
concrète, conjuguer logique de l’action et apprentissage, telles sont
les ambition de la pédagogie du projet.